dimanche 1 septembre 2013

393 La crédibilité de la punition


Pour que la discipline traditionnelle soit une réussite !

On ne badine pas avec la discipline chez nous. Et quand mon homme a décidé qu'il soit nécessaire, une fois de plus, de me rappeler à l'ordre, il n'existe plus aucun moyen de séduction pour lui faire changer d'avis. Et bien qu'il se tienne strictement au règlement composé de nos irrationalités respectives, il est rare que je fasse la fière dans un tel moment. Il y a une forte gêne qui s'empare de moi, car on n'a pas l'air maligne quand on s'apprête à dénuder son derrière pour le présenter à une personne qui tient un martinet en main. Je peux gagner un peu de temps avant l'orage pour aller au petit coin pour filles. Ceci dit, Monsieur aime que j'entame ce chemin déjà préparée, veut dire les fesses en l'air et ma petite culotte ou mon string autour de mes chevilles. Ajoutons à ceci une jupe droite, coupée près du corps qui vient d'être remontée, il est facile d'imaginer la difficulté de la démarche. Et inutile de dire que nous sommes loin de l'élégance d'un défilé de mode. Pourtant dans des conditions plus favorables, sans vouloir me vanter, j'ai des très jolis mouvements sur talons hauts.

J'ai également essayé dans le temps pour échapper à ma punition de prétexter un petit malaise. Peut-être même que j'ai exprimée ma soi-disante souffrance de manière trop théâtrale. Quoiqu'il en soit, j'ai rapidement renoncé au recours à ce genre de stratagème. Car après un regard inquiet, mon chéri, s'est ressaisi tout de suite en se fiant à son pragmatisme, en répondant par une action qui rentre dans le champ de mes prétextes (on ne badine pas avec la sante!).Une prise de température par voie rectale, manière de vérifier mon état de sante. Et parce que visiblement sur ce point de vue tout semble en ordre, suit un remède grand-mère en prophylaxie, sensé selon mon chéri pour aider les grandes filles constipées à retrouver leur sourire. Le tout sans annuler mon rendez-vous galant avec notre martinet. Voila qui rejoint à la merveille mes rêveries de jeune fille qui souhaitait un encadrement traditionnel et strict. L'accent étant mis sur une devise du style :

La discipline passe avant la pudeur !

J'ai pu ainsi apprendre à l'âge adulte ce que c'est de rougir devant une autorité intransigeante, sans manquer de la bienveillance et du paternalisme. Puis l'autre miracle, j'ai pu m'en apercevoir à quel point ce traitement me réussit. Après, je me sens bien mieux dans ma peau, soulagée, un grand poids en moins. C'est donc au fond une expérience qui s'avère de plus positive pour moi qui crée mon obéissance quand il s'agit de baisser ma petite culotte en cas de nouvelle faute. Et non une idée sous-entendue de me plier aux exigences les plus fantaisistes de mon homme. Son autorité se manifeste en imposant de ce qui est convenu. Cela reste très proche des principes d'une vraie éducation d'antan qui explique d'abord la bonne manière pour se comporter (tu es prévenue maintenant, à toi de faire tes preuves). Qui met en garde (si tu continue comme ça isabelle, ça va être la fête de ton derrière). Et qui rassure par le fait de ne pas se contenter des paroles en l'air ( t'as dépasse les bornes, isabelle, prépare toi pour ta correction). Il y a tout un vécu au fil de la journée qui se cristallise dans ce qui va arriver. Sans manquer de mon profond sentiment que la punition me sera bénéfique. Ce qui ne veux pas dire que je me montre, prise sur le fait, aussi raisonnable. Que je n'essaye pas de minimiser, des discuter etc. Toute fois il y aussi la certitude qu'après un passage désagréablement cuisant, que ma libido va se décupler une fois prise ma place au coin, mais surtout que j'aurais une pêche d'enfer (veut dire encore plus que d'habitude) et une impatience de faire plein, plein de choses dès que j'aurais le droit de quitter mon coin. Parfois je me dis que mes punition me mettent au centre de l'expérience existentialiste, dans un « ici et maintenant », me détachant de l'importance que j'attribue à ma propre subjectivité pour réaliser ce qui est au fond de moi.

