vendredi 6 septembre 2013

396 Liens de discipline domestique (78 ème édition)


Le temps d'une réflexion


Voila une photo qui m'inspire. Je trouve que pour une petite femme très active, turbulente et qui déborde de joie de vivre comme moi, il n'y a rien de mieux que la pause imposée au coin. Ce moment de calme, d'inactivité forcée me fait du bien, m'aide à mettre un peu d'ordre dans tous les idées qui me traversent la tête. Mon homme le sait et il arrive parfois qu'il m'envoie au coin sans passer par la fessée.

Tu as besoin de te calmer, isabelle !

Certes, pour qu'il trouve son compte aussi, je dois y aller la culotte baissée et lui aussi prends son temps pour étudier mes porte-jarretelles et bas en toute tranquillité sans parler de la nudité de ma chair. Un grand moment de complicité. Parfois je sens dans mon cou sa respiration, un bisous sur ma nuque ou même sur mes fesses. Punition et tendresse, l'une à côté de l'autre. En paix et en harmonie. Loin d'être une proie convoitée par les pulsions du chasseur, je peux me sentir pleinement femme.... aimée !

J'aime dans cette image la touchante attention au confort de la dame. Qu'elle ne se fasse pas mal au coudes et que sa pénitence lui offre une perspective agréable et douillette. Bien évidement à côté du chauffage pour qu'elle ne choppe pas un rhume, notamment en saison fraîche, puis une belle vue. Voila ma vision de la discipline domestique. Éduquer la dame oui, mais lui transmettre des valeurs positives dans un cadre agréable. La choyer à tout moment. Un ensemble qui me donne l'impression que ma sanction vise vraiment mon bien.

Enfin, petit b-mol sur l'idylle de la photo! Je suis très exigeante sur le point de vue (!) quand je fais du coin. J'ai une vue imprenable et panoramique qui surplombe la petite ville dans laquelle nous habitons. Et mon homme a donc la même avec moi en premier plan. Et quand la fessée a eu lieu, niveau coloration de mon postérieur, cela ne dépasse guère celle de la dame. Nous sommes dans un registre de punition, censé de porter des fruits et non dans le « plaisir » d'arracher la peau des fesses.


Je suis devenue par mauvaises expériences très prudente pour ajouter de nouveaux blogs à ma liste. La vie est courte et je ne tiens pas à me créer des problèmes. Alors j'évite grosso modo toute personne que je ne connais pas au moins par un échange sur un forum. Enfin, il me manque le temps pour les forums, ce qui complique encore plus les choses. Voila donc des écrits d'une jeune dame que j'aime lire depuis pas mal d'années. En fait, un blogroll personnalisé est rudement pratique et me permet de gagner un temps fou pour suivre ce qui m’intéresse/touche/intrigue...


Quand nous habitions encore à la campagne, il y a pas mal de temps, cela aurait pu nous arriver. Le coin était tellement tranquille que l'on pouvait partir pendant un week-end sans fermer la verrière. Ce qui est arrivée une fois à mon chéri, aveuglé par mon auguste présence et mon univers très girlie qu'il était en train de découvrir. Le pauvre. Habituellement il est si consciencieux. J'ai dû alors sacrement le troubler par mon intrusion dans sa vie de garçon. Bref, je m'imagine arrivant chez des amies le soir, mon portable en panne, pas de sonnerie au portail, mais qui n'est pas fermé. En passant par la partie parc du jardin qui cache la maison j'entends des bruits trop caractéristiques. Des claques certainement sur un fessier tout nu et des petits cris. Non, mieux encore, je souhaiterait dans ma fantaisie plutôt une dame contrite.

Non, je le ferai plus. Je te le promets.

Ce n'est pas possible. Je suis étonnée sans y voir le moindre mal. Comme je ne verrais aucun mal de découvrir ma copine par exemple en tenue de soubrette ou plus fantaisiste encore. Ma foi, nous avons tous et toutes des fantasmes. C'est humain. Poussée par la curiosité, je m'approche de la maison pour voir ce qui confirme mes soupçons. Que faire ? Pour ma part je jouerais la carte de la discrétion et je partirais sur la pointe de mes pieds. Aussi silencieuse comme je suis arrivée.

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !















20 commentaires:

  1. Votre réflexion sur les coudes et les positions agréables et douillettes me fait remarquer que lorsque, dans notre couple, nous donnons la fessée, nous adoptons une position (par exemple le fesseur ou la fesseuse assis sur un lit; ou pour le martinet reçu à genoux, un coussin ou un lit sous ceux-ci) confortable pour le "patient". N'y a-t-il pas un paradoxe à veiller à ce confort tandis que le postérieur devient rouge et douloureux? Comme si l'inconfort devait se limiter au lieu de la honte...

