mercredi 27 juin 2012

110 Discipline corporelle et hygiène de vie 4


Je n'aime pas quand mon homme me déculotte lui-même.

(Et je n'ai eu aucun mal pour cerner que le pyjama sert justement à varier son plaisir de me déculotter. C'est tellement facile avec cette tenue...

Devoir se mettre en pyjama à partir d'une certaine heure, instaure à mes yeux un agréable rapport d'autorité avec un sous-entendu de taille :

Je t 'ai à l’œil, isabelle. Si t'affiches un comportement irréprochable, tout va bien. Par contre au moindre écart on baissera ton froque, une bonne fessée, un suppo et au lit. C'est bien compris ?)

Et je n'aime pas non plus m'allonger avec un pantalon autour des chevilles sur ses genoux.

Dans la discipline domestique le plus souvent les punitions se passent à nu, c'est-à-dire que la dame se présente complètement nue pour bénéficier pleinement de la sévérité du monsieur. Dans cette nudité il y a quelque chose de très libératoire je trouve, cette idée sous-entendu de recommencer à zéro, d'une nouvelle chance donnée. Et quand je me rhabille après le coin, je ne manque pas de bonnes intentions de mieux surveiller mon comportement.

Comme dit mon homme un bon paddle fait un effet carton plein, veut dire dans son langage qu'il procure une sensation uniformément douloureuse dans les parties châties. De plus, appliqué avec méthode ou pas, le paddle ne laisse aucun doute sur ce qui se passe. Une personne dans une pièce à côté saurait infailliblement que quelqu'un reçoit de la discipline traditionnelle.

Et c'est partie pour chauffer le paddle !

Il suffit d'un court instant de traitement pour que j'exprime avec ardeur mes regrets et mes promesses de m'améliorer. A aucun moment ne me vient à l'esprit un éventuel aspect récréatif de la chose. Je me suis mal comportée, j'ai éprouvé un fort besoin de discipline corporelle et mon homme se charge de me l'appliquer. J'ai un terrible mal dans mes fesses et je ne suis pas au bout de ma peine. Pour gagner le sentiment d'avoir pleinement expié ma faute, il me faut un châtiment juste et approprié. Une discipline ferme et bienveillante qui se montre par une vive couleur à la manière :

Elle était sévère la fessée que t'as reçue !

Et qui provoque non pas de la compassion à cause d'abominables hématomes et le conseil de saisir sur le champs un avocat, mais un air bien amusé, moqueur de la personne qui regarde mon derrière.

En général quand j'ai le droit de me relever de ma fessée, je passe un long moment à me masser mon derrière. Les jambes écartés, je me penche bien en avant pour mieux soulager ma peau. Même si mon homme rigole de mon obscénité involontaire, à ce moment-là cela m'est relativement égal et puis je pars au coin avec bon nombre d'ondulations et frottements.

Avec ce maudit pyjama, je ne puis m'adonner à mes habitudes de détendre mon fessier. Et le pantalon autour des chevilles me donne une démarche de plus ridicule.

Mais peu importe, j'ai payé ma note et un peu de coin me fera du plus grand bien.

N. B. : Je fais partie des personnes qui ont besoin de discipline corporelle sur une base régulière à cause d'un besoin de punition particulier qui réclame pour bon nombre de mes actes et comportements des sanctions qui se passent sur mon derrière. Dans ce sens mes corrections sur les genoux de mon homme font partie intégrante de notre hygiène de vie.

8 commentaires:

  1. Hé... J'apprécie de déculotter mon épouse avant la fessée, mais j'aime aussi l'embarras de la faire baisser son pantalon et marcher jusqu'à la punition avec le pantalon sur les genoux ou les chevilles.

    Vous parlez d'hygiène. La culotte baissée peut être l'occasion d'une inspection... Madame rougit quand elle se fait laver "devant" et "derrière" comme une gamine de 5 ans.

    Quant au suppo et au lit... quel type de suppo?

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  2. Des suppos sur ordonnance,cher Pécan! Hein oui, ce n'est pas du pur amusement, mais c'est mon docteur à qui je demande si possible mes médicaments sous forme de suppositoire. Cela lui fait rire ceci dit, mais je le connais très bien.