Je dirais que le besoin de punition fonctionne sur certains points en analogie avec la sexualité classique sans se confondre avec elle. Il cherche une satisfaction à sa manière. Et la réussite dépend pour moi autant de la crédibilité de la faute que de la crédibilité de la punition. Il me semble important que cette dernière soit sans excès, mais aussi sans trop ménager les fesses de la dame, ni sa pudeur. Une juste mesure disciplinaire, rappelant un cadre « bon enfant » créant la belle illusion qu'il n'existe aucun lien entre fessée et petits secrets entre adultes. Sorte de paradis retrouvé qui permet un nouvel départ sur des bonnes bases. Le registre est selon mon ressentiment autre que celui du « plaisir partagé » et autre que celui qui recherche des puissants effets d'endorphines. Et il en va de soi que le doigt qui s'égare brisera la magie d'un instant privilégié...

12 commentaires:

  1. Chère Isabelle,

    La fessée serait un paradis retrouvé, recréant la « belle illusion qu'il n'existe aucun lien entre fessée et petits secrets entre adultes ». Je suis tout à fait dans cette attitude, si je vous comprends bien. Personnellement j’aime en tant que fesseur que la fessée soit une vraie punition et l’isoler de la notion de plaisir entre deux personnes. Mais la réside le plus grand mystère car cela est néanmoins lié à des excitations qui sont sexuelles. Peut – être est – ce que vous voulez dire en disant que « le besoin de punition fonctionne sur certains points en analogie avec la sexualité classique sans se confondre avec elle ». Le fesseur a besoin de gronder comme celle qui sera fessée de se comporter en vraie punie, présentant humblement son postérieur à son seigneur et maître. Et il ne s’agit pas de mise – en – scène, le besoin de punition chez l’une et de réprimander chez l’autre et bien là et pourtant cela conforte en chacun un rôle, une position, une attitude qui est source d’excitation, de libido donc quelque chose de sexuel.

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    1. Cher Bertrand,

      pour ma part pour mieux comprendre le « mystère de la sexualisation» je pense quand il y a fantasme de fessée, il correspond à un désir archaïque, sexuel certes, mais différent du changement qui arrive à la puberté. D'où l'analogie de fonctionnement. Et pour moi c'est justement la puberté qui « pervertit » le fantasme de fessée, car il doit être subordonné à une pulsion encore plus forte. D'où la grande gamme de compromis personnels. Ceci dit pourquoi ne pas considérer le besoin de punition et de punir tout simplement comme un désir comme tant d'autres. Et dans ce sens je vous rejoint sur l’absence évidente de mise en scène. Nous sommes en quelque sorte dans le naturel... qui demande pour la satisfaction, encore en analogie parfaite avec la sexualité classique un consentement des deux personnes...

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  2. C'est intéressant que votre mari, face à vos "petits malaises", ait eu la même idée que mon épouse quand je disais que j'étais pénible car fatigué : s'il y a fatigue, il y a peut-être maladie, et il faut donc s'en assurer... Donc chez nous la température (rectale, bien sûr) est systématique avant une fessée pour mauvaise humeur. Le thermomètre en verre (et non électronique) permet de faire un peu "mariner" le ou la coupable (par exemple cul nu couché sur les genoux) avant la correction.

    Quant à la constipation, vous savez bien quel remède (qu'elle avait subi de sa maman quand elle était enfant) mon épouse m'a fait connaître...

