mercredi 23 mars 2016

851 Envie urgente de fesser sa dame 2 (Petite fiction ou non)


Alors mon chéri tu ne va pas me faire tout un plat parce que ton string te chatouille entre tes fesses.

Bon, là j'avais vraiment dépassé les bornes. Quelque peu intentionnellement. J'aime bien en fait sur un long voyage la pause fessée. Voila qui détend mon fessier un peu engourdi par la longue position assise. Puis, plus tard en continuant, j'adore la sensation de chaleur qui envahit mon bassin et qui mêlée à l'effet berçant d'une voiture, me rend toute frétillante en attendant le câlin du soir.

Avec son instinct de scout, mon homme il a su vite détecter une petit endroit romantique, invisible depuis la route. Il y a avait même un tronc d'arbre pour s'asseoir. Contrairement à ce qu'il dit, il aime beaucoup me voir en string. La coupe de ce vêtement le fascine (ben autant que moi!) et il s'amuse souvent en me tirant la ficelle. Contrairement aussi à ses paroles, il ne m'a jamais arraché la peau de mes fesses. Mais en plein air il peut s’avérer redoutable.

Pour lui c'est une rencontre marquante de la vie, une rencontre entre une main et un fessier de femme tout nu.

Il tient à la nudité et par conséquence il se délecte d'abord de défaire les agrafes de mes porte-jarretelles. Parfois que 4, parfois tous les six. Cela dépend de ses humeurs et inutile de dire qu'il prend son temps. Quand à mon string, il me laisse le soin de le retirer complètement avant de passer sur ses genoux. C'est son sens de voyeur qui trouve son compte en m'observant d'accomplir un acte d'équilibriste sur mes hauts talons, notamment en pleine nature. Il le confisque avec un sourire jovial sans oublier de sentir mes odeurs intimes.

Puis il n'oublie pas de me rappeler que le geste pipi s'impose pour les filles avant une copieuse fessée.

Il n'a pas tort, prenant beaucoup de plaisir de me regarder soulever délicatement ma belle robe avant de m'appliquer. Je ne me sens nullement gênée devant lui et une fois fini, j’attends sagement qu'il me tende un petit mouchoir en papier. Dernier instant de calme avant la tempête. Je regrette beaucoup de ne pas pouvoir observer l'expression de son visage pendant cette caresse fort ardente qui est la fessée. Par ses mot que dis-je par ses emportements délirants je sais qu'il cherche une sorte d'harmonie cosmique et il lui importe beaucoup que le son des claques sur mon popotin s’entende de loin. Comme s'il souhaitait réveiller les divinités de la pleine nature. Grâce à lui j'ai mieux compris les anciens rites de la fertilité. Le principe est simple. La fessée le met dans une superforme plus tard au lit.

Il n'y a pas plus pratique pour la fessée qu'une petite robe légère. Ce minuscule voile qui sépare le popotin de la main qui le convoité. Mais quelle différence de sensation quand on ne l'enlève pas. Mon chéri ne commet pas ce faux pas de taille, car il sait bien qu'une fessée bien sentie a besoin d'un cul nu. Il s'engage vite dans une interaction stimulante. Sa main stimule mes fesses, mes fesses stimulent sa main. Mes gigotements sur ses genoux stimulent ce qui est sous … le string de monsieur. Et cette chose qui durcit stimule mon imagination et par extension mon entrejambe. Nous ne sommes pas vraiment dans un registre de punition et dans ce cas monsieur ose ce qui est strictement interdit à tout bon éducateur qui se respecte.

Me passer la main entre mes fesses pour vérifier les réactions de mon corps ! Me masser pour me provoquer d'autres types de soupirs que ceux initiés par les claques.

Le connaissant un changement de position s'annonce. Un tronc d’arbre permet beaucoup de fantaisies. Comme par exemple de pencher la dame pour admirer son popotin rouge. Puis standing ovation sous son pantalon pour la belle couleur. Monsieur se lance sur une voie agréablement glissante. J'avais vu juste pour le rite de la fertilité.

Envie urgente de fessée ? Mon œil !
Et parce que je suis une fille très sage qui tient à garder sa petite robe dans un état impeccable, je finis devant mon chéri entre ses jambes. J'avais raison en lui montrant mon petit geste à mon rouge à lèvres. Il ne peut y résister.

Ce jour-là, de retour dans la voiture, moi aussi je tiens un string confisqué. Tout un poème son odeur qui retrace fidèlement quelques centaines de kilomètre de séduction acharnée.

Tu avais raison chéri, les strings en cuir sentent vite le fauve...

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire