jeudi 5 mai 2016

871 Les confidences intimes d'Anne-Sophie 2


Et comme dans la semaine dernière je poste mon commentaire... dans les commentaires. Voici la suite :

7. Pourquoi la fessée réussit elle à corriger mon comportement?

Dans le sens où la fessée me fait mal physiquement et que je n'en éprouve aucun plaisir, je ne souhaite pas la recevoir. Je crains beaucoup les fessées.

Mon comportement compulsif envers le sucre a été maîtrisé grâce aux nombreuses déculottées que j'ai reçues. A chaque fois que je mange du sucre je reçois la fessée. Dès que j'ai une envie de sucre je pense à la fessée qui va s'ensuivre et mon envie disparaît comme par magie!
Jean Philibert est intransigeant. Un seul petit bonbon ou un petit biscuit et c'est la fessée qui tombe.

J'ai dû recevoir de nombreuses fessées pour comprendre que je ne devais plus succomber à la tentation du plaisir que m'octroie le sucre. Le déplaisir de la fessée a pris dorénavant le dessus sur le plaisir du sucre!

8. S'améliorer grâce à la fessée.

La fessée m'a permis de ne plus avoir un comportement compulsif face au sucre. Alors oui il m'arrive quelquefois d'en reprendre(c'est comme une drogue cette addiction au sucre!)et là... la fessée tombe et mon envie de récidiver disparaît. Je crains tellement les grosses déculottées que je m'efforce au quotidien de bien me tenir. Et ce n'est pas chose aisée car je suis une femme très chipie, très "difficile"!

Maintenant que le travail de coaching au sujet du sucre est terminé, Jean Philibert s’attelle à corriger mon comportement capricieux et coléreux! Et il y a du boulot!!! La fessée a donné de tellement bons résultats pour me faire arrêter de manger des sucreries que nous avons décidé de pratiquer la fessée conjugale. Ainsi toutes mes bêtises quelles qu'elles soient, mes écarts de comportement, sont sanctionnés par la fessée. A chaque caprice c'est la fessée. Chaque colère est punie par une bonne fessée magistrale.

9. La fessée annoncée.

Lorsque je fais une bêtise je l'avoue par texto ou par téléphone aussitôt à Jean Philibert. Je suis alors immédiatement prévenue que je vais recevoir une fessée. Cette annonce de la fessée provoque en moi une grande émotion. Savoir que ma bêtise mérite la fessée me permet de prendre conscience que ce que j'ai fait est mal. J'aurais tendance à banaliser mes fautes.

Je suis d'une nature très capricieuse, je n'en fais qu'à ma tête, j'ai des difficultés à me soumettre à l'autorité et mon côté enfant fort développé chez moi m'incite à faire de nombreuses bêtises! Lorsque je fais une bêtise je l'avoue par texto à Jean Philibert et il réactive ma mémoire en me disant: "Je vais baisser ta culotte en arrivant ce soir, te pencher sous mon bras et te flanquer une sacrée bonne fessée. "

Cette annonce de la fessée provoque en moi une grande crainte. Cette crainte de la fessée se joint au respect que j'éprouve envers Jean Philibert. L'annonce de la fessée déculottée me fait vibrer de l'intérieur, tous mes sens sont en émoi et j'éprouve du plaisir mental qui rejaillit sur le plaisir physique. Plus mon Jean Philibert me menace de la fessée, plus il formule sa détermination à me corriger et plus je ressens le besoin de me soumettre à son autorité.

J'aime craindre Jean Philibert et cette crainte ne peut être ressentie que si je sais qu'une fessée va m'être administrée. L'annonce de la fessée a donc toute son importance pour que j'évolue positivement. J'aime me sentir cadrée, tenue, serrée.

A suivre...

8 commentaires:

  1. Une vision assez inhabituelle de la fessée, pragmatique et proche des origines du fantasme. Peut-être pas vraiment inhabituelle dans l'absolu, mais du moins inhabituelle pour le net.

    Je dois admettre que la fessée a été bénéfique pour moi aussi pour corriger mes problèmes alimentaires. Dans un premier temps j'ai ressentie une notion de ridicule de passer sur les genoux de mon chéri dans un contexte sensé de relever « simplement » de la volonté  d'un adulte responsable. Seulement les problèmes alimentaires ont souvent trop complexes pour notre volonté. Comme chez Anne-Sophie la fessée m'a aidé à instaurer un réflexe à chaque fois que je risquais de retomber dans mes mauvaises habitudes. Pour ma part le motif était la gêne dans le ridicule. Toutefois de manière plus générale je ne dirais pas que ce soit la peur de la fessée ou d'une situation gênante qui m'a aidée à « m'améliorer », mais le fait que la fessée représente pour moi une sorte de satisfaction. Et... dame satisfaite sous tous le niveaux par son homme, fait tout naturellement des efforts dans le bon sens. Enfin, je ne me vante pas de mes caprices et colères qui persistent dans un bien moindre dégrée.

