vendredi 2 mai 2014

508 Liens de discipline domestique (112 ème édition)

Les petites mésaventures de la ménagère ou...


Oh quelle superbe robe à pois blanc, à la base pas trop courte, mais qui - vu la position - monte et monte encore pour donner un petit aperçu de plus indiscret sur ce qui se trouve justement sous les robes des filles. Incident sans gravité, car nous sommes « en famille ». Pour beaucoup de messieurs, pas besoin d'être amateur de fessée, pour se réjouir d'un tel spectacle ; spontané, nullement improvisé et qui vit par l'agréable surprise qui embellit l'attente d'un repas festif. Notons que même pour les dames comme moi qui aiment plaire par leur tenue, le moment n'est peut-être pas vraiment propice pour la savoureuse claque. Nous ne somme pas dans Hänsel et Gretel de Grimm pour donner l'impression à sa princesse de vouloir s'en débarrasser en la poussant dans le four comme une méchante sorcière. Idem pour le doigt vagabond qui provoque des sursauts, surtout dans les escaliers. Alors ni-touch et on se contente de regarder. Toucher avec les yeux comme on dit aux gamins.

Une dame en train de faire la cuisine, spectacle rare de nos jours. Cela rappelle aux messieurs dans une certaine tranche d'âge leur maman qui mettait encore des bas. Détail important qui a su enflammer l’ingéniosité masculine. Il est édifiant quand mon homme avec ses amis se perd dans une nostalgie que les moins de cinquante ans ne peuvent pas connaître en évoquant mille et une ruse pour apercevoir un haut de bas. Il ne me semble pas anodin que le sujet est évoqué en ma présence, allongée sur le canapé dans le bureau de mon homme tandis que les messieurs se contentent des fauteuils. Ces soirs-là, après un petit repas préparé par mes soins de A à Z, moi aussi j'ai le droit de venir dans le « Boysclub » (en hommage à un Columbo avec Peter Falk). Alors je me débarrasse de mes hauts talons pour me mettre à l'aise. Voila qui me rappelle mon enfance quand j'avais le droit de rester dans le bureau de mon papa pour écouter les discussions philosophiques de messieurs sous l'emprise de vin rouge.

J'adore écouter les histoires des bas de grands garçons. Le plus hardi raconte comment il s'est fait pincer pour avoir collé un petit miroir sur le bout d'une chaussure et fut puni … d'une fessée. Un autre, c'est un peu délicat, rire, se servait de bas volés sur des fils à linge pour se soulager en cachette. Et encore un autre se paraît en absence de sa maman de ses sous-vêtements avant de se consacrer aux plaisirs solitaires. A se poser la question si l’absence d'images crues de la génération P n'était pas propice aux mille et un visage du fétichisme. Je le vois avec mon chéri qui ne reste pas indifférent devant cette gamme de fantasmes. Je me souviens de ses yeux au début de notre relation quand il m'a avoué qu'il rêvait d'une compagne mettant des bas au quotidien. L'idée m'a plue, a réconforté mon penchant précieux et je me suis vite habituée. Par conséquent il peut arriver que je me penche - un peu comme montre cette photo - devant mon four lors d'une soirée avec des proches et que le haut de mes bas se dévoile. Cela met de l'ambiance et loin de moi de rougir comme une ingénue. De plus je sais que mon homme va trouver plus tard en ce petit geste un comportement inadmissible qui mérite une bonne correction. Enfin, cela reste plutôt léger et ludique et une fois mes fesses échauffées, il va me faire la fête au lit  pour finir en beauté une belle soirée !

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !















19 commentaires:

  1. Bonjour Isabelle !

    Votre récit m'interpelle également. Je fais partie de cette tranche d'age des quadragénaires qui ont connu la "Révolution Morale" des années 1970. Gamin, il m'ait arrivé de voir involontairememnt, et à la dérobée, le haut de la cheville droite de ma Maman , alors quelle réajustait ses bas couleur marron clair , de l'époque où elle portait tailleur-jupe droite en Tweed ou bien en robe. Elle s'en aperçut mais elle me fronça les sourcils uniquement. Et je compris que je devais pas m'attarder. Le caractère assez autoritaire de ma maman m'a toujours impressionné.
    La chance des filles, c'est qu'elles peuvent entrer dans le dressing-room maternel "sans se faire sonner les cloches". Pour le garçon, en revanche, c'est plus délicat d'autant que nos Mamans prennent cela pour du "voyeurisme précoce" (Rires). Alors, si l'on ose caresser leur lingerie intime, la fessée déculottée risque de tomber !!
    Avis aux amateurs, oserais-je dire. Et ainsi prend naissance le fétichisme pour la "mode" chez certains d'entre nous. D'où mon petit texte (que vous aviez publié sur votre ancien Blog. Merci Isabelle) sur la relation entre Mode féminine et Fessée... Tout un programme. Mac-Miche

