Quand
j'étais gamine ma curiosité sexuelle s'est transformée petit à
petit en une véritable passion pour le savoir.
C'est vers mon
adolescence qu' ont fait apparition des fantasmes tournant autour
d'un percepteur bien instruit et bien sévère, chargé de mon
éducation.
Ajoutons
à cela un cadre quelque peu moyenâgeux, à l'image de Pierre
Abélard et d’Héloïse pour
combler mes élans romantiques et des méthodes basées sur le
châtiments « ex manus » (appliquées à la main) et nous
y sommes.
Point
de faute d'orthographe qui me vaut une correction exemplaire !
Non ! Mais un comportement de plus provoquant dans le sens de séduction féminine envers mon précepteur, me détournant ainsi de
la vraie science.
J'imagine
mon précepteur, un peu dépassé par la situation, respirer à une
vive allure. Quelques gouttelettes de sueur et surtout très gêné
quand il remonte ma robe. En m'expliquant de manière le plus
scientifiquement possible (qui ne trompe personne) le bienfait de la
discipline corporelle pour élevés récalcitrantes.
Malgré
la fraîcheur matinale, moi aussi j'ai très chaud et la sensation de
me retrouver, les fesses dénudées sur le genoux du Monsieur me
provoque d'agréables frissons. Pendant que les claques pleuvent, au
début timides, puis de plus en plus fortes, je sens - outre une vive
brûlure – quelque chose se durcir sous la soutane ...
Et
voilà mon instruction en sciences masculines qui progresse à pas de
géant !
Je
n'ai jamais reçu de fessée par un monsieur en soutane (quel
dommage), en liaison avec une confession menée sans chichi (tiens
pourquoi pas tant qu'on y est), mais les effets d'un tel acte sur la
libido masculine n'a pas de secret pour moi.
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