jeudi 30 mai 2013

344 Sous les jupes des filles (#7)


Comment se débarrasser des mauvaises habitudes !

Je veux dire des jeux de vilaine main... dans certaines circonstances. Si, si, je suis sérieuse là. C'est un sujet qui me tient à cœur et qui m'a permis de mieux comprendre certains effets surprenants de la discipline domestique. Je sais bien que je me pose loin du climat régnant qui prône la devise de se faire plaisir soi-même et de posséder toute une panoplie de petites choses vibrantes qui font grimper aux rideaux. Et à vrai dire pour certains de ces trucs ce n'est pas si faux. Toutefois je trouve qu'il existe encore mieux, un partenaire dévoué qui se charge de remplacer la mécanique par du 100% humain. Évidement cela demande un certain apprentissage, du sur mesure, car chaque fille est unique. Soulignons-le, parce que je ne crois pas tout dans les modes d'emploi pour mieux faire jouir la dame comme on en trouve parfois sur le net ou sous forme de livres.

J'avais déjà parlé à maintes reprises de mon penchant pour la culotte oubliée. De là en déduire que je passe ma journée en glissant ma main sous ma jupe... relève de la pure imagination. Mon sans culotte, à doses raisonnables, s'adresse au grand garçon qui partage ma vie, pour entretenir à vif sa curiosité pour … moi et dans un second temps pour la différence entre filles et garçons justement. Le soir sauf grand chamboulement nous nous couchons d'habitude ensembles. Donc au lit aussi c'est râpe pour la vilaine main, car il y a franchement mieux à faire sous la couette. Idem le matin , nous avons l'habitude de nous lever à peu près à la même heure, surtout en semaine quand Monsieur travaille. Tout compte fait, me reste pour la vilaine main mes longs moments dans ma baignoire. Là je suis assez femme moderne et sans retenue. Et j'ai tendance de monter le son quand il y a grande possibilité de me faire surprendre par mon homme. Parce que je sais bien que cela lui donne un sacre coup de fouet au niveau de sa libido. Sans parler de son plaisir de temps en temps de me corriger sur le champs pour comportement inadmissible qui déconcentre un homme un plein travail. Excuse peu imaginative sur laquelle je lui répond par un « parle à mes fesses, si tu as des trucs à dire » ou en montrant sur mon derrière avec la remarque: tu as vu celui-là, tu sais ce qu'il te dit ? Bref on a compris, j'adore qu'il me taquine et j'en rajoute pour ma part. Donc cette vilaine main n'est pas non plus celle donc je veux parler, celle qui se confond pour moi parfaitement avec l'expression « mauvaises habitudes ».

Pour mieux me comprendre, partons d'une situation qui a justifié à mes yeux et à ceux de mon homme une claquante correction. Certes cette dernière met les idées bien en place, mais une fois finie, il y a très vite des effets secondaires qui se manifestent. Certaines grandes filles comme moi se montrent alors bien inspirées par le traitement appliqué et le plus souvent cela se voit bien. Comme dit mon homme avec grand amusement :

Voila le fameux bienfait de l'éducation anglaise ! Un entrejambe qui brille.

