dimanche 24 juin 2012

108 Exercices de maintien en corset et bas nylon


Je pense à ne pas être la seule femme qui adore les corsets.

J’applique la règle taille mois 10 (au maximum) ce qui me procure une silhouette élégante sans rentrer dans la contrainte. Me permettant ainsi de porter mon corset pendant la journée entière.

Pour le laçage j’ai initié mon homme qui prend grand plaisir à me transformer en clepsydre. En ajoutant des bas nylon, des escarpins hauts, un joli chemisier, un tailleur gris ou bleu marine avec jupe droite je me sens... très classe. Puis le corset me force à adopter une démarche légèrement ondulante au niveau de mon popotin.

Quand j’ai besoin d’être corrigée en portant cette tenue (ce qui est très rare tout de même), mon homme prend un malin plaisir de prolonger mon supplice. Ma jupe et culotte enlevées, mon fessier rouge flamboyant et bombé par le corset, il m’impose des exercices de maintien. Avec un livre sur la tête j'effectue des allées et retours dans la pièce pendant une demi heure sous son regard attentif. Le temps nécessaire que mes globes enflammés refroidissent un peu.

L’effet bénéfique du châtiment pour moi est double : La fessée me garde sur la voie des bonnes manières et ma démarche gagne en élégance. Quand vient le moment de remercier monsieur pour ma punition, l’exercice m’a rendue contrite et réfléchie et je suis prête à lui exprimer toute ma gratitude de ne jamais passer sur mes fautes. Surtout parce que sa vision personnelle de la discipline domestique sert à me rendre plus attirante.

12 commentaires:

  1. Texte superbe ; ma femme Agnès est à 100 % d’accord avec vous. Lorsqu’une femme se penche pour recevoir la fessée et qu’elle a un corset, croupe s’épanouit davantage et c’est en encore plus motivant pour le mari.
    « En ajoutant des bas nylon, des escarpins hauts, un joli chemisier, un tailleur gris ou bleu marine avec jupe droite je me sens... très classe. » : J’imagine !
    « Puis le corset me force à adopter une démarche légèrement ondulante au niveau de mon popotin. » C’est aussi les talons hauts qui accentue la cambrure du dos et fait ressortir le popotin. Jupe étroite, corset et talons = un véritable appel à la fessée !
    Dernière question chère isabelle avez vous déjà mis des ballet – shoes ?

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  2. Je connais les vraies chaussures de ballet, car j'ai fait de la danse classique quand j'étais petite. Pratique qui sert encore à l'âge adulte pour porter des chaussures à talons très hauts avec élégance « naturelle ».
    Puis plus tard, jeune adulte, j'étais majorette dans un club de carnaval en Allemagne. Ce qui implique marche et danse sur bottes à talons hauts.

    J'aime bien quelques trucs de fétichisme sans prétention d'y connaître quoique ce soit. Mais j'avoue que pour les ballet-shoes j'ai regardé sur google. Donc jamais mises !

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  3. Rien ne vaut la danse classique pour avoir une démarche gracieuse, dans le temps les parents inscrivaient leurs filles à des cours de danse classique pour leur donner de l’allure : port de tête, mouvement de bras etc. Et rien ne vaut l'apprentissage des pointes pour apprendre à marcher avec des talons aiguilles de 12cm. Marcher avec des talons aiguilles est un art qui ne supporte pas la médiocrité, quoi de plus affreux qu’une femme à la démarche hommasse, remuant des épaules, manquant de tomber tous les trois pas juchée sur des hauts talons !

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  4. C'était mon idée de faire de la danse classique. Malheureusement ce n'est pas seulement une question de sérieux à l'entraînement, mais surtout une histoire de musculature, de longueur d'orteil...

    Il y a beaucoup de femmes qui n'osent pas les hauts talons, justement par peur d'une démarche peu esthétique. Pour ma part je pense qu'il faut outre l'envie de se faire jolie surtout une sacrée volonté pour apprendre à marcher sur ces talons. Ce n'est pas gagné d'avance...

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  5. Vous avez raison, il y a des prédisposition physique qu'on a ou pas et que le travail seul ne peut combler. peut-être suis je un peu sévère, et des femmes pourraient me rétorquer "j'aimerais vous y voir monté sur des talons e plus de 10 cm!" Il me semble que notre first girl friend se débrouille pas mal, l'avez vous vu?