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  2. C'est vrai, veiller au confort du ou de la punie peut sembler paradoxal, mais je ne pourrais pas envisager une séance de fessée/ punition entre Simon et moi autrement.
    Sans doute aussi parce qu'être dans une position inconfortable (avoir mal aux genoux, ou aux coudes par exemple), empêche de rester vraiment concentré sur sa fessée...
    Constance

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  3. @Pecan:
    Figurez-vous qu'il me semble exister une explication à ce phénomène. J'avais (maladroitement) essayé, il y a quelques années à en faire un texte(les hommes nostalgiques ou la discipline domestique en toute confiance). En gros je pense qu'un homme attentionnée à la dame dans une telle situation, le risque de tomber sur un fantasme en escalade est moindre, si son attention ne prend pas des proportions démesurées. Enfin j'évite souvent de parler de mes idées sur la psychologie des messieurs concernant notre sujet et les relations charnelles dans un sens plus large.

    @Constance: Je te trouve d'une subtilité redoutable en matière de punition..J'imagine ton sucés en tant que fesseuse.

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    1. Je ne comprends pas... Voulez-vous dire qu'une dame adepte de la fessée va choisir parmi les hommes susceptibles de la donner ceux qui, en dehors de la fessée proprement dit, gardent la dame confortable, avec l'idée (inconsciente ou non) que si c'est le cas c'est que l'homme limite ses fantasmes à la fessée et ne désire pas de scène plus "hard"?

      Pourquoi pas. J'avoue que moi je ne désire que ce que vous qualifiez de "bon enfant" et que je me sens mal à l'aise (même si je peux ressentir un peu d'excitation) quand je lis ou que je regarde des actes qui me paraissent trop "durs".

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    2. Oui, vous-avez raison, c'est un peu (beaucoup) confus ce que j'ai dit. Il ne s'agit en aucun cas d'une généralité, mais d'un petit truc bien à moi donc non représentatif. Déjà, si un monsieur n'est pas attentionné à ma petite personne et ne s’intéresse pas à mon confort sur tout point de vue, je ne me pose même pas la question d'entamer une relation quelconque avec lui. Sinon, d'une part effectivement comme vous dites si le monsieur offre du confort « hors fessée », il me semble peu probable de trouver plus tard une escalade, d'autre part s'il se montre exagérément attentionné, je me méfie en me posant la question ce que cela cache. Ceci dit je vais sûrement rééditer mon ancien texte.

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  4. Bonjour Isabelle,

    Un petit billet « en passant » (comme on dit parfois) : profitant dimanche d’un moment de tranquillité, dû notamment à la fraicheur qui ne m’a pas permise de fainéanter en bronzant au bord de la piscine, j’en ai profité pour lire le « Spécial Mode » qui m’attendait.

    J’ai l’impression que la tendance pour l’automne hiver va me plaire, puisqu’on annonce de la créativité qui devrait s’accorder avec notre réalité et nos envies, et j’ai retenu plus particulièrement ce qu’ils appellent la tendance « Hitchcockienne » décrite comme suit : taille corsetée, buste menu, ourlets sous le genou … soit, disent-ils, une féminité subtile, ode aux héroïnes Hitchcockiennes qui réinvente le feu sous la glace …

    Vraiment tout un programme, n’est ce pas ?

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  5. Chère Christine,

    voilà une nouvelle qui m'enchante. J'y ai pensé, il y a quelques semaines en voyant Nicole Kidman. Moi aussi j'ai un faible pour cette forme d'élégance et par bonheur je vis avec un homme sensible à ce genre de tenues. Merci pour votre joli commentaire, car parfois je me berce dans un rêve en pensant qu'un jour sur un blog de discipline domestique il y aura aussi une place pour la mode. Cela me rappelle un peu le site stepfordwives.org. Sachant que vous lisez l'anglais, peut-être devriez-vous y jeter un coup d’œil... et bien évidement j'ai quelque part un long brouillon à ce sujet dans lequel je considère un peu mes facettes stepfordiennes....

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    1. Chère Isabelle,

      Comme vous me l’avez conseillé, je suis allée sur le site « Stepford Wives Organisation » que je ne connaissais pas. Qu’en dire ? Dans ce que je pourrais appeler leur déclaration d’intention, il y a certes beaucoup de points sur lesquels j’adhère, mais au moins autant qui me paraissent soit obsolètes, soit peu ou pas du tout conformes à ce que je crois doit être la vie en couple (y compris en droit !), soit même ridicules.