D'où la vraie raison du siècle victorien d'avoir instauré la pratique du coin. Cela servait à calmer les ardeurs et de permettre à la jeune dame de se remettre de ses émotions. Et on imagine facilement l'erreur dans la didactique punitive d'envoyer la dame après sa punition directement au lit. Cela m'est arrivé à quelques reprises et j'avoue de ne pas avoir été bien sage. Alors j'en ai parlé à mon homme car contrairement aux amateurs de la fessée récréative j'aime beaucoup tirer un réel profit de mes corrections. Poussée par la curiosité j'aime aller au fond de mes fantasmes et de les explorer autrement que par une satisfaction quasi immédiate. Retenons donc qu' à partir d'un certain âge quand il y a terrain favorable l’excitation dû à un cuisant châtiment est parfaitement normale. C'est la raison même pourquoi on arrêtait d'ailleurs d'appliquer ce genre de punition aux grandes filles. Me sentant faible dans la chair devant les assauts de ma libido, j'ai demandé donc à mon homme de me trouver un traitement. Fantasme purement sadique de ma part ceci dit en me référant à certains déformations de son pantalon quand il me découvre toute luisante dans mon coin. En gros il s'agit de dire non la nature qui demande son dû pour les deux partenaires. N'oublions pas nous sommes dans un registre de punition.
Après longues réflexions, mon homme à expérimenté différents traitements. Un de très amusant et tout mignon qui consistait à me faire porter un dispositif qui m’empêche de tout contact avec des parties en question. J’adore ce petit jeu. Mon prince charmant marque son territoire comme au moyen âge. Un comble de romantisme. J’aimerais ajouter ici un petit mot sur la méconnaissance de certains faits historiques. La fameuse ceinture semble être une invention de l’époque victorienne qui a remplit les musées de ceintures falsifiés pour se trouver une justification à ces pratiques étranges. Quoiqu'il en soit, il existe de nos jours des très belles ceintures, bien adaptées à l'usage et confortables à porter. De plus invisible sous les vêtements, mais dévoilant très clairement le fonctionnement du monde fantasmatique qui peut prendre pour identique les contraires. L'effet d'une telle ceinture s'apparente à s'y confondre au sans culotte. Du moins sur moi et mon homme. Bref nous nous sommes royalement amusés et il m'arrive parfois encore de sortir ce petit dispositif pour surprendre mon homme quand il s'y attend le moins.

Le traitement suivant était moins rigolo bien qu'il apporte des bienfaits réels. Monsieur canalise mes énergies débordantes de manière constructive. Cela peut être une séance de gym imposé ou une petite révision des pas de majorette. Je prends ma dose de sport (monsieur s’y connaît très bien en fitness pro, comme quoi…) et quand j’ai droit à ma douche il surveille pour exclure le risque de « mauvais comportement ». Pas de bain surtout. Ceci dit, après des telles efforts je n’ai qu’une envie : de me vautrer sur mon canapé. Le sport à forte dose produit des endorphines qui procurent un bien être physique inégalé. Ma tête est disponible pour un travail intellectuel ou créatif et j’en profite pour bosser. Je suis encore plus concentrée que d’habitude dans ce que je fais. Et quant à la vilaine main... hein bien elle est oubliée !

Il arrive aussi que mon homme me colle des corvées ménages. Sorte de punition de plus utile et que j'approuve pleinement. Je suis habituellement soigneuse, mais pas maniaque. Mais le détournement de l’énergie libidinale me transforme en ménagère dévouée qui frotte, frotte et frotte…. C'est épatant comme cette conversion peut euphoriser. Ces jours-là cela brille littéralement à la maison et pour le soir je prépare un super repas en tête à tête en grandes pompes et avec tenue correcte exigée. Il en va de soi que monsieur me récompense dignement et la longue attente a aiguisé mon désir au point de ne pas faire semblant. Je crie, mais pour d’autres motifs que la fessée.

En fait cette forme de discipline domestique suit scrupuleusement les méthodes éducatives d'antan. Elle empêche la satisfaction pulsionnelle où son dérivatif qui a motivé la sanction et toute cette précieuse énergie devient subitement disponible pour un tas d'autres choses. Éducation dans son sens noble, d'apprendre à différer besoins, désirs ou envie dans le temps (les câlins c'est pour le soir!) pour augmenter sa capacité de concentration et de travail et non pour obtenir une obéissance aveugle servant seulement le narcissisme de la personne qui impose...

18 commentaires:

  1. Bonjour Isabelle !

    L'intitulé de votre article ci-dessus me rappelle une phrase d'une chanson d'Alain Souchon : "... pour un jeu de dupes/ Voir sous les jupes des filles/...".
    Petite parenthèse d'humour. Bonne journée à vous.Respectueusement. Mac-Miche.

