vendredi 1 novembre 2013

423 Liens de discipline domestique (86 ème édition)


Perspective intéressante


Une de mes rêveries favorites ? Recevoir une correction devant la personne offensée. Et là, je ne parle pas d'un simple jeu, mais d'une situation écrite par la vie. Payer pour mes insolences sur le champs.

Tu sais ce qui te reste à faire, isabelle !

Hein oui, faire comme quand on se trouve en tête-à-tête, mon chéri et moi, relever sagement ma jupe ou robe et baisser mon string (il y tient, même si c'est un peu inutile à mes yeux!), pendant que lui va chercher le martinet. Mais à vrai dire, dans une constellation devant témoin, je préférais peut-être la poésie du bon vieux jeans et dans ce cas, le martinet ne me semble pas vraiment adapté. Mieux vaut un solide strap en cuir, celui que mon homme a fait faire sur mesure pour mes fesses par un cordonnier. D'un côté le jeans comme symbole de révolte contre l'autorité et de l'autre un retour à des méthodes éducatives d'un autre âge. Avec un non-dit éloquent : Ne vous laissez pas induire en erreur par mes apparences décontractées. Chez nous les bonnes manières et le respect sont toujours à l'ordre du jour. Quand mon comportement laisse à désirer, mon chéri me rappelle fermement que je n'ai pas encore dépassé l'âge de la déculottée.

Pile ou face ?

Voila la question existentialiste pour une punition devant témoin. Sur le net la réponse est simple, on voit des derrières, des derrière et encore des derrières. Pour un effet rougeur en direct. Peut parce que ces film s’adressent majoritairement à un public d'hommes ? Toutefois la question élucidée avec des copines, les préférences vont plutôt vers un « les yeux dans les yeux ». On veut tout de même déguster sa revanche dans le moindre détail. Un fessier c'est anonyme et nous ne sommes pas là pour favoriser les activités manuelles en cachette, mais pour savourer une victoire de taille sur une rivale.

Les yeux droit devant isabelle !

Alors que se passe-t-il dans ce regard intense qui s'échange ? Peut-être un dialogue silencieux comme celui-ci :

Tu as beau de te moquer de moi, mais c'est mon chéri à moi et c'est moi qui ai droit de ce traitement. Moi seule, tu comprends ! --- T'inquiète, j'suis pas idiote. Mais crois moi, t'as pas l'air maline en ce moment. Il a pas l'ait commode ton chéri. Tu vas avoir sacrement mal aux fesses ce soir.

Inutile de dire que j'aime beaucoup ce petit clip qui s’arrête au bon moment sans tomber dans le sordide. Je reste sur l'impression d'une authentique punition (infliger une douleur pour faire réfléchir et non pour souffrir!) comme chez nous à la maison, sauf que moi je fais nettement moins la fière...


Mon homme étant ado à une époque où la fessée faisait encore partie des méthodes éducatives, m'a souvent parlée de toute une série de fantasmes concernant des filles de son âgé, voire un peu plus. Sachant que la majorité était encore à 21 ans à l'époque, cela laisse une vaste marge. Il imaginait alors ces jeunes dames en train de recevoir une cuisante correction de la part de leurs mamans. En lisant des textes allemands datant jusqu'au début des années 70, j'ai pu constater qu’apparemment l'infliger la discipline était une affaire des mères de familles. Puis, grâce à mon homme et aussi grâce à quelques (rares) amis/amies de mon homme j'ai pu écouter des témoignages de première main , impliquant autant des dames que des messieurs. L'acte lui-même était plutôt exceptionnel, mais servait couramment comme menace. Je me demande d'ailleurs, si les nostalgiques de pratiques cuisantes n'ont pas ainsi appris à broder des fils autour de ce qui n'arrivait quasiment jamais. Bref, mon chéri aurait trop bien aime de pouvoir se rincer l’œil sur le derrière rougissant d'une petite copine. Sans parler de toutes ces jolies filles qu'il n'osait pas aborder. Or, ceci est resté pour lui au pur stade du fantasme. Alors j'étais très peu étonnée, qu'il me fasse un jour la confidence de m'avoir imaginée à maintes reprises, la culotte baissée et les fesses en l'air sur les genoux de ma maman. En train d'implorer pardon et de promettre monts et merveilles de travailler sur mes mauvaises manières. Cette petite fantaisie, m'a autant fait rire que ... frissonner. Bien évidement mon fantasme d'être corrigée par une autre femme, s'était toujours éloigné de ma maman. Et je n'ai eu aucun mal pour trouver des substituts dans mon entourage. Alors pourquoi ne pas imaginer mon homme me surprendre en train de recevoir une mémorable punition.

J'en connais une qui a pas été sage.