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  2. Cher Monsieur Mac Miche,

    certes les filles peuvent rentrer dans le boudoir de leur Maman, mais une fois les jupes des cette dernière quittées, il y a l’intérêt pour le monde du Papa qui se réveille. Comme pour aller le voir quand il se trouve sous la douche ou dans la baignoire. Voyez, la légendaire curiosité de certaines filles. Je pense même pour les petites et les petits aussi le mot curiosité décrit bien les choses. Toutefois la frontière avec le « voyeurisme  précoce» est fluide et difficile de savoir exactement ce qui se passe dans le tête d'un enfant. Je doute aussi qu'il viendrait à l'esprit d'une fille de s'extasier sur les vêtements de son Papa. A ce niveau-là ce sont les vêtements de leur Maman qui attirent. Je le vois avec ma petite qui est entrée dans la phase de prendre bonne note sur moi pour m'imiter; puis s'appliquer à la maternelle avec ses petits copains.

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    1. Bonsoir Isabelle !


      La psychologie humaine se nourrit dès l'enfance de tout le vécu à venir. Tout comme la mémoire qui ne commence à fixer les souvenirs, ou tout au moins les images les plus marquantes, qu'à partir de la 4è. ou 5è. année. Avant, nous avons souvent du mal à fixer notre mémoire visuelle.
      C'est souvent vers cet âge que l'enfant, fille ou garçon, se rapproche sentimentalement du parent du sexe opposé. Mais je pense que les filles sont déjà (?) titillées par l'éternel besoin naissant... de séduction, en faisant tourner en bourrique leur Papa-gâteau, sous l'oeil amusé (ou non, c'est selon...) de leur Maman. Eternelle rivalité bon-enfant Mère-Fille ? Quant aux garçons, ils se projettent davantage dans l'action, imitant leur Papa, pour la plus grande fierté... de leur Maman. "Petit poisson deviendra grand..." disait ce bon monsieur de La Fontaine... Bonne soirée. Mac-Miche.

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    2. Là je ne suis pas d'accord. Les garçons portés sur l'action, les filles sur la séduction, comme si c'était ancré dans nos gènes, ça ne me va pas. Le genre, c'est une construction sociale.
      Je n'ai jamais eu ce "besoin de séduction" qui serait éternel et qui aurait dû être en moi. Les gamines que je vois une fois ou plus par semaine non plus: elles ne minaudent pas, elles n'essaient pas d'être "mignonnes" et elles sont toutes aussi actives que les garçons (ou alors, les garçons sont aussi mous que ces filles...). Ceci pour dire que le côté actif et dynamique ne fait pas un garçon/ un homme, pas plus que la capacité à séduire ne fait une femme. Je suis une femme, je l'affirme, je le revendique, mais rien de ce que je fais ne l'est "parce que je suis une femme", vous comprenez? C'est pas par instinct maternel non plus que j'arrive à faire quelque chose des gamins qui me sont confiés. Je connais des hommes qui ont des résultats aussi bons que les miens et pourtant ils ne seront jamais des mères... Je pourrais multiplier les exemples à l'infini.
      Le rapprochement avec le parent du sexe opposé, ça n'est pas une vérité générale: ça existe, mais ce n'est pas pareil pour tous les enfants... Isabelle, l'hôte de ces lieux, est un parfait exemple d'Oedipe assumé, géré, dépassé pour produire une magnifique histoire d'amour avec son homme et le bonheur de leur petite. A ça, je crois à fond.
      Mais ce que je refuse, c'est qu'on m'assimile à ce complexe d'Oedipe, juste parce que je suis une fille. Si j'avais été attirée par le parent opposé, si je m'étais construite pour séduire mon papa et plus tard un homme qui ressemble à mon papa, mon homme serait drogué, violent, manipulateur, dépressif et destructeur. Je n'ai jamais été en rivalité avec ma mère, même dans ma petite enfance, et cela, je peux l'affirmer avec la plus grande conviction: j'ai des souvenirs précis, bien antérieurs à mes 4- 5 ans.
      Pour conclure, je dirais que - fort heureusement - rien n'est éternel. Le "de tout temps" n'existe pas. Et même La Fontaine le savait...

