mardi 29 avril 2014

507 La discipline domestique vue par une autre dame

Trois témoignages de Christine

J'ai déjà donné mon avis sur ces jolis textes dans mes commentaires. Alors je me tais et je laisse la parole à Christine qui écrit dans un Français particulièrement riche et élégant.

Après trop de mois (à mon goût !) d’étreintes furtives et de moments volés si ce n’est 15 jours paradisiaques sur la Côte d’Azur, celui qui n’était encore que mon amant décida non pas de vraiment « officialiser » notre liaison, mais du moins la rendre peut être moins discrète en décidant que dorénavant, je vivrais chez lui. Bien que « majeure et vaccinée » ( !) et donc libre d’agir à ma guise, il eut la courtoisie d’inviter mes parents un soir à dîner pour le leur en faire part.

Ce fut environ deux mois plus tard que survint l’incident qui me valut ma première correction punitive : j’ai commis par manque d’attention et de professionnalisme une bourde qui aurait pu coûter très cher tant sur le plan professionnel que privé, bourde pour laquelle il passa une bonne partie de la journée à en limiter au mieux les conséquences. Sur le moment, si ce n’est un « Christine » prononcé sur ce ton qui dès mes premiers jours comme secrétaire m’avait toujours, lors d’une faute, impressionné et parfois craindre le pire, il ne m’a rien dit. Au déjeuner, ce fut le même mutisme. Et au dîner à la maison, ce fut pareil. Je devinais qu’il allait se passer quelque chose, cela ne pouvait pas durer éternellement, j’avais hâte que ce moment arrive tout en le craignant. 

Vers 10 heures du soir, enfin, après avoir lu son courrier personnel et les journaux, il m’ordonna d’aller dans notre chambre, de m’y déshabiller et de l’y attendre nue. Encore une bonne dizaine de minutes angoissantes, et il fut là, il s’assit dans le fauteuil, il me fit me mettre à genoux devant lui mains derrière le dos, et il commença un long sermon au cours duquel alterna reproches et admonestations avec mes promesses de m’amender entrecoupées par mes premiers pleurs. En conclusion, il m’annonça qu’il se devait de me châtier tel que durant des siècles, on avait su remettre dans le droit chemin ceux pour qui cela s’avérait utile. Je compris ce qu’il avait voulu dire quand s’étant éclipsé un instant, il revint avec le martinet qui était rangé sur une étagère d’une bibliothèque de son bureau.


Allais-je accepter d’être corrigée comme une gamine ? Devais-je accepter un châtiment corporel ? Était-ce une première manifestation de « violence conjugale » ? Tout défila incroyablement vite dans ma tête. Il m’apparut alors évident que dès le premier jour en tant que mon patron, il avait été strict mais juste, exigeant sans excès, corrigeant mes erreurs chaque fois que nécessaire mais sans brutalité, et que depuis que je m’étais donnée à lui, que j’avais accepté qu’il soit mon Seigneur, il avait démontré les mêmes qualités pour notre vie privée, qu’en définitive, j’avais besoin de m’en remettre à sa volonté.

C’est pourquoi, je me suis laissée docilement relever et mener jusqu’au bord du lit pour y être mise à plat ventre, cuisses pendantes et postérieur exposé de la façon la plus indécente que l’on puisse imaginer. Quatre ou cinq (je n’ai pas compté !) coups du martinet me firent saisir combien cet instrument peut être cinglant. ! Puis me relevant en larmes, il « m’invita » à me tenir dans un coin de la chambre pour méditer et prendre de bonnes résolutions, tandis que la « chaleur » de mes fesses commençait à décroître.

Ce soir là, il n’y eut qu’un rapport oral unilatéral 



Puis un texte qui donne quelques précisions sur la provenance du martinet:

Lorsque j’ai « emménagé » chez celui qui n’était encore que mon « ami » (quel mauvais terme pour désigner celui qui était déjà tellement plus !),
je ne connaissais de la maison que le salon et la chambre. Ce ne fut que quelques jours après, le rejoignant dans son bureau, je vis le martinet sur une étagère d’une des bibliothèques.

Alors que je constatais son aspect rustique d’une autre époque, il m’a juste dit l’avoir acquis dans le but de ramener à la raison l’ainée de ses deux filles devenue incontrôlable. Il ne m’en a pas dit plus, et je ne sais si ce martinet ne fut qu’une menace ou s’il a effectivement cinglé les rondeurs postérieures de ces demoiselles ! Je dois dire que j’évite d’évoquer le sujet de l’éducation de ses filles, car je sais que ce fut une période difficile entre la maladie de leur mère, puis son décès, et les contraintes de sa vie professionnelle. Pas suffisamment encadrées, leurs préadolescences, à ce que j’ai cru comprendre, a été l’occasion de bêtises, certaines plus grosses les unes que les autres, et que de plus l’aînée commençait à se croire déjà une jeune fille affranchie ! Le problème (discipline comme études) fut résolu lorsqu’elles sont parties vivre chez leurs grands-parents maternels. Et c’est leurs départs de la maison paternelle qui favorisa (permit ?) mon emménagement …

En soi, la possibilité qu’il ait pu être amené à donner des châtiments corporels à ses filles ne m’a pas choquée si, et j’en étais persuadée le connaissant, il ne l’aurait fait qu’à bon escient. Moi-même, tout comme ma sœur d’ailleurs, il nous est arrivé, à l’une comme à l’autre, d’être fessées tant par notre mère mais plus souvent par notre père. C’était certes à main nue, le martinet n’étant jamais apparu chez nous quoiqu’il y fut fait parfois allusion comme souhaitable ! Je vais ajouter un point qui peut être en surprendra certains, mais gamine, lorsque fessée par mon père, je préférais qu’il baisse ma culotte, la douleur sur les fesses étant moins vive que sur le haut des cuisses …


Quoi qu’il en soit, je ne me doutais pas alors que ce martinet deviendrait peu après l’outil de mes punitions ! Il était de bonne qualité, il continue à servir, je souhaite le moins possible. Entre temps, il reprend sa place sur l’étagère : aucune de ses filles n’y fait jamais allusion lorsqu’elles viennent chez nous pour quelques jours.


Puis une autre précision sur ce martinet :


Petit commentaire :Le martinet qui parfois (rarement heureusement) prend connaissance de mes rondeurs postérieures fut acheté par mon mari dans une vraie quincaillerie, il y a quelques 25 ans, alors que l’aînée de ses filles devenait incontrôlable ! Le manche, vraiment pas beau à l’origine, ne s’est pas amélioré avec le temps, mais je garantis que l’engin continue à pouvoir parfaitement remplir le rôle pour lequel il a été conçu !

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