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    1. Je pense que nous sommes dans un registre de fantasmes « bon enfant » qui cherchent de punir et de faire du bien à la fois. C'est plutôt une attitude agréable, non ? Je vais d'ailleurs consacrer à partir d'aujourd'hui un nouveau label à la thématique « punitions bon enfant » dont le caractéristique semble pour moi une plus ou moins rude épreuve pour la pudeur sans gros dégâts douloureux. Des fanatismes typiquement fessée et ses alentours sans tomber dans le glauque. Et soyons clairs, ni la prise de température, ni le lavement s'accompagne de douleur ! Enfin , ici aussi doit exister des variantes extrêmes comme en tout, mais là nous sommes hors « bon enfant »...

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    2. En effet, ni la prise de température, ni le suppo, ni le lavement ne sont douloureux, même si ce dernier est parfois inconfortable.

      S'il faut psychanalyser mes fantasmes, je pense que les miens concernant la zone anale sont liés à des épisodes enfantins. Vous avez mentionné l'expression "un suppo, et au lit"; même si ma maman ne l'employait pas, j'ai le souvenir de ces couchers où je devais me déculotter et tendre les fesses pour le traitement, ou encore je me voyais remettre le thermomètre a insérer moi-même (curieusement, ma maman m'a laissé assez tôt mettre l'instrument, mais pas les suppos, dont je crois qu'elle me les a administrés jusqu'à la fin de l'école primaire). Je me rappelle aussi de ces passages chez le médecin suivi de la pharmacie, avec (quelle honte) cette fois où la pharmacienne a crié à sa collègue dans l'arrière de lui rapporter je ne sais quel suppo enfant... tandis qu'une camarade de classe, en remorque de sa maman, pouffait de rire; sans parler du fait que maman commençait le traitement dès le retour. Ou encore comment maman insistait bien pour que j'aille à la selle avant le suppo, ou comment elle me mettait une protection hygiénique dans le slip après m'en avoir mis un, pour protéger mes vêtements.

      Quant à la fessée, j'en ai reçu (peu) de mon papa et plus de ma maman, cette dernière n'hésitant pas à déculotter (il me semble qu'il en a été ainsi jusqu'à la puberté). Oh, je n'étais pas "battu", loin de là, mes parents n'abusaient pas...

      Tant la fessée que ces petites intrusions anales me renvoient donc à un registre de l'enfance où l'on prenait soin de moi, certes parfois d'une façon fort embarrassante et honteuse pour moi, mais pour mon bien...

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    3. Merci pour ces jolies confidences avec ces riches détails, Monsieur Pecan

      C'est crédible de A à Z et explique à mes yeux parfaitement vos petits penchants mignons. De plus cela montre que bien souvent la source du fantasme se trouve dans les gestes considères comme quotidiens et qui prennent pour l'enfant une toute autres dimension. Le soin qui devient « du bien » par la découverte d'étranges sensations qui le font lier à la honte. D'où ma politique personnelle envers ma fille de remettre constamment ma façon de l’élever en question et de mettre en avant son indépendance.

      Le lavement m'étant conseillé par mon esthéticienne sous forme de la cure Xantis, n'avait pas pour moi à ce moment une connotation récréative ou punitive. J'ai essayé et j'ai trouvé cela fort agréable. Par contre quand j'ai parlé de cette cure à mon homme, je l'ai vu pointer ses oreilles et son regard amusé. Il ne m'en avait jamais parlé de ce fantasme et je pense que l’appétit lui est venu en m'écoutant. Il n'a pas d’à priori et je lui ai fait essayer pendant un jeu d'infirmière. Puis également, il passe à la « casserole » quand c'est son jour d'épilation intégrale. Là nous restons purement ludiques sans la moindre connotation de punition. Séance beauté, massage, bien-être par un esthéticienne très particulière...

      J'ai quelques souvenirs de suppo que m'appliquait mon papa.. mais cela ne m 'a pas vraiment marquée. La conscience du plaisir y associé est venu à l'âge adulte. Il y a aussi le côté touchant de disposer un chéri qui se soucie et s'occupe tant de la santé de sa dame. Alors j'aime bien quand il pointe le thermomètre. Par contre dans un contexte punitif, on découvre subitement un tout autre aspect de ces pratiques d'être remise à un place passive où il doit de se laisser faire. Et là il me semble que la honte s'invite tout naturellement.