      Constance

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  3. J'étais certain que vous auriez rebondi, comme à votre habitude.
    La société et sa morale sont une chose établie par la communauté des adultes pour avancer et cadrer les choses. Les enfants ,eux, s'en moquent et agissent selon leur bon plaisir et leur envie. Etre cartésien ou s'y rapprochant, en bas âge, au fond, ils ne s'en soucient guère. La dureté de la vie aura tôt fait de les rappeler à l'ordre. Seul , pour eux, le jeu prime, souvent. Faire comme les grands, comme ils disent en avançant en âge. Et qui prend-on souvent en modèle ? Ce que l'on connait le mieux : ceux et celles qui nous entourent. On copie leurs habitudes. Nous l'avons tous fait à un moment ou à un autre.Idem pour les personnages de feuilletons TV. Les enfants ont besoin de modèles. Quelque impact qu'ils puissent avoir sur eux, en négatif ou /et en positif.
    Quant à Oedipe (dont le sort funeste est bien connu par la légende), on le mêle à toutes les sauces. Alors... Mac-Miche.

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    1. Ah donc c'était uniquement pour me faire réagir?
      Dire une bêtise sur le genre et ensuite me donner raison? Oui, parce qu'à part employer à mauvais escient l'expression "être cartésien", vous confirmez mon raisonnement, là. Ce que vous décrivez, c'est la socialisation: donc vous venez d'admettre que les enfants reprennent et imitent des modèles; ce qu'ils reproduisent, c'est la société, donc ce n'est pas naturel. Et les modèles évoluent, parce que la société évolue! Donc il n'y a ni "naturel", ni "éternel" là dedans!

      Après, sur la question d'Oedipe, on va avoir besoin des compétences d'Isabelle. Mais déjà, avec mes compétences à moi, je vous annonce que c'est pas une légende, c'est un mythe.
      Donc, Isabelle. Oedipe peut il servir de référence aujourd'hui alors qu'il a été abondamment utilisé/ analysé/ étudié, par le passé, ou, pour mettre ceci dans une coquille de noix: peut on encore trouver une étude nouvelle sur Oedipe aujourd'hui?

      Constance

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    2. Pas facile ta question, Constance ! Je te donne ma réponse personnelle à titre indicatif et le lien d'un texte d'un pro !

      Personnellement je considère l’œdipe un peu en analogie avec les chiffres imaginaires des maths. Elles permettent des calculs très complexes en physique en les introduisant à un moment, puis elles s'éliminent toutes seules juste avant la fin pour livrer un résultat concret et fiable. Je trouve le concept utile, comme aide pour trouver la réponse personnelle à la question posée par le sphinx :Qui suis-je ? Je suis la fille d'un homme et d'une femme qui ont fait l'amour et qui sont devenus par cet acte mes parents. Disons que tous le reste, tout le « folklore sentimental » que l'on projette sur cet homme et cette femme c'est pour moi de l'ordre de l’œdipe.

      J'ai un texte (un cours universitaire plus précisément) en tête que je trouve particulièrement intéressant. Il ne doit pas être bien vieux et de plus il est facile à lire.

      Voici le lien.

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  4. Cette histoire de la petite fille qui s'exerce dans la séduction, sans en faire une généralité, ne me semble pas sans fondement. Toutefois selon mon expérience de maman un tel comportement est nullement innée, mais liée aux observations et aux conclusions de l'enfant. Tout adulte qui essaye d’élever son enfant avec l'esprit ouvert dans un sens égalitaire se retrouve vite devant ses propres insuffisances. Je pense qu'il est réellement impossible pour un adulte de se comporter de la même manière devant une petite fille que devant un petit garçon à moins de nier la différence physique qui elle saute aux yeux de l'enfant et se trouve au centre de son intérêt. Par conséquence je pense que ce qui compte c'est la réaction de l'adulte devant les tentatives de l'enfant de communiquer. La séduction en particulier comme expression d'une sorte de besoin de se faire aimer de l'enfant, me paraît lié à la conscience de son état de dépendance vis-à-vis de l'adulte. Bien souvent la réaction à cette tentative est différente devant une petite fille ou devant un petit garçon. Alors si je cela marche pour la fille, elle va avec grande possibilité cultiver la séduction et se servir de cette aubaine pour imposer ses intérêts. Le petit garçon par contre doit trouver d'autres moyens...

