J'adore
les fessées pour comportement indécent !
Voila qui prouve que j'aie vraiment
réussi à mettre mon homme hors de lui, veut dire de lui avoir
provoqué une sacrée réaction sous son caleçon. Pas besoin toujours d'une tenue ultra
féminine sur la base du glamour traditionnel. Cela marche égalent
avec un jeans bien coupé y
compris la version short. Je parle surtout du
mini-short qui dévoile copieusement la naissance de mes fesses. Sans
oublier la petite touche romantique sous forme de quelques bordures
dentelées. Je m'en sers pendant nos longues randonnées en montagne
où la tentation se trouve en permanence devant les yeux de mon
chéri. Normal que le pauvre n'en peut plus au bout d'un moment.
C'est d'ailleurs le but. J'attends qu'il craque pour me pencher sur
ses genoux.
Nous sommes loin de toute rationalité,
de tout acquis social qui permet à la dame de s’habiller comme bon
lui semble sans que cela soit considéré comme un harcèlement.
Alors
quelle idée de chérir de se faire punir pour son comportement
indécent ?
J'aurais envie d'objecter aux apôtres
du fantasmatiquement correct :
Laissez-nous
jouir voluptueusement de la culpabilité de « nos fautes »
!
Rien que l'idée que je puisse recevoir
une bonne fessée de la part de mon homme comme juste châtiment de
mon comportement éhonté me met dans tout mes états. C'est un grand
classique chez nous qui nous renvoie à notre rencontre.
Lui est moi, nous étions en jeans,
501. Lui moulant comme il faut et moi dans un modèle un peu trop
moulant. Choisi bien évidement intentionnellement très serré, car
en cette époque avec la vie que je menais, il n'y avait pas de
risque de ce kilogramme de trop qui m'aurait empêchée de rentrer
dans mon vêtement. Un jeans moulant provocant comme aime dire mon
chéri. Il a attendu un peu plus de familiarité pour me parler de
son attirance pour les dames avec...
… einem
drallen Arsch, un fessier plantureux,
ce qui désigne malgré le gros mot
« cul » surtout un derrière rond et très ferme. Un très
joli compliment en fait !
Puis, peu de temps après, il m'a parlé
de son adolescence, d'un temps où dans bien de familles il faillait
se battre pour le droit de porter un jeans. Car les mœurs étaient
encore strictes, malgré un changement amorcé de la société par
les événements de mai 68. Contexte qui m'a aussitôt inspiré la
fessée et je n'ai pas hésité de le taquiner à ce sujet. J'ai
appris donc que lui avait encore connu la vraie fessée, la
déculottée et je l'ai aussitôt imaginé là, tel comme il était
d'en recevoir une devant moi.
Pour
lui apprendre de ne plus draguer des filles aussi provocantes que
moi.
Voila qui m'a déclenché un fou-rire
et c'est par ma façon particulière de rire, je serais tentée de
dire voluptueuse qu'il a tout compris. Il est reste calme, stoïque
en me rétorquant, mine de rien et sans profiter de la situation :
… seriez pas
en train de chercher une fessée là, isabelle ?
Une fois rentrée chez moi, je n'ai pas
arrêté de remémorer la scène , en me voyant déjà sur ses
genoux.
un mini short coupé bien court , bien entendu sans rien en dessous ,est un véritable appel à la fessée lorsqu'il révèle le bas des fesses nues . Il n'est pas nécessaire de l'enlever , il suffit juste de tirer sur la ceinture pour le faire remonter et dévoiler ainsi encore un peu plus de fesses nues et l'entre jambes qui dans la plus part des cas sera bien mouillé . C'est sur cet endroit où il faut claquer . Si l'on veut rajouter de la honte en plus il suffira après la fessée d'exiger qu'elle aille cherche du pain ainsi tout le monde pourra voir le bas des ses fesses bien rouges
RépondreSupprimerVotre idée est séduisante cher Professeur, mais nous sommes vraiment trop discrets pour aller dans les lieux trop fréquentés comme une boulangerie par exemple. Ce qui n’empêche pas de croiser lors de nos randonnées d'autres randonneurs. Enfin mon mini short étant tout de même un peu plus long que celui de la dame sur votre avatar, il faut vraiment une personne très curieuse qui prend le temps pour s'arrêter et me regarder le derrière!
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