lundi 30 mai 2016

884 Vacances chez une tante sévère (Lundi cinéma)

Tu reçois encore la fessée, isabelle ?

C'est un fantasme qui date du temps quand j'ai commencé à fréquenter les princes charmants. Je me voyais en vacances chez une tante très à cheval sur la moralité d'une jeune fille et qui partait du principe que la continuation d'emploi de la bonne fessée déculottée n'est pas une question d'âge, mais de besoin. Avec le recul je dirais que cette « tante » était « calquée » au niveau de sa présentation sur certaines élégantes dames de mon entourage d'enfance et que j'imaginais à la hauteur une telle tache. Dotées d'une allure sévère sans manquer une belle touche de sexy. Dames que l'on appelle phalliques qui se comportent avec grande aisances devant les messieurs. Je dirais donc que j'étais chez elle en apprentissage pour devenir comme elle. Seulement elle ne m'estimait pas encore en âge de m'engager dans un commerce avec les princes charmants. Par conséquence elle surveillait mes sorties et j'avais consigne de rentrer de bon heure à la maison. Elle m'attendait en cas de retard avec une baquette bien souple, posée négligemment sur la table. Après une longue est sérieuse discussion entre femmes, nous passions dans son boudoir où elle me déculotta pour m'appliquer une correction éducative.

J'ajoute que j'ai parfois divagué vers les plaisir entre dames, m'imaginant me faire masser mes fesses avec une huile apaisante.

Mais plus encore j'aimais imaginer mes corrections observées par mon prince charmant. Par une fenêtre qui offre vue dans la pièce. Derrière une porte, prié par ma tante de nous excuser pendant un petit moment, car elle avait un mot à me dire. Ou encore invité ouvertement d'assister à ma correction pour regarder de ses propres yeux...

ce qui arrive aux vilaines filles !

Dans tout ces fantasmes avec ma tante seule, une fois ma fessée annoncée, il y avait toujours un angoissant frisson ce qui allait vraiment arriver à mes fesses. Pas exclusivement dans le sens de la douleur je veux dire. Par contre dans mes fantasmes devant prince charmant le mot clef était la honte de devoir subir une punition hors de mon âge devant ses yeux.

Puis en fin de compte, une fois reculottée et ma tante partie de la pièces, il me regarda d'un air très coquin en me disant :

Tu reçois donc encore la fessée isabelle !

Tandis que moi je baissait pudiquement mon regard en rougissant encore plus. Puis il ajouta :

C'est une excellente habitude. Nous allons la garder une fois en couple !

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