Il
serait temps que je commence mon grand ménage du printemps pour
faciliter la navigation sur mon blog.
Voila donc la mise à jour de ma
page de faits divers. Quant à la véracité de ces
faits divers, j'ai déjà exprimé à maintes reprises ma méfiance.
D'habitude je suis crédule, bon public et notamment quand je fais
confiance à une personne, il m'arrive facilement de lui croire les
yeux fermés. Effet secondaire je pense quand on a eu comme moi un
Papa de plus adorable, qui n'a jamais hésité de bichonner sa fille
chérie. Et surtout qui n'a pas essayé de vendre une image idéalisée
de lui. Qui a été honnête avec moi sur ce qu'il est réellement
sans s'embellir et sans se dévaloriser. Je n'ai pas eu une crise
d'adolescence et je n'ai pas éprouvé le besoin de partir pour une
grande quête de valeurs authentiques, pour séparer le vrai et le
faux, l'apparence et le contenu. Peu étonnant que j'ai choisi un
compagnon de vie qui possède toutes les qualités de mon Papa et il
est très rare qu'il se paye ma tête. Bon cela lui arrive, car
j'avoue que parfois c'est trop tentant avec moi. Je me souviens
notamment d'une discussion entre vrais scientifiques dont l'un
défendait d'une manière très sérieuse la thèse que le port des
bas et porte-jarretelles empêche la prolifération de la cellulite.
J'ai senti quelque part le coup monté, à mon égard et envers une
autre fille présente, mais j'avais trop envie d'y croire. Et c'est
là à mon avis où se trouve la clef pour comprendre l'attirance de
certaines personnes pour les faits divers :
On
a envie d'y croire parce que cela arrange nos petites rêveries !
A ce s'ajoute dans mon pays de
naissance une presse en apparence sérieuse qui fournit sans cesse
des faits divers qui semblent mettre en relief des fantaisies
récréatives. Fait divers invérifiables, je précise. Évidement
notre péché mignon n'est pas tous les jours « à la une »,
mais il revenait assez régulièrement pendant mon adolescence.
Manière de m'embellir la journée quelque peu inespéré. Sans
parler des conseils des psychologues ou sexologues dans les rubriques
spécialisées. J'ai pas mal de souvenirs d'articles croustillants et
je vais essayer de temps en temps d'en reproduire de mémoire sur mon
blog.
Je me souviens notamment de la lettre
d'une maman un peu affolée qui parle d'une découverte concernant sa
fille qui est déjà majeure. Alors cette brave dame entre dans la
salle de bain et tombe sur sa fille. La jeune dame, en tanga et petit
haut est en train de se maquiller. Son fessier montre des traces qui
ne laissent aucun doute sur leur provenance. Curieuse la mère
essayer d'en savoir plus. Et la fille, un peu gênée lui raconte
qu'elle adore recevoir par son copain la canne sur ses fesses nues.
Quand j'ai lu ce petit truc je ne connaissais pas encore la canne,
mais j'étais tout de suite tout feu tout flamme pour des belles
marques sur mon derrière. Évidement pas celles qui virent vers le
bleu, mais imaginai des boursouflures tendrement rouges. Celles qui
présentent un toucher agréable. J'étais également fortement
troublée par l'idée que ma propre maman puisse me découvrir ainsi.
Ce scénario m'a offert pas mal de possibilités pour mes rêveries
et j'ai poursuivi les différentes pistes pendant un bon moment. Mais
avant tout je me souviens du jour quand j'ai reçu la canne pour du
bon. Son sifflement si caractéristique, la vive douleur qui suit
l'impacte, puis cette sensation de chaleur intense qui accompagne le
passage au coin. Comme dit mon homme après une telle correction :
Frotte-toi
bien les fesses isabelle, elles en ont besoin !
Sans blague ! Comme si je ne le
savait pas moi-même.
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