      Par exemple, j’ai apprécié qu’à la différence de « Taken in hand », il ne soit pas passé sous silence l’aspect physique de la vie de couple, mais je suis par contre choquée qu’il puisse y être affirmé que l’épouse « has no right for physical gratification » ! Je suis la partenaire de mon mari, en me donnant à lui corps et âme sans restriction, j’ai choisi et voulu qu’il soit pleinement le « head-of-our-household », mais je ne suis pas une chose, un objet.

      Finalement, pour ce site, je dirais :
      - qu’il ne me concerne pas réellement, car il prône la femme au foyer, passive et confinée, ce que je ne suis pas, mais suis sa collaboratrice dévouée 24 heures sur 24, 365 jours par an, pour tout ce qui fait sa vie d’homme tant sur le plan privé que professionnel ;
      - que je ne comprends pas pourquoi il y a dans le nom de ce site le mot d’ « organisation », que je n’en vois pas la justification ;
      - qu’enfin, ce site me paraît pour le moins dormant, sinon abandonné, que je regrette à titre d’exemple que le chapitre « cooking » soit vide ….

      Cela me donne l’occasion de revenir sur un point que j’ai déjà dit, à savoir que le fait que mon mari soit pleinement mon Seigneur et Maître, mon « HOH » selon l’expression américaine, me rend plus forte à l’égard des tiers, comme si sa force passait en partie en moi et servait à me booster. J’arrive ainsi à faire maintenant des choses dont j’aurais bien été incapable d’accomplir jeune fille. A titre d’exemple, je suis parfois amenée d’aller à sa place à des réunions professionnelles lorsqu’il se trouve qu’il n’est pas disponible. Il m’explique son point de vue, à moi de savoir le défendre. J’y mets toute mon ardeur, certes sans savoir parler haut et fort mais à ma façon, non par crainte d’une éventuelle correction punitive, mais parce qu’en tout lieu et en tout temps, je veux être comme il désire que je sois. Lorsque j’arrive à faire triompher son point de vue, ce qui est encore assez fréquent, vous ne pouvez pas imaginer à quel point je suis fière., c’est ma plus belle récompense même s’il en prend quelques fois prétexte pour me faire un cadeau.

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  6. Chère Christine,

    j'avoue que j'ai été très curieuse de lire votre avis sur ce site. Votre réponse correspond bien à l'image que je me fais de vous. Alors je reviens encore à la charge au sujet de la soumission. Vous n'êtes pas en phase avec la « checkliste de la soumise» qui décrit plutôt, voyons appelons cela une vision grossière la soumission féminine et vous n’êtes pas en phase non plus avec un discours, je dirais foncièrement machiste qui réserve au mari même un regard sur la jouissance de sa femme en la forçant de demander son autorisation. Et surtout vous ne vous voyez pas dans un registre d'une chose ou d'un objet. J'en conviens avec vous, mais permettez moi de vous poser une question quelque peu indiscrète. En vous lisant semble ressortir votre dévotion corps et âme pour votre mari. Quel est votre avis sur la notion de l'appartenance qui ressort souvent dans les contextes avec la soumission ? Comme certaines dames qui se sentent appartenir à leur seigneur et maître. Ne voyais pas une curiosité malsaine de ma part. Je pose cette question parce qu'elle me paraît importante pour un meilleure compréhension de votre discipline conjugale et donc fort constructive au sujet de mon blog.

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    1. C'est je suppose de ceci dont vous parlez:

      "Stepford Wives Organization believes that as a women, we should accomodate our husbands by allowing them full access privileges to our physical assets. We never think about physical pleasure for ourselves: we save our states of arousal for our husbands and refrain from any self-attention when our husbands are absent or present."

      Dans notre couple, nous n'avons rien contre l'autosatisfaction tant que celle-ci ne s'accompagne pas de fantasmes extraconjugaux réalistes et qu'elle ne gêne pas les actes conjugaux. Pour cette raison, nous désapprouvons en général cet acte quand il pourrait être remplacé par un acte conjugal.

      J'ai d'ailleurs déjà été corrigé pour abus manuel qui a privé mon épouse de l'usage légitime qu'elle aurait pu avoir de la partie manipulée.

      Qu'en pensez-vous, Isabelle?

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    2. Je doute un peu - vu mon insistance et vu son âge- que mon homme prenne souvent du bon temps tout seul. Ceci dit, le choses sont assez simples chez nous. Je comprend qu'il puisse avoir envie de prendre plaisir sans vouloir s'occuper de moi, mais non en solitaire. (Suffit de le dire mon chéri !). Nous avons à ce propos quelques jolis coussins qui me servent quand je m'occupe entièrement de lui. Pour le sens inverse il suffit que je lui demande de me masser un peu. Personnellement je pense que le principe du couple est le partager les choses de la chair. Le chacun dans sons coin dont on fait éloge de nos jours ne m'enchante pas.

      Votre terme abus manuel me fait rire et je je puis donner tort à votre épouse. Je me met facilement à sa place pour sa déception.

