vendredi 21 février 2014

476 Liens de discipline domestique (102 ème édition)

Un derrière plein de marques pendant quelques semaines car...


Ce qui ressort de cet interview de Maureen O'Hara (à 2min 36s). Alors en ce sens nous sommes en face d'une véritable correction en public, fantasme qui m'est cher. Non pas une de ces mises en scène dans une soirée dédiée entre personnes sur la même longueur d'onde. Mon fantasme se nourrit d'une situation partant du quotidien qui semble « justifier » ce qui m'arrive et gagne en volume par le fait que le public pense que ma punition est amplement méritée. Nous sommes dans une constellation du masochisme social qui selon les premières théories était censé de se produire sans accompagnements d'effets de l'ordre plaisants, voire accompagné d'un comportement qui cherche de manière inconsciente une punition. Se distinguant ainsi du masochisme érogène  qui trouve bien conscient son plaisir dans l'acte.

Difficile de dire encore des choses sur Le Grand McLintock. Peut-être un des sujets les plus abordés en rapport avec notre passion. Puis, un jour je suis tombée quelque part sur un commentaire anonyme. Et là, le grand déclic. Mes yeux qui commencent à briller par tant de brillance d'esprit. Je me sens (presque) retourner en enfance, dans l'étude de mon papa en écoutant émerveillée ce que les hommes se disent au sujet des dames. Notons que la brillance masculine me fait toujours... un effet pas possible. Et il arrive souvent quand mon homme dans une soirée s'envole par la qualité de son argumentation que je me montre particulièrement inspirée plus tard au lit. Passons.

Alors j'apprends que Monsieur Wayne avec ce film a su ériger un monument à la gloire de la libération des mœurs sexuelles. Il raconte l'histoire d'un homme qui malgré une réussite extérieure flagrante, reste incapable depuis 20 ans de satisfaire au lit sa femme et peu étonnant que celle-ci décide de demander le divorce. Seulement un jour notre brave Monsieur devient témoin d'une déculottée que reçoit sa fille et chose étrange, elle en redemande, veut dire qu'elle décide de se marier avec celui qui applique. Et là c'est le déclic. Le happy end se prépare en appliquant une savoureuse correction publique à son épouse qui reconsidère sa position et souhaite subitement rester avec son mari. Et voici la conclusion brillante de cet anonyme :

McLintock est une histoire dédiée à la liberté sexuelle, considérant la fessée comme une autre façon de faire l'amour. Alors si votre dame en est friande, n'attendez pas 20 ans. La fessée est seulement avilissante quand elle n'est pas consensuelle, vérité qui concerne toutes les activités charnelles d'ailleurs.

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !
















4 commentaires:

  1. Bonsoir Isabelle !!

    Merci pour cette petite anecdote. Il ya un autre film dans lequel le grand John Wayne excelle dans l'art (très viril) de fesser ses partenaires féminines au cinéma. Je crois qu'il s'agit de "l'homme tranquille" ou bien de
    "la taverne de l'Irlandais "que j'ai vu il ya une trentaine d'années, Il y donnait la réplique à Miss O'Hara (qui a souvent joué avec lui ) à l'époque .Ah le ciné TV des années 1980 où le petit écran nous régalait de ces chefs-d'oeuvres du 7è. Art. Cependant, j'hésite pour le bon titre. Peut-être les avez-vous vu également. Bonne soirée. Mac-Miche.

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    1. Malheureusement « le spécialiste français» de la fessée au cinéma, l'excellent Georges Fence ne poste plus sur le net. Il tenait d'adorables chroniques sur ce genre de films qui vivaient par sa belle plume et sa façon inimitable de raconter maintes anecdotes. Il aurait pu répondre sans hésiter ...

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  2. Aaaaaaaaaaaah John Wayne ! Le type qui a encore sa chemise blanche et repassée après cinq jours de bivouac ! John Wayne mon héros que j'ai même acheté son portrait par Andy Warhol. ! (Une repro hein) Autant j'aimais pas le bisou de la fin, mais alors la fessée de juste avant la fin WAAAAAA !

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    1. Ouiii le grand John Wayne ! Il n'y a pas plus crédible que lui quand il donne une fessée. Pour ma part je n'aurais pas osé de mettre son poster sur le mur de peur d'afficher trop visiblement mes goûts... enfin à condition de tomber sur un homme fin qui sait comprendre !

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