    Je trouve fort intéressant le paragraphe de la fessée annoncée. Anne-Sophie décrit très bien le mécanisme de plaisir, malgré la crainte de la fessée. Je pense que la discipline domestique en fin de compte repose toujours sur une composante de plaisir du moins cérébral, ne serait-ce que - comme pour moi - de jouir quand on me complimente sur mes bonnes manières...

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  2. Bonsoir Isabelle,


    Le premier paragraphe me fait penser à "la théorie de Pavlov" mais cette fois-ci, c'est une récompense dans le sens négatif. Un peu comme si une voix de la conscience venait susurrer à l'oreille du fautif (au sens général) :
    "Attention ! Qui cède à sa gourmandise, s'en repent !"
    De quoi réfléchir à deux fois. Non ?
    A la lecture du texte, on a parfois l'impression que la fessée, tant redoutée pour la douleur physique qu'elle provoque au premier chef, semble presque souhaitée voire désirée (?) pour à la fois le plaisir qui rapproche les êtres et la correction du comportement qui fait la fierté des deux conjoints. Enfin c'est mon avis.
    De toute façon, si ce "programme comportemental " ne convenait pas, chacun et chacun sont à même de revoir les
    termes tacites de leur "contrat conjugal" si j'ose dire.
    Mais cela nécessite une bonne dose de confiance réciproque. Mais l'amour avec un grand "A" triomphe de tous les obstacles, dit-on...
    Mac-Miche.

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  3. Tout l'art de comprendre un tel texte consiste à trouver le désir caché derrière les mots. Bien évidement la fessée est désirée. Nous sommes entre adultes et la dame a demandé expressément ce qui lui arrive. Ceci dit elle en parlera plus précisément de sa notion du plaisir dans la dernière partie du texte que je réserve pour la semaine prochaine. Par contre la confiance mutuelle me semble sans le moindre doute la base d'une telle relation. Notons que l'amour ne rend pas forcement aveugle !

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    1. Bonjour,
      c'est exactement cela, la discipline conjugale doit être sionon demandée, du moins "espérée" et comprise.
      Dans notre couple, cela ressemble à chez Anne-Sophie, Madame n'aime pas être fessée, et chez nous aussi les grosses déculottées existent, et le martinet est souvnet utilisé sur les fesses de madame. Les punitions sont données souvent sans délai, sans ménagement, et quand la culotte est baissée, la fessée est vite arrivée.
      Cela n'empêche pas la tendresse dans le couple, ni bien sur les calins, et il vrai que c'est un sentiment de fierté partagé, madame pour être cadrée et monsieur pour sentir l'harmonie du couple.
      Milu

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    2. Cher Milu
      Effectivement la fessée n'exclut pas la tendresse et l'amour ,bien au contraire.Mon Jean -Philibert a souvent recours à la fessée pour mon bien.
      Hier j'avais rendez_vous chez le médecin mais je ne supportais pas d'attendre dans la salle d'attente .J'ai envoyé un texto à Jean-Philibert lui disant que j'allais partir.Il m'a alors menacée d'une bonne fessée si jamais je rentrais sans avoir vu le médecin.

      Jean_Philibert me flanque une bonne déculottée à chaque fois que je ne vide pas mon assiette.N'est-ce pas non plu une preuve d'amour?Et bien si!!!Jean-Philibert me donne des fessées pour mon bien et j'en suis consciente.
      Alors oui Malu je suis fière si je "file droit",si je fais moins de bêtises,si je m'améliore.Et mon Jean-Philibert est fier de constater mes progrès grâce à ses fessées.
      J'aime être cadrée et Jean-Philibert éprouve de la fierté à observer mes progrès.

      Anne Sophie

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  4. Comme vous dites cher Milu, la fierté aussi comme sentiment après acte accompli fait partie des effets révalorisants que procure la DD aux partenaires. Nous sommes loin d'une simple pratique coquine...

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  5. Je comprends tout à fait l'émotion d'Anne - Sophie à l'annonce d'une fessée. Émotion commune à celui qui l'annonce. Écrire un sms comme "Je t'avais interdit de fumer (ou manger du chocolat ou revoir ton ex), tu vas recevoir une fessée magistrale" donne une grande fierté et une grande plénitude. Certains ou certaines sont rassurés et prennent de l'assurance en étant soumis à leurs maître(sse)s. Et ces dernier(e)s ont besoin pour avoir les pieds bien sur terre d'exercer une autorité amoureuse et bienveillante.

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  6. Ouf, vous me rassurez cher Monsieur Bertrand. C'est tellement rare qu'un monsieur s'exprime sur ses émotions (autres que sous son caleçon) concernant la fessée. Ben oui, un monsieur qui sait exercer une autorité amoureuse et bienveillante au service de la dame qui va plus loin que la simple satisfaction d'une pulsion sexuelle, c'est le rêve pour bien de dames. Notamment quand le monsieur tire une revalorisation personnelle de son dévouement! Cela se sent et cela embellit la vie du couple.

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