Trois
témoignages de Christine
J'ai déjà donné mon avis sur ces
jolis textes dans
mes commentaires. Alors je me tais et je laisse
la parole à Christine qui écrit dans un Français particulièrement
riche et élégant.
Après trop de mois (à mon goût !)
d’étreintes furtives et de moments volés si ce n’est 15 jours
paradisiaques sur la Côte d’Azur, celui qui n’était encore que
mon amant décida non pas de vraiment « officialiser » notre
liaison, mais du moins la rendre peut être moins discrète en
décidant que dorénavant, je vivrais chez lui. Bien que « majeure
et vaccinée » ( !) et donc libre d’agir à ma guise, il eut la
courtoisie d’inviter mes parents un soir à dîner pour le leur en
faire part.
Ce fut environ deux mois plus tard que survint
l’incident qui me valut ma première correction punitive : j’ai
commis par manque d’attention et de professionnalisme une bourde
qui aurait pu coûter très cher tant sur le plan professionnel que
privé, bourde pour laquelle il passa une bonne partie de la journée
à en limiter au mieux les conséquences. Sur le moment, si ce n’est
un « Christine » prononcé sur ce ton qui dès mes premiers jours
comme secrétaire m’avait toujours, lors d’une faute,
impressionné et parfois craindre le pire, il ne m’a rien dit. Au
déjeuner, ce fut le même mutisme. Et au dîner à la maison, ce fut
pareil. Je devinais qu’il allait se passer quelque chose, cela ne
pouvait pas durer éternellement, j’avais hâte que ce moment
arrive tout en le craignant.
Vers 10 heures du soir,
enfin, après avoir lu son courrier personnel et les journaux, il
m’ordonna d’aller dans notre chambre, de m’y déshabiller et de
l’y attendre nue. Encore une bonne dizaine de minutes angoissantes,
et il fut là, il s’assit dans le fauteuil, il me fit me mettre à
genoux devant lui mains derrière le dos, et il commença un long
sermon au cours duquel alterna reproches et admonestations avec mes
promesses de m’amender entrecoupées par mes premiers pleurs. En
conclusion, il m’annonça qu’il se devait de me châtier tel que
durant des siècles, on avait su remettre dans le droit chemin ceux
pour qui cela s’avérait utile. Je compris ce qu’il avait voulu
dire quand s’étant éclipsé un instant, il revint avec le
martinet qui était rangé sur une étagère d’une bibliothèque de
son bureau.
Allais-je accepter d’être
corrigée comme une gamine ? Devais-je accepter un châtiment
corporel ? Était-ce une première manifestation de « violence
conjugale » ? Tout défila incroyablement vite dans ma tête. Il
m’apparut alors évident que dès le premier jour en tant que mon
patron, il avait été strict mais juste, exigeant sans excès,
corrigeant mes erreurs chaque fois que nécessaire mais sans
brutalité, et que depuis que je m’étais donnée à lui, que
j’avais accepté qu’il soit mon Seigneur, il avait démontré les
mêmes qualités pour notre vie privée, qu’en définitive, j’avais
besoin de m’en remettre à sa volonté.
C’est pourquoi, je
me suis laissée docilement relever et mener jusqu’au bord du lit
pour y être mise à plat ventre, cuisses pendantes et postérieur
exposé de la façon la plus indécente que l’on puisse imaginer.
Quatre ou cinq (je n’ai pas compté !) coups du martinet me firent
saisir combien cet instrument peut être cinglant. ! Puis me relevant
en larmes, il « m’invita » à me tenir dans un coin de la chambre
pour méditer et prendre de bonnes résolutions, tandis que la «
chaleur » de mes fesses commençait à décroître.
Ce soir
là, il n’y eut qu’un rapport oral unilatéral
Puis
un texte qui donne quelques précisions sur la provenance du
martinet:
Lorsque j’ai « emménagé » chez
celui qui n’était encore que mon « ami » (quel mauvais terme
pour désigner celui qui était déjà tellement plus !),
je ne connaissais de la maison que
le salon et la chambre. Ce ne fut que quelques jours après, le
rejoignant dans son bureau, je vis le martinet sur une étagère
d’une des bibliothèques.
Alors que je constatais son aspect
rustique d’une autre époque, il m’a juste dit l’avoir acquis
dans le but de ramener à la raison l’ainée de ses deux filles
devenue incontrôlable. Il ne m’en a pas dit plus, et je ne sais si
ce martinet ne fut qu’une menace ou s’il a effectivement cinglé
les rondeurs postérieures de ces demoiselles ! Je dois dire que
j’évite d’évoquer le sujet de l’éducation de ses filles, car
je sais que ce fut une période difficile entre la maladie de leur
mère, puis son décès, et les contraintes de sa vie
professionnelle. Pas suffisamment encadrées, leurs préadolescences,
à ce que j’ai cru comprendre, a été l’occasion de bêtises,
certaines plus grosses les unes que les autres, et que de plus
l’aînée commençait à se croire déjà une jeune fille
affranchie ! Le problème (discipline comme études) fut résolu
lorsqu’elles sont parties vivre chez leurs grands-parents
maternels. Et c’est leurs départs de la maison paternelle qui
favorisa (permit ?) mon emménagement …
En soi, la
possibilité qu’il ait pu être amené à donner des châtiments
corporels à ses filles ne m’a pas choquée si, et j’en étais
persuadée le connaissant, il ne l’aurait fait qu’à bon escient.
Moi-même, tout comme ma sœur d’ailleurs, il nous est arrivé, à
l’une comme à l’autre, d’être fessées tant par notre mère
mais plus souvent par notre père. C’était certes à main nue, le
martinet n’étant jamais apparu chez nous quoiqu’il y fut fait
parfois allusion comme souhaitable ! Je vais ajouter un point qui
peut être en surprendra certains, mais gamine, lorsque fessée par
mon père, je préférais qu’il baisse ma culotte, la douleur sur
les fesses étant moins vive que sur le haut des cuisses …
Quoi qu’il en soit, je ne me
doutais pas alors que ce martinet deviendrait peu après l’outil de
mes punitions ! Il était de bonne qualité, il continue à servir,
je souhaite le moins possible. Entre temps, il reprend sa place sur
l’étagère : aucune de ses filles n’y fait jamais allusion
lorsqu’elles viennent chez nous pour quelques jours.
Petit commentaire :Le martinet
qui parfois (rarement heureusement) prend connaissance de mes
rondeurs postérieures fut acheté par mon mari dans une vraie
quincaillerie, il y a quelques 25 ans, alors que l’aînée de ses
filles devenait incontrôlable ! Le manche, vraiment pas beau à
l’origine, ne s’est pas amélioré avec le temps, mais je
garantis que l’engin continue à pouvoir parfaitement remplir le
rôle pour lequel il a été conçu !
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