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  3. Bonjour Isabelle,

    Votre intervention, ainsi que la précédente, m’ont incitée à réfléchir sur ce que cette appellation de « Discipline domestique » peut recouvrir pour vous, pour vos nombreux lecteurs car il me semble que votre blog a un succès mérité, et évidemment pour moi. S’agit-il d’un fantasme, avec ce que cela représente essentiellement d’imaginaire ? S’agit-il d’un jeu de rôles, où le mot de « jeu » est prépondérant ? S’agit-il d’une approche spécifique pour permettre à certaines (à certains aussi) d’exprimer leur libido ? S’agit-il de l’action effective de corrections punitives, dans le cadre d’une « prise en main » ? S’agit-il enfin de la manifestation d’un certain type de « violences conjugales » ? Voilà me semble-t-il des interprétations tellement différentes les unes des autres, même s’il semble que le point commun soit celui de fessée !

    Pour moi, vous le savez je pense, j’ai toujours rêvé dès le début de mon adolescence, que celui qui serait mon compagnon dans ma vie de femme serait mon guide, celui à qui je pourrais m’en remettre en tout et pour toujours, dont la force compenserait ma faiblesse. Mes fantasmes de jeune fille n’ont fait que conforter cette aspiration : était-ce inscrit dans mes gênes ? Quoi qu’il en soit, merci encore de m’avoir fait découvrir ce site « taken in hand » et de m’avoir permise de nommer mon désir une « prise en main » !

    Toutefois, je n’imaginais pas dans mes fantasmes d’adolescente que cette « prise en main » comporterait des corrections punitives elles bien réelles, et peut être même aurais je pu avoir alors des réactions négatives horrifiées si cela m’avait été suggéré. Je vous ai narré comment et pourquoi j’ai été punie la première fois, et pourquoi je l’avais accepté. Depuis, il m’est arrivée, pas trop souvent quand même, de connaître l’effet cuisant du martinet familial et de m’y soumettre sans objection.

    Je pense, non, plutôt je sais, qu’à partir du moment où j’ai trouvé en mon mari le « Seigneur et Maître » auquel j’aspirais plus ou moins consciemment, que je lui fais totalement confiance, je lui ai donné l’autorité pour me conduire où il veut parce que c’est mieux pour nous deux, et comme il veut car il sait la meilleure façon à cette fin. Et moi, je l’accepte sans mal, parce que je constate que je ne suis jamais corrigée sans un réel motif qui justifie cet acte, tels par exemple qu’une grosse bêtise irréfléchie, une désobéissance flagrante, une dépense importante non autorisée ... Il n’y a jamais de prétexte futile du genre « tu as cassé une assiette » . Je ne suis d’ailleurs pas maladroite et notre employée de maison en casse certainement plus. Mais il en serait tout autrement si dans un mouvement de colère, je me mettais à briser tout ou partie d’un service !

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    1. La question de la violence conjugale est légitime. Deux différences, à mon sens: la discipline domestique est librement consentie, voire réclamée (quand je me sens "coupable", il m'arrive de demander ma fessée); elle est modérée (la fessée ne laisse pas de traces durables et ne cause pas de douleur excessive, le reste est plus embarrassant que douloureux...).

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    2. Cher Pecan, je ne saurais mieux résume cette délicate question que vous!

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  4. Chère Christine,

    vous ne savez pas à quel point vous me faites plaisir en disant de vous inciter à réfléchir sur la discipline domestique. Et en plus vous en parlez dans des très beau textes.C'est bien un des buts majeurs de mon blog pour rompre avec des clichés de la DD qui courent le net. Et il me semble révélateur que ces clichés sont non seulement fabriqués par certains hommes, mais aussi par certaines femmes qui décrivent des formes de relation qui vont très loin qu'il me semble que la DD serve pour donner une appellation plus sympathique pour pouvoir en parler à ses copines ou à un public de blog. Bref vous avez parfaitement compris à quel point il est difficile de parler « DD en général » et d'où la raison que je ne me permette que très rarement de donner des conseils à qui-que ce soit. Et d'où aussi le grand nombre de mes formulations prudentes qui cassent malheureusement le style de mes textes pour ceux et celles qui viennent sur mon blog pour se distraire et regarder un peu comment cela se passe chez moi sans pour autant adhérer à la DD, ni même souhaitant de la vivre un jour.

    Comme vous j'ai l'impression que la « prise en main » vous correspond bien. Pour ma part, si j'avais vu ado certains sites sous l’appellation fessée ou DD je me serai sauvée en courant en croyant de me trouver dans un cabinet de torture. J'ai beaucoup aimé votre façon d'avoir raconté votre première punition. J'aime ce qui est atypique et comme je vous avez demandé il y a quelque temps, je projette de consacrer un post à ce joli texte en le mettant à l'honneur.

    Je vois également à partir de vos écrits sur votre mari surtout un homme « seigneur et maître » de ses pulsions qui ne cherche pas de prétextes à bon marché pour mettre en scène ses fantasmes. Et là, malgré certaines différences dans nos couples respectifs je vois autre que la fessée dans la DD l'aspect caractéristique du « réel motif qui justifie l'acte » de la punition sans franchir cette frontière. Dans ce sens, j'aurais tendance à conseiller (pour une fois) à ceux et celles qui semblent débordés par une libido qui s’implique trop de rester dans un registre de jeu pour ne pas mettre leur couple en danger.

    Je me retrouve un peu dans votre recherche d'un guide pendant l'adolescence, puis dans ma vie de femme. J'ai toujours souhaité un homme de terrain, bien expérimenté de la vie qui puisse m'expliquer et montrer où se trouvent les hic et aléas de certains situations de la vie pratique. Par contre et là se trouve ma différence avec les pratiques dites Domination/soumission, je n'ai pas éprouvé le besoin d'un enseignant en matière de relations charnelles...

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    1. Chère Isabelle,

      Il est exact que le premier sexe masculin que j’ai vu au naturel en érection est celui de l’homme qui est devenu plus tard mon époux, le soir où je me suis donnée à lui corps et âme définitivement, sans l’avoir prémédité même si mon inconscient et certaines rêveries m’y préparaient. Je reconnais que j’étais alors encore bien naïve sur nombre des réalités des rapports humains, et que les cours de SVT ainsi que mes romans favoris avaient plus enflammé mon imagination que préparé à être la partenaire charnelle de celui qu’il me plait d’appeler mon « Seigneur et Maitre » .

      Heureusement, j’ai trouvé en lui un professeur en rapports charnels patient, expérimenté (eh oui !), aimant me faire partager sa connaissance du sujet et qui, si j’ose dire, n’hésite pas à réitérer très souvent la mise en pratique de ses leçons expérimentales ... J’ai ainsi trouvé une satisfaction dont j’avais très certainement un grand besoin, tellement supérieure à ce que pouvaient m’apporter mes précédentes caresses solitaires, même s’il m’arrive encore de faire appel à elles lorsqu’il est absent pour quelques temps. Et plus encore, j’espère et je souhaite qu’il trouve en moi ce qu’il peut désirer d’une épouse.

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  5. Chère Christine,

    nous somme là dans nos différences respectives. Pour ma part je n'ai pas l'impression d'avoir appris des choses de la chair par mon homme, mais j'ai pu apprécier à quel point il sait bien faire à mon goût à moi ce que je connaissais déjà. Bien évidement, il y a certainement des pratiques qui nous échappent, car notre curiosité n'est pas sans limites. Mais comme pour vous la satisfaction est au rendez-vous et cela me semble un pilier important pour un couple. Et je me joins à votre dernière phrase, déjà par le fait que mon homme correspond à tous ce que je désire d'un homme...

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