Respectons
la parité et penchons nous cette semaine sur...
Extrait du feuilleton britannique :
Sugar
rush
Pour rester politiquement correct la
tentatrice n'est bien entendu pas la maman, mais une personne
extérieure à la famille qui par son âge et ses allures pourrait
tenir facilement ce rôle. C'est ainsi que commence une petite mise
en scène qui inclue l'uniforme d'étudiante y compris la petite
cravate et qui se finit par une punition ludique de la vilaine fille
(naughty, naughty...). Je ne vais pas entrer dans le débat autour de
l’interdiction des châtiments corporels envers les mineurs. Même
s’il y a une proximité avec l'extrait du film de cette semaine.
Contentons nous de deux constats : les acteurs de cette série
sont majeurs, puis il s'agit de montrer de manière humoristique ce
que le changement physique de la puberté entraîne comme
conséquences psychologiques. En gros ce que la physiologie instaure
en un « clin d’œil », la tête mets parfois des années
pour s'harmoniser avec. Si on considère cette phase comme
l'instauration du règne de la génitalité sur les pulsions
partielles (comme par exemple un fantasme cuisant), on se rend
facilement compte que les mignonnes rêveries de l'enfance doivent
subitement allouer une place importante à ce qui est considéré
communément comme sexuel. Alors donc où caser ses ardeurs
récréatives dans un scénario bien rodé qui s'est contenté
pendant des années d'une punition et au mieux quelques exhibitions
forcées. Si on lit attentivement Simone de Beauvoir on comprend
mieux le fonctionnement de certaines femmes et on apprend qu'un
penchant vers d'autres dames en début du parcours n'est pas
forcement un indice pour des penchants lesbiens.
Pour ma part le fantasme de la fessée
maternelle transposé sous forme d'une relation éducative avec une
amie bienveillante, mais sévère a hanté quasiment toute la période
où j'étais encore célibataire. Je me voyais me rendre
régulièrement chez elle pour récapituler ma semaine et en cas de
besoin (veut dire parce que j'avais encore fait des très vilaines
choses avec des garçons) de me prendre une bonne déculottée. J'ai
adoré particulièrement que cette punition se passe dans sa salle de
bain, moi toute nue sur les genoux de mon amie qui se servait d'une
pantoufle très claquante pour me corriger. Parfois elle se servait
aussi d'un martinet allemand, un siebenstriemer, hautement persuasif
ceci dit et à rapport duquel le martinet français semble vraiment
du bon enfant à l'état pur. Alors soit je me prenais un derrière
uniformément rouge soit il affichait un joli motif de stries. Puis
suivait un temps de réflexion dans un coin du salon. Il me plaisait
beaucoup de rajouter une voisine qui passait et me découvrit avec
mes fesses nues. Une discussion de mon amie avec cette dame sur le
bienfait de l'éducation d'antan etc. Enfin je soignai les détails
en vu de passer un excellent moment sous ma couette. Notons que je
n'étais pas vraiment une timide avec la gente masculine. Lente et
méticuleuse dans mon choix certes, j'ai vécu quelques belles
histoires, plaisantes et satisfaisantes sans toutefois se prêter
pour inclure un rapport disciplinaire. Ne nous trompons pas. Je
pense qu'il n'étais ni plus ni moins difficile il y a une vingtaine
d'années de trouver un partenaire pour des activités claquantes que
de nos jours. Seulement il ne suffit pas de partager un faible pour
faire la paire. Et selon un constat purement personnel et non
représentatif du tout, il me semble souvent plus fructueux de discuter le sujet avec une autre femme qu'avec un monsieur.
Le tout pour dire que je n'éprouve
aucun mal pour me glisser dans la situation du clip. Je me vois
exclusivement à la place de la fausse écolière. Et si une telle
occasion s'était présentée à l'époque, j'aurai sans doute cédé
à la tentation. Largement de quoi pour me mériter vraiment une
bonne...
Cette scène est effectivement absolument délicieuse :-)
RépondreSupprimerAh, un homme de gout! Merci pour votre visite Amourcuisant.
RépondreSupprimerEt très british.
RépondreSupprimerA propos, merci pour l'étonnant documentaire sur Miss Martindale. On est vraiment dans un monde troublant entre le réel et l'imaginaire.