Cet
érotisme qui fait boum !
Selon mon homme la différence entre
une fessée punitive et une fessée érotique se trouve dans la sonorité. D'une part celle produite
sur les fesses de la dame, de l'autre côté dans le bruitage produit
par la dame. Il en va de soi que les deux registres peuvent se
chevaucher , voire se mêler... sur ma peau et dans ma tête. Mais
rien n'échappe à Monsieur 183. Il a vraiment l'oreille.
T'as pas honte
isabelle ? C'est pas le moment de te frotter sur mes genoux.
Bon, j'admets. Certaines de mes
punitions me procurent des effets secondaires qui laissent parfois
des traces humides sur le pantalon de mon homme. Il n'a qu'à me
punir correctement s'il veut éviter de tels incidents fâcheux. Puis
on ne le répète jamais assez souvent. Les poils pubiens
accomplissent une action protectrice. L'herbe mouillée ne tache pas
autant que les étendues glabres à perte de langue
vue auxquelles il tient particulièrement.
Mais isabelle,
tu es en train de jouir. Dois-je sortir le martinet pour te rappeler
à la raison.
Tais-toi
et continue avec ta main ! Montre-moi qui porte le pantalon !
Petite pique de ma part parce qu'il a
choisi de me corriger toute nue. Situation que j’apprécie
particulièrement. Je n'ai aucune inhibition pour me laisser aller et
mes « prestations » varient selon mes humeurs. Bien
souvent ce sont d'authentique larmes de repentir qui évacuent comme
par magie mes situations de stress. D'autres fois quand je me sens
insolente, mes fesses résistent et Monsieur doit affronter toute une
gamme de verbalisations de ma
part. Ce mot exprime de manière polie ce que je ne souhaite pas
reproduire ici par convenance. En gros, mon chéri prend pour son
garde. C'est notre forme de communiquer sur certains sujets. Comme il
dit :
D'abord tu te
déculottes isabelle, nous discuterons ensuite !
Évidement je n'ai pas l'air maligne
avec mes fesses à l'air et mon string autour de mes chevilles pour
soutenir une position... souvent insoutenable. Je prend conscience du
ridicule auquel je m'expose. Mais la peau de mes fesses est solide et
des années d'éducation anglaise font le reste.
En
ce sens mes fesses supportent un sacré spectacle sonore.
Les fortes claques se transforment en
cocktail émoustillant. Mes cris, râles et soupirs ne manquent
jamais d'effet sur mon homme. Je trouve que lui aussi a le droit de
se laisser aller et je ne manque pas de l'encourager en ce sens.
N'étant pas une gamine, je ne suis pas à la recherche du mythe d'un
mâle imperturbable. Au contraire j'adore ses petites faiblesse.
Ainsi peut-il sortir en toute impunité - si j'ose dire - son côté
d'éducateur pervers qui - sous prétexte de vouloir du bien pour son
élevé – prend un vilain plaisir charnel à me corriger. Je le
sens sous moi et je sais pourquoi il se méfie
languit de mes gigotements. Étant une « véritable
reine de la tache » - titre que je n'évoque pas
sans fierté - il m'arrive de consoler mon chéri après une fin de
fessée prématurée.
Ne
t'en fais pas. Je ferai une machine à laver plus tard.
Passons sur ma satisfaction de voir mon
grand garçon se déculotter devant moi. Ben oui, le caleçon aussi
va à la machine...
Bonsoir Isabelle,
RépondreSupprimerOn ne s'ennuie pas en votre charmante compagnie !!!
Pauvre Monsieur 183 !!! Sa bonne éducation lui permet de garder la tête froide en (presque !) toutes circonstances.
Comme un musicien consciencieux et passionné, il s'échine à produire le meilleure de la partition...
Votre expression "Reine de la tache" mérite d'être comprise par un jeu de mots phonétique.
D'une part, "de la tâche" , dans le sens labeur, travail quotidien en bonne compagne, épouse, aux petits soins pour sa petite famille.
D'autre part, "de l'attache", en faisant référence au bondage , style "shibari" , cette technique si cher à nos lointains voisins Nippons. Mais chacun ses goûts. Of course !
C'est un peu "tiré par les cheveux toutes ces remarques " me direz-vous, j'en conviens.
En tout cas , vous restez très pragmatique malgré tout : le lave-linge fera son numéro, lui aussi .
Mac-Miche.
A vrai dire je n'y connais rien en bondage et jeux associés. De toute façon je préfère le fromage au saucisson (encore de quoi à interpréter...rire!). mais je pense que la métaphysique de la tache est plus simple. L'homme dans la fessée essaye de marquer (tacher en quelque sorte) le derrière de la dame. Pas étonnant alors si cette dernière essaye de lui rendre la pareille avec les moyens de bord!
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