Tu
reçois encore la fessée, isabelle ?
C'est un fantasme qui date du temps
quand j'ai commencé à fréquenter les princes charmants. Je me
voyais en vacances chez une tante très à cheval sur la moralité
d'une jeune fille et qui partait du principe que la
continuation d'emploi de la bonne fessée déculottée
n'est pas une question d'âge, mais de besoin. Avec le recul je
dirais que cette « tante » était « calquée »
au niveau de sa présentation sur certaines élégantes dames de mon
entourage d'enfance et que j'imaginais à la hauteur une telle
tache. Dotées d'une allure sévère sans manquer une belle touche de
sexy. Dames que l'on appelle phalliques qui se comportent avec grande
aisances devant les messieurs. Je dirais donc que j'étais chez elle
en apprentissage pour devenir comme elle. Seulement elle ne
m'estimait pas encore en âge de m'engager dans un commerce avec les
princes charmants. Par conséquence elle surveillait mes sorties et
j'avais consigne de rentrer de bon heure à la maison. Elle
m'attendait en cas de retard avec une baquette bien souple, posée
négligemment sur la table. Après une longue est sérieuse
discussion entre femmes, nous passions dans son boudoir où elle me
déculotta pour m'appliquer une correction éducative.
J'ajoute
que j'ai parfois divagué vers les plaisir entre dames, m'imaginant
me faire masser mes fesses avec une huile apaisante.
Mais plus encore j'aimais imaginer mes
corrections observées par mon prince charmant. Par une fenêtre qui
offre vue dans la pièce. Derrière une porte, prié par ma tante de
nous excuser pendant un petit moment, car elle avait un mot à me
dire. Ou encore invité ouvertement d'assister à ma correction pour
regarder de ses propres yeux...
… ce
qui arrive aux vilaines filles !
Dans tout ces fantasmes avec ma tante
seule, une fois ma fessée annoncée, il y avait toujours un
angoissant frisson ce qui allait vraiment arriver à mes fesses. Pas
exclusivement dans le sens de la douleur je veux dire. Par contre
dans mes fantasmes devant prince charmant le mot clef était la honte
de devoir subir une punition hors de mon âge devant ses yeux.
Puis en fin de compte, une fois
reculottée et ma tante partie de la pièces, il me regarda d'un air
très coquin en me disant :
Tu reçois
donc encore la fessée isabelle !
Tandis que moi je baissait pudiquement
mon regard en rougissant encore plus. Puis il ajouta :
C'est une
excellente habitude. Nous allons la garder une fois en couple !
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