(Suite de :842 Prise de température.... rectale 1)
Jeune dame, si
ce thermomètre indique rien d’anormal, ton exécrable comportement
de n'aura pas d'excuse et nous allons te traiter de la manière
habituelle.
Pour souligner ses paroles, il a sorti
le martinet du tiroir le mettant devant mon nez. Je me suis sentie
comme sortie du paradis. L'idée que mon chéri me penche sous son
bras, pour me corriger comme dans ce que nous appelons le bon vieux
temps, m'inspire surtout dans ma fantaisie. Prise sur le fait, je me
sens pas fière du tout. Et je pense de me distinguer en rien à ce
moments de ces filles de bonne familles de mon imagination qui
recevaient à un âge avancé encore des corrections au martinet.
J'essaye -vainement- tout pour échapper à ma punition, mais avec le
recul, mes fesses encore brûlantes, je ne puis jamais m’empêcher
de remémorer la scène. Je me vois avec mes fesses impudiquement
exposées. Je sens encore les lanières du martinet danser sur la
peau de mon derrière et je m'entend encore de promettre de
travailler sur moi. Le tout avec un profond émoi dans me
strings. Mon homme le sait. Il se fait un plaisir quand je sors du
coin de jeter un coup d’œil amusé sur la brillance de mon
entrejambe.
Voila ce que
j'appelle une attitude positive envers la discipline !
Car contrairement aux vieux manuels
d'éducation pour grandes filles, il ne fait pas semblant d'ignorer
les effets secondaires de la fessée. Après tout nous sommes entre
adultes. J'ai d'ailleurs une drôle d'approche à mon éducation à
l'âge d'adulte. Quand une copine se moque de mes bonnes manières et
de mon langage châtié, il m'arrive souvent de penser :
Ma
pauvre, si tu recevais le martinet comme moi, tu rigolera moins et tu
surveillera ton vocabulaire comme moi.
L'attente avec le thermomètre dans mon
derrière m'a parue fort longue, rendant finalement par des sonores
bip bip un verdict en ma défaveur.
Je crois que
de me voir avec le thermomètre bipant dans mon derrière a dû
troubler mon homme.
Maintenant
nous allons te reconduire dans le droit chemin, isabelle !
Après m'avoir retiré la chose, il
m'a allongée sur ses genoux pour m'appliquer une fessée à la main.
Ce qui est fort rare et en aucun cas une faveur à rapport du
martinet. Au contraire, il est prudent avec les instruments, mais
suit ses inspiration manuelles sans trop de retenue. Il n'est donc
pas un vain mot quand il me dit parfois le soir :
On t'a entendu
chanter cet après-midi, isabelle !
Effectivement, avec l'effet:
Libérée,
délivrée (je ne mentirai plus jamais)...
...temporairement de mon besoin de
punition. Bref, j'avais reçu ce jour-là une magistrale fessée, me
mettant mes idées en place avec un fort besoin de câlins plus tard,
assise sur les genoux de mon homme. Je lui ai avoué le plaisir que
j'avais pris lors de ma prise de température. Plaisir bien évidement
partagé. Depuis nous avons gardé cette façon de procéder et au
fil du temps mon chéri a vu le se retourner thermomètre contre lui.
Ben
quoi ? C'est cela l'égalité !
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