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    3. Ps: Je trouve certaines idées de cette organisation "stepfordienne", dont celle que vous citez, incompatible avec ma vision du couple et l'épanouissement de la dame.

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    4. Sur ce point, votre couple fonctionne comme le nôtre: "il suffit de demander", et l'autosatisfaction n'est admise qu'en cas d'absence ou d'indisponibilité avérée (mon épouse a d'ailleurs un jouet pour remplacer mon membre lorsque je suis en déplacement).

      Et vous, Isabelle, avez-vous déjà été corrigée par votre mari pour une "vilaine main" inopportune?

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  7. Cher Pecan,

    l'interdiction de la vilaine main concerne chez nous la phase entre une punition et la réconciliation sur l'oreiller. J'ai eu beaucoup de mal en début de notre relation de montrer patience à ce niveau-là et bien évidement mon homme, à son grand plaisir a dû/pu recourir à des méthodes éducatives. C'est un contexte en harmonie avec mes rêveries de jeune fille. Aujourd'hui je suis fière d'être exempte de mauvaises habitudes en phase interdite. Hors de ce contexte, je suis libre de faire comme bon me semble. J'aime bien me « délasser » dans la baignoire sans que cela soit systématique. Quand mon homme est absent, je suis plutôt manuelle. Je n'ai aucun jouet, enfin à part d'un

    authentique coffret du docteur Young qui peut très bien faite l'affaire...

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    1. Intéressant, ce coffret! ;-)

      Chez nous, les "mauvaises habitudes" interdites sont celles qui pourraient conduire à la frustration conjugale (comme vous l'avez compris, le "je ne peux pas chérie je viens de me le faire tout seul" n'est pas admis), et celles qui s'accompagnent de fantasmes extraconjugaux (très, très vilain).

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    2. Madame m'a un jour avoué avoir pratiqué la "vilaine main" avec des fantasmes déplacés, et m'avait ensuite suggéré de lui faire porter un dispositif empêchant les attouchements pendant un certain temps. Hélas nous n'avons rien trouvé qui convienne et que l'on puisse se procurer facilement.

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    3. J'ai un peu l'impression que les mauvaises habitudes de ce genre se cachent difficilement chez un monsieur et j'adore votre expression de frustration conjugale. Voila qui cerne parfaitement mon ressentiment. Par contre à vrai dire, je ne me suis pas posée la question de fantasmes extraconjugaux. Il me faut du concret pour exploser comme un sourie de trop de la part mon homme à une vendeuse etc...

      Pour les ceinture vous devriez peut-être regarder
      ce modèle . Il semble bien correspondre à vos exigences.

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  8. Nous notons le modèle en cas de prochain incident...

    "l'interdiction de la vilaine main concerne chez nous la phase entre une punition et la réconciliation sur l'oreiller"

    Je vois... vous ne devez pas dériver de plaisir de ce qui devrait Être une punition, c'est cela?

    "Hors de ce contexte, je suis libre de faire comme bon me semble. J'aime bien me « délasser » dans la baignoire sans que cela soit systématique."

    Il est vrai que s'agissant d'une femme, cela pose moins de problèmes: ce qui a frustré le plus mon épouse c'est l'indisponibilité, qui se pose moins chez la femme... Mais mon épouse trouve de toute façon que si elle éprouve un besoin, c'est d'abord à moi de le combler, manuellement s'il le faut. Les caresses, c'est à deux...

    "Quand mon homme est absent, je suis plutôt manuelle. Je n'ai aucun jouet, enfin à part d'un"

    Madame a essayé les vibrants mais trouve que cela fait assez artificiel. Elle préfère tout simplement un "substitut marital" (euphémisme jadis employé) en plus des caresses manuelles.

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    1. Cher Pecan

      Notre DD est assez simpliste. La punition n'est pas seulement corporelle, mais elle doit également comporter un élément privation de plaisir physique. Dans le sens d'une vraie éducation à l'ancienne qui apprend à diffère les plaisirs. Je suis très heureuse que mon homme soit en phase avec moi à ce niveau. C'est notre truc à nous et à chaque couple sa propre manière de fonctionner.

      Je comprends très bien votre dame. Quand on vit en couple, il incombe le partenaire de s'occuper de la dame. Je trouve très romantique tous ces arrangements autour de la vilaine main. Et quand je lis de nos jours des incitations à la vilaine main en couple, je trouve cela -sans porter un jugement - d'un tel manque de poésie...

      Merci pour le substitut marital, quelle belle expression !

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    2. Que voulez-vous, elle dit qu'elle ne trouverait pas très convenable d'utiliser quoi que ce soit à cet endroit sans imaginer qu'il s'agit de mon membre.

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