Ah
le grand classique pour donner une dimension supplémentaire à la
discipline domestique !
L'idée de perdre une partie de mes
privilèges de dame, pour reprendre un rang d'une demoiselle dont
l'éducation reste à (par)faire, sans toutefois trop savoir ce
qu'implique cette dernière notion, a hanté mes rêveries de
célibataire. Pas uniquement celles sous ma couette ou dans ma
baignoire, tiens, mais aussi celles à yeux ouverts au cours la
journée. Pendant la pause déjeuner avec mes collègues. En
attendant le bus et pendant le trajet. Dans une interminable file
d'attente. Bref à chaque occasion où j'avais envie de m'évader un
peu. Où il fallait faire présence de corps et non de l'esprit. Et
bien entendu dans mes petits films je ne manquait ni de sévérité,
ni de vice avec moi-même. Il est d'ailleurs bien connu que les
punitions imaginaires ne vont pas de main morte. Et le fait que
quelqu'un décrive des déculottées qui ne résistent pas à la
épreuve de la réalité (ou devrais-je dire plutôt des vraies
fesses qui ne résisteraient pas à une telle épreuve réelle sans
importants dégâts ?) n'est pas forcement synonyme d'une
personne avec des fantasmes extrêmes. Chaque chose en son temps.
Mais disons que cette histoire de
privilèges vit avant tout de l'émotion que procure un changement
radical de la tenue de la dame.... imposé par le monsieur avec une
voix ferme et décidée ! L'interdiction de porter pendant un
temps tel ou tel autre vêtement. Et adopter à la place une tenue de
rigueur avec un lourd sous-entendu symbolique. Une tenue pour me
remettre à ma place, dans laquelle je suis sensée d'être gênée,
voir honteuse et qui par ce fait devrait m'inciter à réfléchir
pour changer mes mauvais comportements. Tout un programme ! Ne
rigolons pas, la discipline domestique se veut sérieuse. Et c'est
justement là que réside son charme. En essayant de rétablir des
valeurs qui n'ont plus cours depuis belle lurette. Grande émotion et
spectacle à chaque fois que Monsieur me demande de ranger jusqu'à
nouvel ordre mes jolis habits de séductrice (y compris et surtout
mes bas et porte-jarretelles!) pour remettre mon uniforme d'étudiante
Et par uniforme je n'attends pas un accoutrement tirée par les
cheveux, c'est-à-dire provenant d'un magasin pour améliorer le côté
récréatif du couple, mais une tenue dans laquelle on peut sortir de
la maison sans offenser la pudeur publique. Quelque chose calquée
sur la grande époque des internats pour filles de bonne famille,
style années 50. Du moins comme j'imagine l'ambiance de cette
décennie. Et de l'expérience, ceux et celles qui me regardent ainsi
vêtue ne savent pas vraiment non plus si s'agit d'une allure
ultra-branchée de ma part ou si je fais réellement mes études dans
un établissement avec des telles exigences vestimentaires. Au début
c'est un peu inhabituel de sortir ainsi avec son homme, mais cela
devient vite du tout naturel. Notamment quand on a que 24 ans comme
moi à l'époque, il y a un grand effet rajeunissement au point que
mon homme étais pris parfois pour mon papa. Ce qui n'était pas
pour me déplaire et le risque de déraper sur un jeu de sale gamine
n'est pas négligeable.
Retournons un peu à
l'automne 1998. Quelques jour auparavant monsieur m'avait confié -
un peu gêné - son goût pour la rigueur des uniformes scolaires.
Les petites jupes plissées, grises, bleu marine ou écossaises avec
des culottes en coton en dessous. Voila que retient monsieur en
parlant du fantasme de l'écolière. Du basique à l'état pur. Je
n'ai pu m’empêcher d'éclater de rire. Alors monsieur un peu vexé,
n'a pas oublié de rajouter :
Ça va de
paire avec l'emploi du martinet, isabelle !
Achat un commun, effectué au cours
d'une agréable journée ensoleillée. J'avais déjà pu goûter à
quelques reprises à cet instrument si traditionnel et si étroitement
lié à la culture française. Aucune discussion sur la fessée où
le martinet ne fait pas surface et devint le principal acteur de
savoureuses anecdotes. En fait, il y a avant tout son non-dit. Il
semble plus méchant quand on en parle que de le subir. Une fessée
au martinet est certes douloureusement désagréable, mais en aucun
cas assimilable à une séance de torture. Cela rejoint le registre
« même pas peur, même pas (trop) mal » évoqué parfois
dans ce contexte et résumant parfaitement mes propres impressions.
Reste après acte un fessier brûlant, joliment strié, plaisant à
regarder dans une glace et qui donne envie de devoir l'exposer...
tiens...devant quelques bonnes copines. Ou encore la belle mère dans
mes fantaisies les plus hardies.
...et des
longues chaussettes blanches qui s’arrêtent juste en dessous
du genoux !
Tu
plaisantes chéri ?
A suivre...
J'ai pu vérifier le potentiel perturbateur des chaussettes montantes sur Constance... C'est amusant de voir que, lorsque le cerveau se met à dériver dans des situations pas vraiment appropriées - il suffit d'être immobilisé! - on a tendance à chercher des éléments un peu plus éloignés de la fessée. Je me souviens avoir cherché à imaginer des punitions tout aussi troublantes et plus proches de ce qui pourrait être des punitions réelles. En général, je ne trouvais rien de plus que des restrictions vestimentaires que je compliquais indéfiniment, ou des mises au coin. Il faut dire que l'environnement que j'ai connu (famille comme école) ne me fournissait pas grand-chose: je ne savais même pas qu'il arrivait à certains de faire des tours d'une cour ou des heures de colle!
RépondreSupprimerMoi aussi je suis plutôt « autodidacte » en matière de punitions. Tout genre de réprimande était rare pendant ma scolarité et de plus je ne suis pas une personne qui se fait remarquer négativement. Plutôt la chouchou des profs pour mon sourire, ma bonne humeur et ma participation très active au cours. Alors comme toi, je me suis spécialisée dans le coin et surtout les tenues. Et à ce niveau la panoplie est vraiment large pour une femme. J'ai d'ailleurs quelque part - tu devrais t'en douter – un passionnant article des années 30 je crois qui parle du rapport entre vêtements et pudeur. Quand je vois votre blog je trouve une belle recherche de nouvelles punitions. La fessée reste la pièce maîtresse, mais j'aime surtout cette imagination qui commence à divaguer sans jamais tomber dans le mauvais goût.
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