Avec une dame s'appliquant sur moi qui ne manque pas d'humour :

Je n'ai pas encore fini avec isabelle. Je vous la rend dans deux minutes !

Aurais-je été gênée par la présence de mon homme ? Certainement pas. Plutôt soulagée de ma sortie du placard.

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !














10 commentaires:

  1. Je connaissais cette vidéo mais elle est toujours aussi émouvante. de temps en temps c'est bien d'avoir l’autre coté de la punie. Voir le regard de l'effrontée en train d'être matée. Hélas impossible d'avoir le son! En tous cas une bonne cuvée cette semaine, j'aime beaucoup celle qui s'amuse sur la rampe de l'escalier, mériterait effectivement bien une bonne..;

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  2. Ravie que mes liens vous plaisent, Bertrand. J'ai toujours eu un faible pour les rampes d'escaliers, mais à partir d'un certain âgé je me suis dite, ce n'est que pour les garçons. Étrange développement sans le moindre contexte familial que je commence aussi à percevoir chez ma fille...

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    1. Bonjour à vous !!

      Effectivement, assez atypique comme clip. D'ordinaire , on nous fait observer les joues ... fessières ! Le son est à peine audible, mais seulement la résonance des frappes du paddle ou d'une règle...
      Visage presque impassible. Presque tout dans le masque. Comme une forme de contrainte blasée !! Pauvre Miss !! Good luck !!
      Bon WE.Mac-Miche.

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    2. Vous attendez quoi cher Monsieur Mac Miche ? Que la dame se réjouisse de recevoir sa fessée punitive ? Rire. M'enfin, cela fait mal et c'est très peu flatteur à l'âge adulte de se faire rappeler à l'ordre de cette manière particulière. Nous ne sommes pas dans un registre de pur fun.

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    3. Bonsoir Isabelle !

      Je suis bien d'accord avec vous. C'est humiliant de se faire punir comme une gamine quant on arrive à l'âge adulte. Je ne vois pas l'intéret de filmer ce genre de situation. A moins que cela flatte le sentiment d'autorité et de puissance de la personne qui tient l'instrument de correction. C'est un peu gâcher de la pellicule, si j'ose dire. Mais chacun est libre de faire ce qui lui plait, tant qu'il ne gêne pas ceux et celles qui l'entourent.On a même l'impression que ce n'est plus de la punition mais une forme d'acharnement.
      Mazette !! Bonne soirée. Mac-Miche.

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    4. Pour ma part, je n'aime pas des film qui montrent comme vous dites un acharnement. Je conçois la vraie fessée entre adultes comme un punition, certes quelque peu douloureuse, mais sans quelle dégénère vers une impression de maltraitance. Par contre -hors contexte vénal - je peux comprendre que certaines personnes aiment montrer les fessées quelles reçoivent. Et quand c'est fait avec délicatesse, j'avoue que j'ai un côté bon public...

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    5. Oui, certains films sont pour moi intolérables de violence, qu'elle soit physique (marques...) ou morale. Ou alors le sujet m'insupporte. Je n'aime pas l'ambiance BDSM, par exemple, ou les suggestions de viol ou de maltraitance.

      (Je fais quelque peu une exception pour les contextes "ancillaires", style la maîtresse de maison qui flanque une correction à la bonne: ce serait intolérable en vrai mais j'aime bien la scène. Je justifie cela en disant que ce sont des mœurs passées...)

      Pour moi une fessée punitive doit certes faire mal, mais sans excès.

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    6. Vous avez raison de mentionner ces film qui utilisent la fessée pour rendre la dame disons docile pour tout genre d'entreprises. C'est la fessée telle que l'on la montrait dans les années 70/80. Je n'ai jamais accroché avec des telles histoires et je me suis contentée de mes fantasmes de pensionnat ou autre, mettant en avant un contexte purement éducatif.
      Comme vous j'aime beaucoup le contexte ancillaire. J'ai toujours imaginé une « bonne » consentante, amoureuse de sa maîtresse. Enfin même dans mes fantasmes je suis très fleur bleu.

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  3. J'avais aussi vu cette vidéo, c'est vrai que c'est appréciable de voir le visage de la punie. Pour nos vidéos à Simon et moi, ça ne risque pas d'arriver, même pour l'amour de l'art. On a des vies privées à protéger.
    J'aime aussi beaucoup la dernière photo mise en lien, la jeune fille n'a plus le corps d'une enfant mais elle a des traits juvéniles et je la trouve mignonne comme tout.

    Constance

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    1. Je pense surtout que vous êtes des amateurs passionnés et que la jeune dame est en train de gagner sa croûte. C'est une différence de taille. Je suis bien d'accord avec toi sur l'importance de protéger sa vie privée.

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