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    1. Oui, si le petit garçon voit que ça ne marche pas, il va trouver d'autres moyens, comme la petite fille qui voit que ça ne marche pas. Là où les choses se compliquent, c'est qu'elles se couplent avec d'autres paramètres, ne serait ce que la peur d'être abandonné qui peut conduire inconsciemment l'enfant à faire ce qu'il croit qu'on attend de lui. Cette peur, je l'avais, alors que Simon, non.
      (Je lis ton lien le plus vite possible, mais là je viens de donner un cours particulier au cours duquel j'ai dû mettre fin à une dispute frère / soeur modèle géant donc je suis un peu fatiguée) (et non, je peux pas donner de fessée en cours).

      Constance

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    2. Peut-être devrait-on dire que les choses deviennent plus complexes, vu le nombre de paramètres à intégrer. Ce qui justifierait l’appellation de ce passage de l'enfant pour trouver a place dans le monde des adultes comme « complexe d’œdipe ».

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  5. Il y a certains sujets qui me font réagir, par exemple ce qui s'apparente à des conseils concernant les enfants - parce que ma femme et moi avons eu droit à quantité de conseils contradictoires et parfois avec un sous entendu "si vous ne faites pas cela, vous êtes des inconscients ou des parents indignes"... mais je crois que de nombreux parents ont souffert de cela.

    Chez vous, et c'est peut-être une déformation d'historienne, vous avez l'allergie à tout ce qui pourrait sonner comme "de tout temps, en tous lieux" au sujet de réalités humaines qui dépendent de structures sociales, d'habitudes, qui ne sont en rien universelles (par exemple, l'Oedipe chez les peuples où l'on élève les enfants en commun?).

    Il ne me semble pourtant pas que Mac-Miche prétendait à ce niveau de généralité, et que son seul péché était de généraliser comme "cas normal" ce qui n'est qu'un schéma courant dans la population française (ou "occidental").

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    1. Pécan, j'ai l'amère sensation de voir réduit à une "allergie" autrement dit, à un caprice, ou du moins quelque chose qui n'a pas d'importance, ce qui me tient à cœur.
      En comparant vos réactions aux miennes, vous justifiez les vôtres et ôtez tout fondement aux miennes. Elles ne me semblent pas pourtant parties de rien.
      (vous avez la chance d'être père, moi, si ça se trouve, je ne serais jamais mère. Du coup, il me semble qu'il vaut mieux entendre des conseils parce qu'on a des enfants que parce qu'on risque de ne pas en avoir).

      Constance

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    2. Une allergie n'est pas un caprice: au sens propre, c'est quelque chose qu'on ne peut éviter et qui nous rend particulièrement sensible à tel ou tel produit.

      Ce que vous dites ne part pas de rien et je comprends que ce sujet vous tienne particulièrement à cœur. Non seulement ceux qui érigent à tort leur petite réalité locale comme une règle universelle non seulement commettent une erreur historique, mais souvent ce type d'arguments est utilisé pour justifier des positions conservatrices.

      Si l'on avait écouté ce genre d'arguments, nous aurions encore des rois, des nobles et des esclaves et les femmes n'auraient pas le droit de vote.

      Ma comparaison avec les gens qui font la leçon pour les enfants ne me semble cependant pas dépourvue de pertinence. Ces gens, souvent, argumentent en fonction de leur expérience personnelle ou de leurs croyances, qu'ils prennent pour une généralité: par exemple, ne connaissant pas le caractère de votre enfant, ses goûts et ses dégoûts, ils viennent vous expliquer qu'il n'aimera pas telle ou telle chose, qu'il fera telle ou telle chose, etc.

