(Suite
de : 521
Les vertus de la fessée en pleine nature 1)
(Une petite
fiction, car je suis une fille très sage)
Expier
ses péchés par une claquante fessée
C'est tout un programme. Car n'importe
qui avec des oreilles en bon état de fonctionnement se doute qu'il
s'agisse bien de cela. Même n'ayant jamais assisté à ce genre de
réjouissance, enfin réjouissance pour le spectateur et la personne
qui applique essentiellement en cas de véritable correction. Après,
tout dépend du spectateur comment il assimile cette « information ».
Il y a les passionnés comme moi qui vont essayer de se mettre dans
la situation. Notamment quand elle fait partie d'un vécu antérieur
et s'associe par ce fait spontanément aux souvenirs. Et l'idée que
l'on puisse se faire surprendre en pleine action ne manque pas de
charme, du moins dans mes rêveries.
A nous deux,
isabelle !
D'abord cet agréable effet de
fraîcheur quand on se fait baisser le jeans en pleine forêt.
Monsieur confortablement assis sur un tronc d'arbre, sur un tas de
bois, sur un rocher, sur une murette. Et moi contrite ou joueuse
devant lui, selon ce qui va m'arriver. Il y a en fait deux personnes
en moi :
Celle qui va se faire corriger pour de
bon et qui ne fait pas du tout la fière. Car rappelons le, la fessée
punitive n'a rien d'érotique pour moi et me faire chauffer
copieusement le siège pour mes comportements « inadmissibles »,
m'évoque un sentiment de fille mal éduquée qui a besoin de sa
piqûre de rappel.
T'as pas
honte, isabelle ?
Si, j'ai honte des mes écarts et loin
de moi de trouver ma punition injustifiée. Puis je sais que j'ai
besoin d'elle pour me sentir réhabilitée à nouveau, libérée de
cette stressante tension intérieure et remplie d’énergie et de
bonnes résolutions pour faire de sérieux efforts sur moi. Bref,
chez nous, cela marche à l'ancienne et je serais malheureuse avec un
homme qui ne saurais pas sortir le martinet quand mon comportement
l'impose.
Puis celle qui est pur produit de la
libération féminine. Celle qui est sans complexes, joueuse,
coquine, provocante. Elle s'en moquer éperdument de montrer ses
fesses en pleine foret au promeneur bienveillant. Et qui - malgré
ses fesses toutes rouges et une position allongée sur les genoux de
son homme – ne se privera pas de tirer sa langue si le regard
indiscret devient trop insistant.
Bon, nous ne sommes pas encore là.
Mais à chaque fessée à venir, j'ai tendance à me projeter dans le
futur, celui qui concerne le moment... après. Alors, hors de
question, ne serait-ce que timidement, de critiquer l'endroit choisi
par mon homme. Émettre le soupçon que quelqu'un puisse nous
surprendre ou observer de loin et en toute discrétion. Je fais
confiance à mon homme. Confiante, je me remet entre ces mains.
normalement il sait parfaitement évaluer une situation. Mais bon,
personne ne maîtrise le hasard. Sans vouloir le provoquer, je ne
suis pas non plus gênée à l'idée que quelqu'un puisse apercevoir
mon postérieur. Cela donne à la situation un petit piquant de plus.
Notons que je n'ai pas l'autorisation de me reculotter en pleine
nature sans que mon chéri le décide. Me flattant de l'excellente
éducation que j'aie reçue de sa main, j'attendrais sagement telle
que je suis, au cas où... C'est un peu comme pour la pause pipi sur
un parking déserté. Cela se fait juste à côté de la voiture, sur
la pelouse et il convient que je finisse
tranquillement ce que j'ai à faire, même si une voiture
arrive à l'improviste. Et je ne peux me reculotter seulement une
fois une petite lingette soigneusement passée.
L'hygiène est
primordiale, isabelle !
Et à vrai dire, pourquoi une fille
n'aurais pas le droit de prendre son temps comme font les garçons.
Enfin, retournons dans nos bois. Cette hésitation presque méditative
de mon homme devant mon string.
Le baisser ou
pas le baisser, that's the question !
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