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  2. Là vous avez tout compris, Monsieur Mac-Miche. Effectivement j'aime beaucoup cette chanson et surtout les messieurs y décrits. Il est toujours fascinant pur moi de constater à quel point cette question peut passionner et entretenir la bonne humeur et la joie de vivre dans un couple...

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    1. Bonjour Isabelle !

      Merci du conseil ! Une sorte de fil conducteur en somme ! J'en prend bonne note !
      Pour nous les hommes, à n'importe quel âge, la Femme reste un sujet plein de mystères... que nous cherchons à découvrir, au grand dam de nos tutrices et autres nounous. Qui,en nos vertes années, punissent parfois notre excès de voyeurisme... d'une bonne fessée sur leurs genoux !! Mais nous restons tous malgré tout ,nous "pauvres diables", d'incorrigibles fétichistes ...en lingerie intime!!! Ah, les Femmes !!! Quels merveilleux tourments !!
      Bref, j'arrête là psycho de bazar et vous souhaite, Isabelle, une bonne après-midi. Respectueusement. Mac-Miche.

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  3. Enfin ne vous laissez pas berner non plus. Déjà Simone de Beauvoir met en garde des dames qui cultivent le mystère. Pour ne pas s'y perdre, il vaut mieux savoir ce que l'on cherche exactement.
    Je note l'idée de l'excès de voyeurisme puni. Un excellent sujet qui m'évoque plein d'associations. Je le note donc dans mon carnet de sujets déjà bien rempli et peut-être vais-je le traiter la semaine prochaine. Merci cher Monsieur Mac-Miche!

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    1. Bonsoir Isabelle !

      Merci beaucoup. Je méditerais votre conseil.N'ayez crainte ! Je ne suis pas Ulysse et je resterais insensible aux voix mélodieuses des filles de Poséidon. (Rires).
      Comme dit mon vieux marin de père: avant de partir en mer, écoute la météo... mais n'oublies pas ta boussole et les biscuits !
      Sur ces bonnes paroles, je vous souhaite, chère Isabelle, un bon WE et... bon vent !! Respectueusement. Mac-Miche.

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  4. Suite à certaines mauvaises habitudes, mon épouse avait envisagé l'achat d'une ceinture telle que vous la décrivez, mais nous n'avons pas trouvé de modèle compatible avec nos exigences (qu'elle puisse la porter disons une semaine sans difficultés).

    Je peux vous confirmer que la fessée, suivant comment elle est administrée, peut provoquer des effets similaires chez un homme.

    Avez vous essayé le bain de siège un peu froid après la fessée? Il me semble que cela devrait calmer les ardeurs...

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    1. Ah quelle horreur (rire), un bain de siège un peu froid. Cela ne me plairait pas du tout.
      Je ne suis pas spécialiste de ceintures au point de pouvoir vous conseiller un modèle pour un usage à long terme. Chez nous, c'est pour du très ponctuel,ne dépassant pas une journée. Et encore. Mais j'aime beaucoup le frisson de porter une telle chose. Ou aussi tout basiquement de la mettre le matin pour pouvoir dire à mon homme: Quand tu auras fini ton travail, tu peux me l'enlever...

      Quant aux effets de la fessée sur certains hommes, je vois déjà celui produit sur celui qui applique. J'imagine donc que cela doit être si c'est le monsieur qui reçoit...

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    2. Si la fessée était censée punir un mauvais comportement et non exciter, le bain de siège froid me paraît indiqué. Vous me dites que ce serait désagréable? Mais n'est-ce pas le but d'une punition?

      Pour la ceinture, cette suggestion de mon épouse faisait suite à l'aveu de manipulations honteuses appuyées d'un fantasme extraconjugal. Suivant le principe de "punir par où l'on a péché", elle voulait expérimenter une telle ceinture pendant quelques unes de mes absences.