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  6. Après, le fait d'être sexy joue sur beaucoup de paramètres. Les talons hauts en sont un parmi d'autres.
    Ce qui est triste, quand une femme a une démarche pataude parce qu'elle essaie de marcher avec des talons hauts, ça n'est pas tellement sa démarche pataude: c'est plutôt qu'elle pense qu'elle doit se forcer à porter ça, même si elle n'aime pas, même si ça n'est pas son truc, parce qu'elle est convaincue que c'est une obligation pour être sexy. Ça, oui, c'est vraiment affreux. Parce qu'il y a mille et une manières d'être désirable. Avec ou sans talons.
    J'ai dans ce cas précis énormément de chance: l'homme que j'aime, celui que j'ai envie de séduire au quotidien, préfère de loin les talons plats. Et aux dernières nouvelles, il me trouve assez sexy, malgré mes ballerines.

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  7. @Maxime : Il n'est pas le but de mon blog de faire de politique, mais je trouve la dame en question très élégante.

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  8. @Constance : Rationnellement je suis d'accord avec vous. Par contre irrationnellement c'est tout une autre histoire. Pourquoi en fait j'aime mettre des hauts talons ? Je suis un peu perdue entre des considérations narcissiques et phalliques (dans le sens d'être le phallus bien sur). Parce que l'effet sur mon homme est considérable. Question de pouvoir ? Une chose est sure, parler de considérations purement esthétiques me concernant me paraît un prétexte.

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  9. Constance je suis tout à fait d'accord avec vous, l'élégance, l'érotisme, la séduction disparaît dés qu'il y a la moindre notion de quelque cose de forcé, comme si il fallait ressembler à un modèle; L'aurte jour dans le métro j'ai vu une jeune fille avec des amis à elle, eux étaient habillés de façon décontracté, elle comme une ravissante poupée avec des talons aiguille absolument vertigineux, sans doute plus de 12 cm, 13 ou 14. elle était petite car avec ses talons elle ne dépassait pas 1m70 environ. Elle marchait avec un aisance tout à fait confondante y compris lorsqu'elle prit l'escalator. Ce genre de vision reste en mémoire pendant quelques heures et nous ravit.

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  10. Votre dernière phrase m'interpelle fortement, Maxime. Elle rejoint en fait pas mal de confidence recueillies de la part de Messieurs que j'appelle nostalgiques (le mien y compris). Parfois c'est un talon haut, parfois le plis d'un bas, parfois une attache de jarretelles qui se dessine sous le tissu d'une jupe et ainsi de suite qui génère aussitôt de la bonne humeur chez le Monsieur. Et cet état perdure justement comme vous dites pendant des heures.

    D'après ce que l'on m'a dit et ce que je veux bien croire, ce n'est même pas explicitement sexuel, seulement du bonheur pur d'un grand garçon...

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  11. Ou d'un petit (garçon)! Tous ne jouent pas à la guerre et au petit soldat.
    C’est vrai que ce genre de plaisir n’est pas vraiment sexuel mais un dosage subtil d’élégance, d’érotisme, de séduction.
    Est-ce l’apanage des hommes nostalgiques ? Sans doute je regrette une époque d’avant le collant (beuh), où le talon aiguille était plus présent, où la notion de fétichisme ne cataloguait pas de façon quasi médicale des parures et accessoires qui exalte la féminité. On parlait simplement d'élégance.
    Mais notre époque offre bien des charmes : deviner le string sous le la jupe et le pantalon par exemple, voilà un petit plaisir qui n’existait pas dans mon enfance.

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  12. On peut voir du fétichisme partout. Que ce soit à tort ou à raison, pour ma part je préfère nettement entendre qu'on parle d'élégance. C'est plus romantique, plus flatteur. Et si je mets des talons hauts, c'est...pour séduire. Je ne fais pas un discours prétexte de la belle jambe, de ma petite taille...bien que cela joue aussi... accessoirement.

    Je lis avec plaisir votre « déclaration d'amour » au string. Mais oui, pour ma part aussi je pense que la nostalgie peut s’adapter dans certaines limites à notre époque. Je considère le string comme un précieux surplus dans ma garde-robe sans vouloir faire du prosélytisme. Ceci dit entre le « sans culotte » et des modelés anciens fendus, j'ai un peu de tout pour être parée à chaque occasion.

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