lundi 25 février 2013

292 Éducation anglaise 2


(Suite de : Éducation anglaise 1)

La discipline passe avant la pudeur !

Parole d'éducateur confirmé. Un programme qui annonce clairement la couleur qui va s'afficher plus tard dans le sens littéraire sur mon derrière fraîchement puni et qui est identique à celle de ma honte qu'exprime mon visage. Voila donc le lien le plus spectaculaire entre discipline et pudeur. Par conséquence peu importe comment je me tourne, le rouge s'impose à un éventuel spectateur. Le ravit, l'amuse, l'informe sur ce qui s'est passé. Tandis que pour moi cet effet seyant reste invisible. A moins d'utiliser un miroir ou être contorsionniste. Voilà qui est troublant de ne pas pouvoir visualiser soi-même un changement qui saute aux yeux de tout le monde. Mais pourtant je le ressens sous forme d'un intense réchauffement. Chaleur qui accompagne la confusion sensuelle que provoque ma nudité partielle ou intégrale au service d'un châtiment qui se veut sérieux. Que l'on ne le veuille ou pas, l’excitation s'invite et le fait de devoir présenter son derrière pour une douloureuse remise en place prend ainsi une dimension supplémentaire. Et si le travail de préparation s'accomplit correctement, la tension nerveuse subit une fulgurante ascension et met à vif la sensibilité sensorielle. Chaque claque devient l'événement le plus important au monde. Plus rien ne compte pour moi.

La discipline fait oublier la pudeur !

Et dans un tel moment, il importerait même peu s'il y a spectateur ou pas. Je suis trop concentrée par les événements sur son postérieur. Voila donc un même événement vu des deux angles différents, aboutissant à des conclusions différents. C'est tout un poème, l'éducation anglaise !

Quand on sort en couple il en va de soi que je bichonne ma présentation. Une jolie robe et des escarpins à talons aiguille très hauts car nous allons faire du « sur place » qui est sans risque pour mes chevilles. Puis des bas noirs, bien évidement. Je ne tiens pas à décevoir mon « grand garçon ». Pour ne pas être trop tentée à table, j'ai une astuce simple : La guêpière, vêtement dont nous raffolons tous les deux. C'est joli et tellement sensuel à porter. Puis il est possible d'impliquer le monsieur dans la préparation.

Tu m'aides avec les agrafes, chéri ?

Ma taille affinée met mon derrière particulièrement en valeur. Voilà un ensemble qui me donne une allure de parfaite séductrice et ce que j'aime avant tout après nos sorties, ce sont nos ébats fulgurants quand nous rentrons à la maison.
Mais ce soir-là, je ne fais pas la guillerette au retour dans la voiture. Mon dérapage me pèse. Aussi et surtout parce que maintenant la suite de la soirée va être toute autre. Il y a une grande différence de procéder à un effeuillage pour embraser la sensibilité de son chéri et déguster un plat de vanille que de se préparer pour une correction de taille, style vilaine gamine qui malgré son âge se doit encore plier à la loi du martinet. Et pourtant j'ai rêvé de cette situation pendant toute mon adolescence et plus spécialement de trouver un compagnon qui se charge de me remettre sur le bon chemin en employant des châtiments corporels à mon égard. Et comme il est sérieux et consciencieux à ce niveau-là mon chéri. Il n’hésite pas de sortir le martinet quand besoin y est. Ce que j'aime avec lui c'est son petit air moquer envers mes mauvais comportements. Hein oui, il en connaît...

...une qui va se déshabiller entièrement pour recevoir sa discipline nocturne.

Me voilà fixée sur mon sort. Mais ce soir-là un nouvel élément va s'ajouter au programme. Une fois toute dévêtue, il déclare mes tenues de séductrice confisquées jusqu'à nouvel ordre. Je ne m'y attendait pas du tout. Après sa fulgurante inauguration, mon uniforme d'étudiante est passée dans ma penderie en attendant un vrai emploi punitif. Mon homme a su me faire patienter et sort maintenant le grand jeu. Il me fait préparer mon uniforme pour le lendemain matin avec la consigne de la porter pendant quelques jours ... à la maison. Ouf.

Ensuit le programme plus classique. Nous discutons sérieusement mon dérapage. Je reconnaît mon échec sur le chemin des bon comportement et la nécessite d'une belle correction. Je passe sur ma marche de la honte, veut dire d'accompagner en tenue d’Ève mon homme dans son bureau pour payer ma note. C'est éprouvant, mais d'habitude une fois ma fessée finie et mon temps au coin purgé, l'incident est clos et la vie reprend son cours normal. Seulement cette fois-ci quand je me réveillerai demain matin, la première chose qui me sautera aux yeux c'est ma tenue d'étudiante.

A suivre...

2 commentaires:

  1. Très plaisante histoire et j'apprécie particulièrement la discipline selon ton homme, mais c'est là que je vois que j'ai eu un parcours inverse, sans doute parce que je n'ai pas le même rôle que toi dans les jeux de fessée, du moins au début. Mais ce qui m'interpelle, c'est que dans mon cas, ce sont les jeux de fessée qui m'ont poussée à m'habiller à plus de coquetterie... Et plus de féminité (bon, je rappelle que je partais de loin). Mais j'ai toujours senti bien plus crédible, et j'ai toujours eu plus d'assurance, avec une jupe et un joli décolleté. Puis des jeux de fessées je me suis mise à en porter beaucoup plus souvent. Cela fait d'ailleurs un moment que je ne suis pas sortie de chez moi en pantalon, et j'en suis la première surprise.

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  2. C'est innée chez moi le goûts pour les tenues très féminines. Mais à vrai dire une tenue d'étudiante sans parler de caricature comme on voit parfois sur certains sites est très féminine aussi, si on met de côté les longues chaussettes blanches. J'ai un peu de mal à t'imaginer sans coquetterie. Je te trouve toujours bien habillée sur les photos. Je crois que réaliser ses fantasmes contribue à se sentir à l'aise dans son corps. Sans parler du bien-être dans la tête. Cela va vraiment bien plus loin qu'une simple recherche de plaisir fugace...

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