vendredi 30 juin 2017

1015 Entre insolence et provocation

L'ange bleu version 2.0

On reprend un sujet vieux comme le monde, Eve qui tente Adam avec la pomme. Évidement on n'en parle pas du fait que la jolie dame cherche à partager une réelle connaissance qui est vite transformée en connaissance au sens biblique, celle des plaisirs de la chair. Cette même chair qui sera désormais associée au péché. Loin de moi de vouloir briser ce lien magique, car la morale qui donne de la saveur aux jeux de la fessée se nourrit pour bien de personnes de la même thématique :

Le contournement d'un interdit qui cherche sa punition.

Prévenu par sa maman de se méfier des filles aux mœurs légères mon chéri a fait de ces éléments tout un amalgame érotique dont la quintessence se manifeste dans la figure de l'ange bleu.

Femme sure d'elle, séductrice chevronnée qui n'en fait qu'une bouche du Professeur Unrath.

Homme de plus respectable qui dans ces heures perdues se bat vaillamment contre les tentations de la chair. Je ne suis pas une danseuse de cabaret, bien que le fantasme me plaît beaucoup et loin de moi de vouloir humilier mon homme (ou un autre) aux yeux du monde. Mais nos bases fantasmatiques sont proches ce qui permet une belle entente.

Il y a un non-dit qui nous unit. Pour ma part je peux réaliser mes tendances exhibitionnistes et mon homme s'efforce de me ramener dans le droit chemin. De manière fort traditionnelle qui est soulignée par la présence d'un martinet à la maison. Avant la naissance de notre fille il a été accroché à côté du bureau de mon homme, me rappelant à tout moment que...

...dans cette maison règne l'ordre et la discipline !

Et combien de fois je me suis faite sermonner, déjà déculottée avec vu sur le martinet. Effectivement chez les vilaines filles cela ne se passe pas sans laisser des « traces ».

Il est fort gênant de prononcer avec conviction son mea culpa avec un entrejambe luisant qui n'a rien compris à la situation et qui se prépare par étourdissement à une jouissance charnelle version vanille.

Il est plus gênant encore quand l'insolente provocatrice se surprend à argumenter sérieusement en raison de son âge d'être trop grande pour le martinet. Malheureusement monsieur reste inflexible rappelant à la dame qu'elle continuera à faire des courbettes devant le martinet à chaque fois qu'il le jugera nécessaire.

Non l'ange bleu ne causera pas la perte d'un monsieur qui sait affirmer son autorité...

4 commentaires:

  1. "Non l'ange bleu ne causera pas la perte d'un monsieur qui sait affirmer son autorité…" Prof. Unrath n'était qu'une lavette près à s'humilier de la façon la plus abjecte (son numéro de clown où il se casse des oeufs sur la tête). Tout le contraire d'un vrai fesseur. Maintenant je pense flanquer une fessée à Marlène n'est pas donné à tout le monde.

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    1. Certes, elle n'est pas commode Lola-Lola, mais combien de messieurs sont fascinés par le défi de dompter une dame de forte tête...

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  2. Bonsoir Bertrand,

    En effet, Fraulein Lili n'était certainement pas le genre de femme à se laisser dicter sa conduite par le premier macho venu. Et puis résister est une façon pour une femme de tester la virilité et le tempérament du monsieur. Enfin, chacune a sa stratégie personnelle en la matière.
    Marlène a joué dans le film " Martin Roumagnac" aux côtés de Jean Gabin. Une grande dame du 7è. Art.
    Mac-Miche.

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  3. Notons que dans sa fameuse chanson elle prévient le public (les hommes présents dans la salle) de ne pas lui suivre au risque de se prendre un sacré coup...

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