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    3. @Constance : Ah le désir d'être mère. Je peux en quelque sorte bien me mettre à ta place. Avoir un enfant n'a pas été une mince affaire pour moi. Pourtant le désir était immense. Sans rentrer dans les détails, j'ai passé ma grossesse sur mon canapé, en évitant tout effort. Bien entendu aussi ceinture sur la fessée (ce qui n'était pas le pire). Heureusement mon enfant a une excellente santé et au niveau de la résistance physique n'a rien en commun avec la fragilité de sa maman.

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    4. @Pecan : Il y a effectivement selon mes propres expériences un grande pertinence dans votre discours concernant ces parents. Il me semble qu'ils sont repris sans recul les préceptes de leurs propres parents en leur donnant un caractère d’intouchabilité. Donc une attribution de vrai sans recul. Pourtant un enfant de 5 ans par exemple (je parle de ma fille), s’intéresse fortement à déceler le vrai du faux. Se pose alors la question où et comment se perd cette attitude critique. Selon la théorie d’œdipe il s'agit d'un phénomène d’intériorisation des parents qui deviennent une sorte d'autorité interne (le surmoi) que certains n'osent mettre en doute.
      Et par conséquence tout dialogue rationnel à ce sujet avec ces personnes reste infructueux.
      Par extension, nous pouvons trouver sur le net pas mal de récits imaginaires dans lequel le parent intériorise est décrit comme une vraie personne (un parent en chair et en os). Il joue de rôle de celui qui punit dans les récits type faux souvenirs enfance et le fait que le narrateur éprouve beaucoup de plaisir à relater son histoire, semble montrer que l’œdipe puise ses forces dans la sexualité infantile.

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  6. Moi aussi j'ai cette habitude de formuler de manière très prudente. De bien distinguer ce qui relève de mon opinion personnel et de qui relève de la connaissance objective. Je crois que c'est inévitable chez ceux et celles qui ont fait des études de science dont cette dernière définie comme un mode de pensée (que l'on fait sien). Voila qui plombe mon style dans pas mal de mes textes. Toutefois, vu que le sujet de mon blog concerne en grande partie les fantasmes, autant ceux qui sont récréatifs que ceux qui viennent des profondeurs de l'âme, je reste dans l'écoute flottante qui cherche plus à comprendre le personnel désir exprimé que cette vérité qui se veut objective.

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    1. Bonjour Isabelle, bonjour Mr Pecan ,


      Sans vouloir jeter la discorde entre interveants/es sur cet excellent Blog, je suis rassuré que mes propos trouvent un certain écho. Certes mes formulations vous semblent parfois maladroites dans leur sens propre mais n 'ayant aucune formation de scientifique ou spécialisé dans un domaine particulier, elles découlent uniquement de mon expérience et de l'observation des gens et des évènements autour de moi. Elles n'ont que la valeur que je leur donne. Et je reste toujours à l'écoute des autres.
      Sur ces mots, je vous souhaite une bonne après-midi à tous/toutes. Mac-Miche

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    2. Cher monsieur Mac-Miche, j'ai effectivement l'impression que vos propos reflètent votre propre approche au monde sans vouloir les imposer aux autres. Ici nous sommes dans le pur loisir. Mon blog vise avant tout la distraction, malgré son caractère parfois quelque peu trop intellectuel qui peut sembler lourd pour les personnes qui ne cherchent que les aspects disons masturbatoires ou du moins charnels de notre fantasme. Mais quand je regarde mes stats, je trouve qu'il se trouve en belle place dans le monde des blogs sur le sujet. Ce qui m'importe c'est la réalité humaine qui se cache derrière chaque propos. Je n'ai rien contre des propos qui s'éloignent du sujet et je passe facilement sur les petites imperfections dans les formulations qui font eux aussi justement partie de cette réalité humaine. Enfin, je ne sais pas si c'est très clair ce que je dis là...

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    3. Bonjour Isabelle !


      Je suis tout à fait d'accord avec ce que vous dites.
      Nous avons chacun notre façon de nous expliquer sur les expériences que nous vivons dans notre quotidien. Le principal est que nous puissions échanger nos idées sans anicroche. La diversité fait l'intérêt d'une discussion et non un monologue. Tout doit se passer dans une certaine convivialité pour le plus grand profit de tous et toutes. Merci pour votre éclaircissement.
      Mac-Miche.





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