mercredi 9 mars 2016

845 Fessée et prise de température... rectale 2 (petite fiction ou non)


Jeune dame, si ce thermomètre indique rien d’anormal, ton exécrable comportement de n'aura pas d'excuse et nous allons te traiter de la manière habituelle.

Pour souligner ses paroles, il a sorti le martinet du tiroir le mettant devant mon nez. Je me suis sentie comme sortie du paradis. L'idée que mon chéri me penche sous son bras, pour me corriger comme dans ce que nous appelons le bon vieux temps, m'inspire surtout dans ma fantaisie. Prise sur le fait, je me sens pas fière du tout. Et je pense de me distinguer en rien à ce moments de ces filles de bonne familles de mon imagination qui recevaient à un âge avancé encore des corrections au martinet. J'essaye -vainement- tout pour échapper à ma punition, mais avec le recul, mes fesses encore brûlantes, je ne puis jamais m’empêcher de remémorer la scène. Je me vois avec mes fesses impudiquement exposées. Je sens encore les lanières du martinet danser sur la peau de mon derrière et je m'entend encore de promettre de travailler sur moi. Le tout avec un profond émoi dans me strings. Mon homme le sait. Il se fait un plaisir quand je sors du coin de jeter un coup d’œil amusé sur la brillance de mon entrejambe.

Voila ce que j'appelle une attitude positive envers la discipline !

Car contrairement aux vieux manuels d'éducation pour grandes filles, il ne fait pas semblant d'ignorer les effets secondaires de la fessée. Après tout nous sommes entre adultes. J'ai d'ailleurs une drôle d'approche à mon éducation à l'âge d'adulte. Quand une copine se moque de mes bonnes manières et de mon langage châtié, il m'arrive souvent de penser :

Ma pauvre, si tu recevais le martinet comme moi, tu rigolera moins et tu surveillera ton vocabulaire comme moi.

L'attente avec le thermomètre dans mon derrière m'a parue fort longue, rendant finalement par des sonores bip bip un verdict en ma défaveur.
Je crois que de me voir avec le thermomètre bipant dans mon derrière a dû troubler mon homme.

Maintenant nous allons te reconduire dans le droit chemin, isabelle !

Après m'avoir retiré la chose, il m'a allongée sur ses genoux pour m'appliquer une fessée à la main. Ce qui est fort rare et en aucun cas une faveur à rapport du martinet. Au contraire, il est prudent avec les instruments, mais suit ses inspiration manuelles sans trop de retenue. Il n'est donc pas un vain mot quand il me dit parfois le soir :

On t'a entendu chanter cet après-midi, isabelle !

Effectivement, avec l'effet:

Libérée, délivrée (je ne mentirai plus jamais)...

...temporairement de mon besoin de punition. Bref, j'avais reçu ce jour-là une magistrale fessée, me mettant mes idées en place avec un fort besoin de câlins plus tard, assise sur les genoux de mon homme. Je lui ai avoué le plaisir que j'avais pris lors de ma prise de température. Plaisir bien évidement partagé. Depuis nous avons gardé cette façon de procéder et au fil du temps mon chéri a vu le se retourner thermomètre contre lui.

Ben quoi ? C'est cela l'égalité !

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