(Suite de : 848 Envie urgente de fesser sa dame 1 )
Alors
mon chéri tu ne va pas me faire tout un plat parce que ton string te
chatouille entre tes fesses.
Bon, là j'avais vraiment dépassé les
bornes. Quelque peu intentionnellement. J'aime bien en fait sur un
long voyage la pause fessée. Voila qui détend mon fessier un peu
engourdi par la longue position assise. Puis, plus tard en
continuant, j'adore la sensation de chaleur qui envahit mon bassin et
qui mêlée à l'effet berçant d'une voiture, me rend toute
frétillante en attendant le câlin du soir.
Avec son instinct de scout, mon homme
il a su vite détecter une petit endroit romantique, invisible depuis
la route. Il y a avait même un tronc d'arbre pour s'asseoir.
Contrairement à ce qu'il dit, il aime beaucoup me voir en string. La
coupe de ce vêtement le fascine (ben autant que moi!) et il s'amuse
souvent en me tirant la ficelle. Contrairement aussi à ses paroles,
il ne m'a jamais arraché la peau de mes fesses. Mais en plein air il
peut s’avérer redoutable.
Pour
lui c'est une rencontre marquante de la vie, une rencontre entre une
main et un fessier de femme tout nu.
Il tient à la nudité et par
conséquence il se délecte d'abord de défaire les agrafes de mes
porte-jarretelles. Parfois que 4, parfois tous les six. Cela dépend
de ses humeurs et inutile de dire qu'il prend son temps. Quand à mon
string, il me laisse le soin de le retirer complètement avant de
passer sur ses genoux. C'est son sens de voyeur qui trouve son compte
en m'observant d'accomplir un acte d'équilibriste sur mes hauts
talons, notamment en pleine nature. Il le confisque avec un sourire
jovial sans oublier de sentir mes odeurs intimes.
Puis
il n'oublie pas de me rappeler que le geste pipi s'impose pour les
filles avant une copieuse fessée.
Il n'a pas tort, prenant beaucoup de
plaisir de me regarder soulever délicatement ma belle robe avant de
m'appliquer. Je ne me sens nullement gênée devant lui et une fois
fini, j’attends sagement qu'il me tende un petit mouchoir en
papier. Dernier instant de calme avant la tempête. Je regrette
beaucoup de ne pas pouvoir observer l'expression de son visage
pendant cette caresse fort ardente qui est la fessée. Par ses mot
que dis-je par ses emportements délirants je sais qu'il cherche une
sorte d'harmonie cosmique et il lui importe beaucoup que le son des
claques sur mon popotin s’entende de loin. Comme s'il souhaitait
réveiller les divinités de la pleine nature. Grâce à lui j'ai
mieux compris les anciens rites de la fertilité. Le principe est
simple. La fessée le met dans une superforme plus tard au lit.
Il n'y a pas plus pratique pour la
fessée qu'une petite robe légère. Ce minuscule voile qui sépare
le popotin de la main qui le convoité. Mais quelle différence de
sensation quand on ne l'enlève pas. Mon chéri ne commet pas ce faux
pas de taille, car il sait bien qu'une fessée bien sentie a besoin
d'un cul nu. Il s'engage vite dans une interaction stimulante. Sa
main stimule mes fesses, mes fesses stimulent sa main. Mes
gigotements sur ses genoux stimulent ce qui est sous … le string de
monsieur. Et cette chose qui durcit stimule mon imagination et par
extension mon entrejambe. Nous ne sommes pas vraiment dans un
registre de punition et dans ce cas monsieur ose ce qui est
strictement interdit à tout bon éducateur qui se respecte.
Me
passer la main entre mes fesses pour vérifier les réactions de mon
corps ! Me masser pour me provoquer d'autres types de soupirs
que ceux initiés par les claques.
Le connaissant un changement de
position s'annonce. Un tronc d’arbre permet beaucoup de fantaisies.
Comme par exemple de pencher la dame pour admirer son popotin rouge.
Puis standing ovation sous son pantalon pour la belle couleur.
Monsieur se lance sur une voie agréablement glissante. J'avais vu
juste pour le rite de la fertilité.
Envie
urgente de fessée ? Mon œil !
Et parce que je suis une fille très
sage qui tient à garder sa petite robe dans un état impeccable, je
finis devant mon chéri entre ses jambes. J'avais raison en lui
montrant mon petit geste à mon rouge à lèvres. Il ne peut y
résister.
Ce jour-là, de retour dans la voiture,
moi aussi je tiens un string confisqué. Tout un poème son odeur qui
retrace fidèlement quelques centaines de kilomètre de séduction
acharnée.
Tu
avais raison chéri, les strings en cuir sentent vite le fauve...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire