J'ouvre
une nouvelle rubrique « Mercredi de mes lecteurs » qui
contiendra récits, anecdotes, pensées, remarques et questions de
mes lecteurs.
Je
commence par un joli texte en trois parties de Main leste ! Je
n'en publie que deux parties sur mon blog. Un aujourd'hui et le
deuxième la semaine prochaine.
Pour
les curieux il suffit de contacter l'auteur.
DU
REEL A
L'IMAGINAIRE (Par main leste)
Trois
scènes, liées à la fessée, dont j'ai été réellement le témoin
au cours de ma vie (seuls les noms et quelques détails ont été
changés, pour préserver l'anonymat des protagonistes). Trois scènes
qui m'ont troublé, ont titillé mon imagination, car avant ou
après, il s'est sûrement passé quelque chose...
Triple
punition
Myriam
était la secrétaire d'un centre où j'étais jeune coopérant. Très
belle, avec beaucoup de classe, des cheveux et des yeux noirs, elle
faisait tourner la tête aux jeunes gens qui venaient là pendant un
ou deux ans passer leur service militaire et beaucoup (mais pas moi)
passèrent entre ses bras. Sa liberté, qui n'avait d'égal que sa
compétence professionnelle, détonnait dans ce pays aux mœurs si
puritaines. Au début de mon séjour, elle vivait une relation à
trois avec deux coopérants, Marc et Bernard. Ce dernier avait
un poste à l'ambassade, mais Marc travaillait au centre.
Un jour, lors d'une réunion du centre, où nous étions une petite
dizaine, le directeur remarqua un oubli de la part de Myriam, chose
fort rare de sa part. "Ça mérite la fessée", lança-t-il
pour plaisanter. "La fessée, bon d'accord", répondit
Marc, qui se tenait à côté de son amie. Sans plus de préliminaire,
il la souleva littéralement de terre sous son bras, et lui appliqua
une demi-douzaine de grandes claques sur son joli cul, qu'un pantalon
bien serré mettait parfaitement en valeur. Myriam poussa un petit
cri de surprise lorsqu'elle ses pieds quittèrent le sol, mais subit
ensuite sa fessée en silence, et quand Marc la remit par terre, elle
atterrit avec grâce, se tenant légèrement, dans un geste plein de
confiance et de complicité, au bras de son amant afin de retrouver
son équilibre. Impossible de me souvenir comment réagirent les
autres témoins de cette scène surprenante, mais, à moi, elle
me fit beaucoup d'effet ... Et une question me taraude toujours : que
s'est-il passé ensuite à la fin de cette journée, entre
Myriam et ses deux hommes ?
Marc et Myriam arrivèrent chez Bernard pour dîner. A l'apéritif, Marc lança :"tu sais que j'ai dû donner une fessée à Myriam au travail, devant tout le monde ?" "Ah bon, raconte !". Marc narra l'histoire à son ami et rival, qui réfléchit un moment. "Dans une famille bien tenue, quand un enfant a été puni à l'école, il doit l'être de nouveau à la maison". Myriam leva ironiquement un sourcil, voyant parfaitement où Bernard, qui avait la main aussi leste que Marc, voulait en venir. "Myriam doit recevoir une seconde fessée, et bien sûr, c'est à moi maintenant de lui donner." "Logique", opina Marc.
Myriam, toujours silencieuse et souriante, se leva et alla
d'elle même s'installer en travers des cuisses de Bernard. Celui la
fessa vigoureusement, plus longuement que Marc ne l'avait fait. "Mais
une fessée à la maison, ce n'est pas comme une fessée au travail,
ça se donne déculottée", dit-il brusquement. "Ah oui,
mais dans ce cas, je la fesserai aussi cul nu, mais sinon ce ne
serait pas juste !", répliqua Marc. "Mais ça me fera
trois fessées dans la journée...", releva Myriam. "Tais
toi, quand on est punie, on est punie", répliquèrent en coeur
les deux hommes.
Myriam retira son pantalon, et reprit la position,
laissant à Bernard le soin de lui baisser sa petite culotte. Ses
fesses, rondes et fermes, aussi splendides que le reste de sa
personne, avaient juste un peu rosi jusque là, protégées par le
textile. Cet état de choses ne dura pas longtemps et c'est avec un
postérieur écarlate que, quelques minutes après, Myriam se leva de
nouveau et vint présenter son séant à Marc, debout, penchée sur
la table. Elle savait que son deuxième amant préférait la station
debout pour faire croire qu'il avait de l'autorité sur elle...
Quand cette troisième punition prit fin, le rouge virait presque au
violet, mais Myriam, qui n'avait émis que quelques gémissements,
n'avait rien perdu de sa superbe. "Et maintenant, au lit !",
ordonna Marc d'un ton qui se voulait sec. Les deux hommes la
regardèrent partir vers la chambre, d'une démarche
chaloupée mettant d'autant plus en valeur ses formes qui
venaient de subir une rude épreuve. Ils se regardèrent : "et
si nous aussi, nous allions nous coucher ?" dit Bernard.
"J'allais le proposer", répondit Marc. Et d'un même
mouvement, les deux hommes se dirigèrent à leur tour vers la
chambre.
Pour
contacter l'auteur : vincentflaneur@yahoo.fr
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