Un
derrière plein de marques pendant quelques semaines car...
Ce qui ressort de cet interview de
Maureen O'Hara (à 2min 36s). Alors en ce sens nous sommes en face
d'une véritable correction en public, fantasme qui m'est cher. Non
pas une de ces mises en scène dans une soirée dédiée entre
personnes sur la même longueur d'onde. Mon fantasme se nourrit d'une
situation partant du quotidien qui semble « justifier »
ce qui m'arrive et gagne en volume par le fait que le public pense
que ma punition est amplement méritée. Nous sommes dans une
constellation du masochisme social qui selon les premières théories
était censé de se produire sans accompagnements d'effets de l'ordre
plaisants, voire accompagné d'un comportement qui cherche de manière
inconsciente une punition. Se distinguant ainsi du masochisme
érogène qui trouve bien conscient son plaisir dans l'acte.
Difficile de dire encore des choses sur
Le Grand McLintock. Peut-être un des sujets les plus abordés en
rapport avec notre passion. Puis, un jour je suis tombée quelque
part sur un commentaire anonyme. Et là, le grand déclic. Mes yeux
qui commencent à briller par tant de brillance d'esprit. Je me sens
(presque) retourner en enfance, dans l'étude de mon papa en écoutant
émerveillée ce que les hommes se disent au sujet des dames. Notons
que la brillance masculine me fait toujours... un effet pas possible.
Et il arrive souvent quand mon homme dans une soirée s'envole par la
qualité de son argumentation que je me montre particulièrement
inspirée plus tard au lit. Passons.
Alors j'apprends que Monsieur Wayne
avec ce film a su ériger un monument à la gloire de la libération
des mœurs sexuelles. Il raconte l'histoire d'un homme qui malgré
une réussite extérieure flagrante, reste incapable depuis 20 ans de
satisfaire au lit sa femme et peu étonnant que celle-ci décide de
demander le divorce. Seulement un jour notre brave Monsieur devient
témoin d'une déculottée que reçoit sa fille et chose étrange,
elle en redemande, veut dire qu'elle décide de se marier avec celui
qui applique. Et là c'est le déclic. Le happy end se prépare en
appliquant une savoureuse correction publique à son épouse qui
reconsidère sa position et souhaite subitement rester avec son mari.
Et voici la conclusion brillante de cet anonyme :
McLintock est une histoire dédiée
à la liberté sexuelle, considérant la fessée comme une autre
façon de faire l'amour. Alors si votre dame en est friande,
n'attendez pas 20 ans. La fessée est seulement avilissante quand
elle n'est pas consensuelle, vérité qui concerne toutes les
activités charnelles d'ailleurs.
Je
vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !
Bonsoir Isabelle !!
RépondreSupprimerMerci pour cette petite anecdote. Il ya un autre film dans lequel le grand John Wayne excelle dans l'art (très viril) de fesser ses partenaires féminines au cinéma. Je crois qu'il s'agit de "l'homme tranquille" ou bien de
"la taverne de l'Irlandais "que j'ai vu il ya une trentaine d'années, Il y donnait la réplique à Miss O'Hara (qui a souvent joué avec lui ) à l'époque .Ah le ciné TV des années 1980 où le petit écran nous régalait de ces chefs-d'oeuvres du 7è. Art. Cependant, j'hésite pour le bon titre. Peut-être les avez-vous vu également. Bonne soirée. Mac-Miche.
Malheureusement « le spécialiste français» de la fessée au cinéma, l'excellent Georges Fence ne poste plus sur le net. Il tenait d'adorables chroniques sur ce genre de films qui vivaient par sa belle plume et sa façon inimitable de raconter maintes anecdotes. Il aurait pu répondre sans hésiter ...
SupprimerAaaaaaaaaaaah John Wayne ! Le type qui a encore sa chemise blanche et repassée après cinq jours de bivouac ! John Wayne mon héros que j'ai même acheté son portrait par Andy Warhol. ! (Une repro hein) Autant j'aimais pas le bisou de la fin, mais alors la fessée de juste avant la fin WAAAAAA !
RépondreSupprimerOuiii le grand John Wayne ! Il n'y a pas plus crédible que lui quand il donne une fessée. Pour ma part je n'aurais pas osé de mettre son poster sur le mur de peur d'afficher trop visiblement mes goûts... enfin à condition de tomber sur un homme fin qui sait comprendre !
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