      Le cahier des charges était:
      * permettre le passage aux toilettes, y compris la "grosse commission", et un minimum d'hygiène (donc, par exemple, pas de lanière passant entre les fesses)
      * pouvoir se défaire rapidement en cas d'urgence (mais bien entendu en laissant une trace indélébile)
      * empêcher toute manipulation ou pénétration du "devant"
      * pouvoir être portée pendant toute la durée du déplacement.

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    3. Cher Pecan, ne cherchez pas de la logique où il y en a pas. Nous appliquons des punitions qui nous sont fantasmatiquement agréables à imaginer et qui se révèlent dans la pratique parfois plus cuisantes que plaisantes. C'est cette contradiction entre fantaisie et réalité qui me donne des frissons. Quand au thermométrie et autres éléments, je me trouve personnellement dans un registre d'agrément qui travaille un peu sur la honte. Le bain de siège me semble aller dans ce sens.

      J'aime beaucoup votre cahier de charges. J'ai un faible pour les ceintures en cuir et il est facile à imaginer qu'il s'agit des gadgets purement ludiques qui ne tiennent pas à l'épreuve d'hygiène pour un emploi prolongé. Par contre il existe des très élégantes modelés (http://www.priceminister.com/offer/buy/141030229/ceinture-de-chastete-pour-femme-avec-grille-amovible.html#prd_information) qui semblent correspondre à vos critères.

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    4. "Un registre d'agrément qui travaille un peu sur la honte". Qu'en jolis termes cela est exprimé! C'est exactement cela pour nous: un mélange de honte, et en même temps de tendresse et d'attention, sans brutalité inutile; un peu comme un enfant qui estimerait avoir passé l'âge que maman le déshabille, le lave etc. Et par dessus, l'assurance que même dans ce qu'il y a de plus intime, on confie son corps à l'autre.

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    5. Oui, moi aussi j'ai l'impression que la fessée en couple peut être vécue comme élément d'un univers de tendresse et d'attention, loin des pratiques extrêmes. Il me parait d'un côté compréhensible que les adeptes de cette pratique ne se retrouvent pas dans le BDSM qui prône un gratuité de l'acte et surtout met l'accent sur le plaisir sans parler de l'amour. De l'autre côté il me parait aussi compréhensible que le BDSM essaye de récupérer les adeptes de la fessée bon enfant pour se doter ainsi d'une facette mignonne pour attirer du monde...

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  5. Dans notre couple, nous ne voyons pas d'inconvénient à ce que l'une ou l'autre se soulage manuellement de sa tension en cas d'indisponibilité de l'autre. Mon épouse n'aime pas trop les objets électriques (elle en a mais les utilise peu), préférant la combinaison de sa main pour l'extérieur et d'un objet de forme adaptée pour l'intérieur (ce qu'elle appelle le "substitut marital").

    Cependant, nous considérons qu'il est inapproprié de pratiquer cela quand le conjoint ou la conjointe pourrait fort bien remplir son office: c'est contraire à l'échange qui forme la base du couple, et par ailleurs c'est égoïste si l'on se retrouve indisponible après le soulagement. Donc, en temps normal, on demande à l'autre et le soulagement personnel n'est admissible que dans les rares cas où l'autre ne serait pas enclin à apporter le secours souhaité.

    Par ailleurs, nous considérons comme très inapproprié le soulagement accompagné de fantasmes réalistes sur d'autres que le conjoint; c'est une très mauvaise habitude passible de correction (et c'est celle-là qui nous avait fait considérer un éventuel achat de ceinture).

    En est-il ainsi également chez vous, Isabelle?

    (Et maintenant un petit épisode honteux. Il y a quelques temps, contrairement aux conventions ci-dessus, je me suis soulagé, madame étant occupée. Lorsqu'elle est arrivée, elle s'est étonnée que je ne l'ai pas attendue, surtout que j'étais alors incapable de remplir l'office qu'elle aurait voulu. Sans surprise, le vilain garçon impatient a été fessé. Ensuite, madame s'est ceinte de cet accessoire phallique qui sert à inverser les rôles et m'a fait mettre en position pour qu'elle puisse obtenir par ma face arrière ce qu'elle n'avait pas pu obtenir par ma face avant...)

