Notre époque n’a rien inventé en
matière de fessée coquine comme témoigne ce
petit poème de 1550 ! J’aime particulièrement
le clin d’œil à la double morale à la fin de cette jolie œuvre.
Ceci me rappelle une discussion avec un
Monsieur sur la fessée. Je lui avais demandé quel était selon lui
le fantasme profond de certains fesseurs pour rencontrer une dame sur
le net. Voici sa réponse que je ne trouve pas dépourvue
d’intérêt :
Punir
une femme infidèle !
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