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  3. D'accord. J'ignorais que, de nous jours, on trouvât des suppositoires pour adulte d'autre chose que de glycérine, paracétamol ou eucalyptol contre le mal de gorge.

    Pour notre part, nous gardons un stock de suppos contre le mal de gorge et, en cas de cette affection, c'est effectivement "la température, un suppo et au lit", et le suppo du matin, et même (mais cela est devenu difficile avec les enfants), les jours de congé, celui du midi. Madame joue d'autant plus à l'infirmière consciencieuse qu'elle n'a pas eu droit à pareil traitement enfant, et applique scrupuleusement un protocole destiné à sa bonne administration (par exemple, envoyer systématiquement le patient se soulager avant l'introduction).

    Bien entendu, en cas de besoin, l'introduction peut être immédiatement suivie de la fessée.

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    1. Je crois qu'il existe même des suppositoires homéopathiques. L'utilité médicale saute aux yeux: un estomac fragile. N'oubliez pas de le mentionner chez votre médecin. Il se peut qu'il vous guidera vers le "bon produit" sans autres indications....

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  4. Chère Isabelle,

    Voici ce que nous avons fait le week-end dernier en profitant de l'absence de nos enfants. Madame avait réclamé une punition pour "vilaine gamine"...

    Madame a dû se mettre en pyjama et culotte. Je l'ai d'abord fessée par dessus, puis j'ai baissé pyjama et culotte. Première surprise: un suppo de glycérine. Je lui ai alors donné sa "vraie fessée", à la main et à la pantoufle et en veillant à parfois vérifier digitalement à quel point la "vilaine" était sensible à ces attentions.
    Puis elle a fait un peu de "coin", le temps de ressentir le plein effet du remède, qu'elle a été rendre aux toilettes.

    Je l'ai reprise sur les genoux et ai repris la fessée. Une fois un résultat visuellement et digitalement suffisant atteint, elle a eu la deuxième surprise.

    Voyez vous on faisait dans le temps les suppos en beurre de cacao et je crois bien que c'est cette substance qui expliquait les "fuites" de mon enfance. Je m'en suis procuré dans une boutique bio et en ai préparé une petite "fusée" pour les fesses de madame. Complètement sans médicament, sans danger, mais très embarrassant sans doute.

    Je lui ai mis une protection hygiénique sous l'anus et l'ai renculottée, puis mise au lit avec interdiction de se soulager (mains en dehors de la couette) pour une séance de méditation.

    Elle m'a dit que l'impression de "fondre devant et derrière" était fort troublante.

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  5. Ah ces week-ends en tête à tête ! Cela manque parfois quand on a des enfants. Je vois que vous vous amusez bien et donc un grand merci pour partager avec nous vos jeux intimes. Bon enfant, cela va de soi et à vrai dire je préfère cela aux récits de maltraitance fessière qui relatent comme seule originalité libidinale la souffrance d'autrui. Je vois que vous aimez les jeux qui font travailler la patience et l'imagination en même temps. Et à choisir je préfère le coin qu'être envoyée au lit avec un suppo. Toutefois je vois l'impression de "double fondant" de votre dame...

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    1. Si vous voulez tenter l'expérience: c'est plus proche de ce que je ressentais parfois dans l'enfance, avec la "fuite" grasse quasi inévitable, que des suppos actuels. Complètement sans danger et très très embarrassant (j'ai failli lui mettre une couche adulte mais cela aurait nécessité un achat assez spécial!), surtout couplé au postérieur chauffé, à l'humidité non satisfaite et à l'interdiction de la vilaine main.

      Je vous rassure, après un peu de méditation et de sieste je me suis occupé d'elle.

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    2. Ce n'est pas vraiment mon terrain, les petites fuites et les couches, cher Monsieur Pécan. Et si je parle beaucoup de la honte du derrière, c'est pour mieux cacher celle qui se rapporte au devant. Ce qui rejoint un peu la thématique de Molière dont fait référence Monsieur Mac-Miche. Une imposture sur un mode « comme un garçon » qui reste fantasmatiquement cachée tant que j'expose mon derrière , mais qui saute aux yeux en me retournant. Par conséquence je trouve moins gênant de passer du temps au coin que quand mon homme me sermonne toute nue en laissant vagabonder son regard...

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