Suite de : 275 Provoquer avec mes fesses rouges 1
(Je vais te
passer la crème, isabelle !)
Tu
feras cela. Tu es un amour !
Restons dans le
ludique. Aucun doute, j'ai envie de m'amuser avec mon homme et je ne
risque plus rien. Parfois il aime bien me corriger quand il me trouve
trop provocante. Quand je me montre tellement aguichante et
insistante, notamment quand il fait un truc qui demande toute sa
concentration. Consciencieux de nature il ne souhaite pas lâcher
prise et pour me calmer un peu il me passe sur ses genoux. Ma foi,
cela calme... un peu, mais certainement pas pour longtemps.
Aujourd'hui étant
déjà punie et par conséquence quoi qu'il se passera pour le reste
de journée, il n'en tiendras pas compte. Enfin sauf en cas de vrai
abus bien entendu. Ceci dit mon besoin de punition largement
satisfait, j'attends une fulgurante réconciliation pour le soir et
cela se prépare. Ma nature provocante peut s'épanouir en toute
tranquillité. Et de plus Monsieur est entièrement disponible. La
preuve il me fait faire du coin pour pouvoir se réjouir de la belle
vue.
Aladin
frotte la lampe et hop sort le génie. Monsieur me claque les fesses
et hop sort une sacré envie d'une soirée épicée.
Déjà une belle
correction toute seule met à vif la sensibilité de mon homme. J'ai
parfois l'impression qu'il lui tarde que je me comporte avec
insolence. Nos rythmes sont assez proches et deux belles remises en
question par semaine nous suffisent généralement pour se trouver
tous les deux apaisés à ce niveau.
Alors cela
s'active dans mon coin. J'écarte un peu mes jambes et je me penche
en avant. Cela fait partie de mes droits au coin. Il m'est interdit
de me retourner, mais si j'ai envie je peux me pencher comme bon me
semble. Voila qui donne un aperçu imprenable de mon intimité. C'est
étonnant à dire, depuis que je suis définitivement épilée de
partout, je suis parfaitement à l'aise avec ma nudité. Je n'étais
déjà pas bien pudique avant, mais depuis plus aucune position ne me
gêne et j'aime me dévoiler sans la moindre retenue et dans le
moindre recoin...devant mon homme. Et lui, bon, il en
redemande. Toutefois, être obligée de séduire par la nudité de
ses fesses n'est pas une simple affaire. Cela demande une certaine
solidité.
Car
l'exhibition vise avant tout une confirmation narcissique que l'on
rêve de découvrir dans les yeux de l'autre.
Or dans le coin,
c'est bien différents. On ne sait pas, ce qui se passe dans son dos.
Et si le partenaire était partie en toute discrétion pour se
chercher un café par exemple. Mon homme m'a déjà fait le coup et
du coup je me suis sentie toute bête de m'avoir déhanchée avec
tant d'entrain... pour rien ! Déjà être punie à l'âge
adulte de manière bien traditionnelle en abandonnant toute fierté
en implorant pardon et surtout en promettant une amélioration de son
comportement est une belle régression. Mais oui, la fessée rajeunit
sacrement. Pendant un tel rituel je me sens souvent ado à un moment
ou un autre. De la bonne discipline comme j'imagine qu'elle
s'appliquait dans le temps. Exercice bien impudique qui crée un très
fort lien charnel et qui sied pour cette raison mieux à un couple
amoureux où la tension peut trouver meilleure décharge que des
activités faute de mieux sous la couette. Enfin être envoyée au
lit après une bonne fessée ne manque pas de charme non plus.
Quand j'ai reçu
une correction je me sens étrangement en accord avec mon vrai désir.
Et c'est ma raison qui essaye de contester. Contester en étant elle
aussi un peu enivrée par les douces effluves de l'éducation
anglaise. En essayant de m'expliquer alors que le coin signifie avant
tout une situation d’échec, d'être retombée à nouveau dans mes
mauvais comportements qui méritent punition. L'usage de gros mots,
être insolente avec ma mère ou ma belle mère, me fâcher
méchamment avec un dame que je soupçonne d'avoir fait des yeux doux
à mon homme.
Mais il est
possible de préciser encore mieux, de venir à l'essentiel:
Je
suis encore tombée dans mon fantasme de fessée au lieu de me
comporter comme une femme de mon âge.
Et ma punition
consiste justement à devoir montrer par où j'ai péché, c'est à
dire en exposant mon derrière tout nu, comme s'il s'agissait d'une
partie autonome de moi qui exprime maintenant ses regrets et sa honte
par sa belle couleur rouge.
Je n'aime pas laisser Simon longtemps au coin (lui non plus, mais quand on est puni, on n'a pas son mot à dire), même après la fessée j'ai trop envie de lui faire un câlin.
RépondreSupprimerMais passer de la crème, ça oui, j'aime! (et ça me met globalement dans le même état que vous!)
A se demander pour lequel des deux le coin est la plus grande punition. Pour la personne qui regarde le mur ou pour celle qui regarde les fesses rouges. Niveau tentation j'opterais pour la deuxième...
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