(Suite
de : Éducation anglaise 1)
La discipline
passe avant la pudeur !
Parole d'éducateur confirmé. Un
programme qui annonce clairement la couleur qui va s'afficher plus
tard dans le sens littéraire sur mon derrière fraîchement puni et
qui est identique à celle de ma honte qu'exprime mon visage. Voila
donc le lien le plus spectaculaire entre discipline et pudeur. Par
conséquence peu importe comment je me tourne, le rouge s'impose à
un éventuel spectateur. Le ravit, l'amuse, l'informe sur ce qui
s'est passé. Tandis que pour moi cet effet seyant reste invisible. A
moins d'utiliser un miroir ou être contorsionniste. Voilà qui est
troublant de ne pas pouvoir visualiser soi-même un changement qui
saute aux yeux de tout le monde. Mais pourtant je le ressens sous
forme d'un intense réchauffement. Chaleur qui accompagne la
confusion sensuelle que provoque ma nudité partielle ou intégrale
au service d'un châtiment qui se veut sérieux. Que l'on ne le
veuille ou pas, l’excitation s'invite et le fait de devoir
présenter son derrière pour une douloureuse remise en place prend
ainsi une dimension supplémentaire. Et si le travail de préparation
s'accomplit correctement, la tension nerveuse subit une fulgurante
ascension et met à vif la sensibilité sensorielle. Chaque claque
devient l'événement le plus important au monde. Plus rien ne compte
pour moi.
La
discipline fait oublier la pudeur !
Et dans un tel moment, il importerait
même peu s'il y a spectateur ou pas. Je suis trop concentrée par
les événements sur son postérieur. Voila donc un même événement
vu des deux angles différents, aboutissant à des conclusions
différents. C'est tout un poème, l'éducation anglaise !
Quand on sort en couple il en va de soi
que je bichonne ma présentation. Une jolie robe et des escarpins à
talons aiguille très hauts car nous allons faire du « sur
place » qui est sans risque pour mes chevilles. Puis des bas
noirs, bien évidement. Je ne tiens pas à décevoir mon « grand
garçon ». Pour ne pas être trop tentée à table, j'ai une
astuce simple : La guêpière, vêtement dont nous raffolons
tous les deux. C'est joli et tellement sensuel à porter. Puis il est
possible d'impliquer le monsieur dans la préparation.
Tu
m'aides avec les agrafes, chéri ?
Ma taille affinée met mon derrière
particulièrement en valeur. Voilà un ensemble qui me donne une
allure de parfaite séductrice et ce que j'aime avant tout après nos
sorties, ce sont nos ébats fulgurants quand nous rentrons à la
maison.
Mais ce soir-là, je ne fais pas la
guillerette au retour dans la voiture. Mon dérapage me pèse. Aussi
et surtout parce que maintenant la suite de la soirée va être toute
autre. Il y a une grande différence de procéder à un effeuillage
pour embraser la sensibilité de son chéri et déguster un plat de
vanille que de se préparer pour une correction de taille, style
vilaine gamine qui malgré son âge se doit encore plier à la loi du
martinet. Et pourtant j'ai rêvé de cette situation pendant toute
mon adolescence et plus spécialement de trouver un compagnon qui se
charge de me remettre sur le bon chemin en employant des châtiments
corporels à mon égard. Et comme il est sérieux et consciencieux à
ce niveau-là mon chéri. Il n’hésite pas de sortir le martinet
quand besoin y est. Ce que j'aime avec lui c'est son petit air moquer
envers mes mauvais comportements. Hein oui, il en connaît...
...une qui va
se déshabiller entièrement pour recevoir sa discipline nocturne.
Me voilà fixée sur mon sort. Mais ce
soir-là un nouvel élément va s'ajouter au programme. Une fois
toute dévêtue, il déclare mes tenues de séductrice confisquées
jusqu'à nouvel ordre. Je ne m'y attendait pas du tout. Après sa
fulgurante inauguration, mon uniforme d'étudiante est passée dans
ma penderie en attendant un vrai emploi punitif. Mon homme a su me
faire patienter et sort maintenant le grand jeu. Il me fait préparer
mon uniforme pour le lendemain matin avec la consigne de la porter
pendant quelques jours ... à la maison. Ouf.
Ensuit le programme plus classique.
Nous discutons sérieusement mon dérapage. Je reconnaît mon échec
sur le chemin des bon comportement et la nécessite d'une belle
correction. Je passe sur ma marche de la honte, veut dire
d'accompagner en tenue d’Ève mon homme dans son bureau pour payer
ma note. C'est éprouvant, mais d'habitude une fois ma fessée finie
et mon temps au coin purgé, l'incident est clos et la vie reprend
son cours normal. Seulement cette fois-ci quand je me réveillerai
demain matin, la première chose qui me sautera aux yeux c'est ma
tenue d'étudiante.
A suivre...
Très plaisante histoire et j'apprécie particulièrement la discipline selon ton homme, mais c'est là que je vois que j'ai eu un parcours inverse, sans doute parce que je n'ai pas le même rôle que toi dans les jeux de fessée, du moins au début. Mais ce qui m'interpelle, c'est que dans mon cas, ce sont les jeux de fessée qui m'ont poussée à m'habiller à plus de coquetterie... Et plus de féminité (bon, je rappelle que je partais de loin). Mais j'ai toujours senti bien plus crédible, et j'ai toujours eu plus d'assurance, avec une jupe et un joli décolleté. Puis des jeux de fessées je me suis mise à en porter beaucoup plus souvent. Cela fait d'ailleurs un moment que je ne suis pas sortie de chez moi en pantalon, et j'en suis la première surprise.
RépondreSupprimerC'est innée chez moi le goûts pour les tenues très féminines. Mais à vrai dire une tenue d'étudiante sans parler de caricature comme on voit parfois sur certains sites est très féminine aussi, si on met de côté les longues chaussettes blanches. J'ai un peu de mal à t'imaginer sans coquetterie. Je te trouve toujours bien habillée sur les photos. Je crois que réaliser ses fantasmes contribue à se sentir à l'aise dans son corps. Sans parler du bien-être dans la tête. Cela va vraiment bien plus loin qu'une simple recherche de plaisir fugace...
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