vendredi 27 mai 2016

883 Liens de discipline domestique (219 ème édition)

Au menu cette semaine : Fesser une fille...


Mon chéri adore les promenades éducatives en forêt. Il se sent inspiré et me surprend agréablement par ses idées pour me vanter le bienfait de la fessée ! Cul nu, cela va de soi. Il sait chauffer l'ambiance en composant pour moi un préliminaire verbal sur mesure. Adapté à mon humeur du jour. Adapté aussi et surtout aux petit soucis qui me tracassent.

Rien de tel qu'une bonne bouffée d'air frais pour expirer correctement les péchés de la semaine, isabelle !

Et effectivement déjà notre première expérience en ce sens fut fort concluante. D'abord je me suis sentie libérée du stress de mon travail qui me gâchait auparavant bien souvent mes week-ends. Puis surtout je me suis sentie sécurisée par le fait que loin des oreilles de tout autre être humain mon nouveau chéri avait trouvé le bon dosage pour s'appliquer sur mon popotin. Fermement, mais sans abus.

Un belle brûlure, me donnant une bougeotte d'enfer !

Et une envie de parler, parler, pendant que Monsieur s'était installé sur un banc pour m'écouter.

Ma maman m'avait prévenue que les forets donnent parfois de drôles d'idées aux garçons et donc de me méfier avec qu'y aller. Conseil dont je n'ai pas douté une seconde de la sériosité, une fois questionné mon papa à ce sujet. Je l'ai vu devenir un peu gêné et moi adolescente à cette époque j'ai compris mieux la sagesse profonde de l’histoire du petit chaperon rouge. Sommeille au fond de tout monsieur, même le plus adorable et gentil, le loup, son réservoir de pulsions en quelque sorte qui n'est pas forcement en phase avec le caractère. Et bien évidement quand l'on s'aventure avec lui sur le terrain de ce qui est de pré ou de loin sexuel, nous avons à faire... à ses pulsions qui remontent.

Si elles sont trop fortes ou insatiables on risque de se faire dévorer tout cru comme le petit chaperon rouge.

D'où l’intérêt de bien choisir sa compagnie pour que le fantasme de la fessée en forêt reste un plaisir à l'état pur.


Un post qui mérite attention, car il parle joliment du « besoin d'un filet de sécurité » de la dame. D'où l'utilité du safeword. Je n'avais pas envisagé qu'il existe des dames (ou toute autre personne) qui n'osent pas émettre un tel mot quand elles se sentent dépassées par la situation. Puis par extension je me suis souvenue de mes très rares erreurs de parcours dans la vanille. J'avais envie de dire au monsieur :

Arrêtons, cela ne colle pas entre nous,

mais je ne l'ai pas fait parce que j'avais l'impression que cela ne se faisait. Ceci dit pendant mes presque 18 ans de de discipline conjugale, il m'est arrivée de dire stop à mon chéri lors d'une fessée... juste pour voir s'il respecte mon non. Ben oui, il le fait sans que cela ne lui pose problème. Résultat :

Je me sens en sécurité avec lui !

Et ce sentiment de sécurité se propage par extension dans toutes les domaines qui concernent notre couple !

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !

















Ces marques blanches (petit clip)

4 commentaires:

  1. Me découvrir chez vous, et présenté de belle manière, d'autant que je ne savais pas que vous me lisiez est un plaisir. Merci Isabelle

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  2. Ben oui, cher Monsieur Equilibre, j'aime la beauté de la pensée et pour la trouver je me déplace là où l'on m'attends le moins... rire!

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  3. La fessée en forêt ... Humm... J'avoue que c'est un concept qui me séduit. Pas facile à réaliser pour un parisien comme moi, mais combiner le plaisir de la fessée avec les charmes bucoliques des sous-bois, c'est un menu gastronomique!

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  4. Je pense, cher Professeur Max pour vivre la fessée en forêt en toute sérénité, il faut un endroit adapté, loin des yeux et oreilles indiscrètes. Dans ces conditions c'est une expérience agréable (enfin on se comprend!) et constructive!


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