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    1. A chaque ménage ses recettes ! Disons que chez nous la question du soulagement se pose uniquement entre le moment de la punition et la réconciliation. Pour que la punition reste une punition justement et pour profiter à détourner cette formidable énergie libidinale pour autre chose. Sinon chacun fait comme bon lui semble. Mais ayant une intense relation de couple, j'utilise mon temps autrement qu'à me tripoter. Car n'oublions pas, même si j'en parle quasiment jamais, nous aimons beaucoup nous amuser « sous la couette » sans qu'il y ait question de fessée. Je suis très peu, voir pas du tout encline à m'imaginer avec d'autres hommes dans mes rêveries. Je suis plutôt du style à inventer des petits scénarios qui peuvent se jouer avec mon chéri.

      Le pragmatisme de votre dame m'a bien fait rire. Je n'ai pas d'expérience de ce genre d'objets et je me verrais mal de m'occuper de telle manière de mon homme. Je pourrais par contre imaginer des telles situations au niveau d'un récit, au niveau d'une rêverie même, mais sans éprouver l'envie que cela se concrétisera un jour...

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    2. Mon épouse n'avait pas d'expérience de ce genre d'objets avant d'en utiliser un sur moi, mais a trouvé l'expérience ludique et intéressante. C'est une inversion des rôles que nous pratiquons parfois (je ne vous cache pas que, la plupart du temps, nous faisons des choses très classiques dans une position très classique). Mon épouse trouve cela stimulant (l'accessoire est conçu pour cela) et apprécie de pouvoir ressentir un certain "pouvoir" sur moi et mon intimité; d'ailleurs elle se dit que pratiquer cela régulièrement (je n'ai pas dit fréquemment) est une bonne chose.

      Sur ce point, mon épouse a appliqué l'adage "what's good for the goose is good for the gander", et a d'ailleurs choisi le diamètre de l'objet par mesure de réciprocité.

      Quant à moi, même si cette stimulation seule ne peut m'amener au plaisir, combinée avec une action manuelle de mon épouse c'est très agréable; ou alors c'est une forme de préliminaire.

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    3. Pour répondre plus précisément à votre expérience personnelle: chez nous, cela ne passerait pas que l'un ou l'une se "soulage" après avoir reçu une correction... Nous serions plutôt de tendance à d'abord demander à être pardonné, puis à demander le soulagement d'une petite voix.

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    4. Pour tout dire, l'action de cet objet provoque chez moi un peu ce que provoque la fessée: un mélange d'embarras physique, d'excitation, de plaisir et de honte (notamment honte d'éprouver du plaisir).

      Qu'en est-il chez vous quand votre conjoint pratique la "variante amoureuse"?

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  6. Quand je suis en mode vanille, j'ai un fonctionnement sensoriel avec mon cerveau en mode off. L'imagination appartient pour moi essentiellement aux pratiques punitives. Pour la "variante amoureuse", c'est rare que nous la pratiquons. Toutefois je trouve cet acte d'une virilité torride, alors de temps en temps, j'aime bien que mon homme me montre de cette manière ce qu'un garçon décidé sait faire. C'est dans un registre hors honte. J'ai même fait un texte romancé sur le sujet. Fictif ou pas fictif peu importe, mais il contient toutefois mon ressentir: (http://autourdelafessee.over-blog.com/article-18429011.html)

    Je trouve formidable votre façon de vivre la DD réciproque et je lis vos témoignages avec grand plaisir.

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    1. Pour nous la "variante amoureuse" (dans un sens comme dans l'autre) ne fait pas partie de la "vanille"... Parfois, comme ici, elle fait partie de la correction; le plus souvent elle s'intègre dans ce que nous appelons le "traitement de la perversion" (un petit lavement, une fessée qui chauffe mais sans plus, puis cette pénétration particulière).

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