Un peu de
discipline nous ferra du plus grand bien !
Dit-il mon homme lors d'une longue promenade en amoureux sous une chaleur torride. J'aime
cette attitude qui fait de lui et de moi « un nous » où
il se permet de parler à ma place, de décider pour moi par dessus
de ma tête. Non, je ne me sens pas dévalorisée, ni vois-je dans
son comportement une attitude machiste. Je ne serais pas gênée non
plus, s'il tenait un discours « nous » devant public.
Mais en vrai gentleman il est trop discret pour cela. Peut-être se
manifeste-t-il dans sa façon de parler un lien qui nous unit, car
moi aussi j'ai tendance de faire pareil. Seulement en véritable
pipelette je ne sais pas...
...fermer le
clapet quand il le faut !
Rien n'agace mon chéri de plus que mes éternels « nous aimons », « nous aimons les cheveux courts », « nous aimons les cravates », « nous aimons les strings », « nous aimons les bijoux », « nous aimons changer souvent la déco de la maison », nous aimons..., nous aimons...
Rien n'agace mon chéri de plus que mes éternels « nous aimons », « nous aimons les cheveux courts », « nous aimons les cravates », « nous aimons les strings », « nous aimons les bijoux », « nous aimons changer souvent la déco de la maison », nous aimons..., nous aimons...
Bref
je ne me prive pas dans un contexte social de dicter ce que Monsieur
doit aimer.
Ajoutons qu'il m'arrive fréquemment de
payer cher un « nous aimons » prononcé à la légère.
Enfin, ce jour-là j'ai été sage et la proposition de monsieur se
portait sur une subite envie d'une bruyante improvisation en pleine
nature. Peut-être inspiré par ma petite robe fleurie et mes jambes
toutes nues. Peut-être par le fait que je n'aie pas mis de culotte.
Ou était-il simplement victime d'une main qui démange. Je crois que
c'est un truc typique de certains grands garçons. Il ne peuvent
résister à la tentation du fessier rebondi de leur dame.
Considérant la fessée comme un acte
d'amour, Monsieur a décrété depuis quelque temps que je me
présente toute nue pour la recevoir, à moins qu'il en décide
autrement. Peu importe le lieu, peu importe mon appréhension de nous
faire surprendre. Appréhension n'est peut-être pas le bon mot.
Parlons plutôt d'un fort émoustillement. Le fait que l'on me voie
dans une position peu glorieuse, les fesses en l'air, toutes rouges
sous un ferme coup de main pendant que je crie, jure ou implore le
pardon ne me laissé pas indifférente. Surtout que mon homme sait
poser de strictes conditions « au cas où », gardant
ainsi ma tension nerveuse à son comble. Il m'est formellement
interdit de me lever de ses genoux sans autorisation. Idem de quitter
mon coin et de priver Monsieur des fruits de
son travail éducatif. Il ne me restait donc qu'à enlever ma petit robe. Ce qui me prit d'un fraction de seconde.
Tu peux garder
tes sandales, isabelle !
Trop
généreux.
Une fois allongée sur ses genoux,
étant en étroit contact avec le corps de mon homme, j'ai senti sous
moi la prouesses d'une virilité décomplexée. C'est une quasi
habitude quand il s'apprête à me fesser. Mais ce jour-là, c'était
particulièrement dur. Son excitation était déjà à son comble
avant de commencer à me claquer le derrière. J'aime le sentir si
mâle. Cette force si particulière flatte mon ego et j'aime surtout
les petits accidents de parcours, hélas fort rares. Style :
Regarde
ton beau pantalon comme il est taché.
Voila qui le vexe a chaque fois.
Parfois il lui arrive même de bouder. Passons. Ce jour-là, jour de
canicule il a su me dicter un rythme soutenu sans ménager mes
fesses. Mais il a dû sentir à ma façon de bouger et surtout à ma
façon de le titiller par mes « bruitages » que j'étais
d'humeur taquine pour provoquer un relâchement de sa concentration.
Il a subitement arrêté la fessée.
J'aimerais
éviter tout incident fâcheux ! J'ai besoin de me détendre
complètement avant de continuer.
Ayant déjà encaissé une sacré dose,
j'avais les fesses en feu. État qui me désinhibe complètement. Il
ne me restait donc qu'à déboutonner la braguette de mon chéri pour
lui procurer cette « détente complète ». Pratique que
je trouve littéralement délicieuse et qui me paraît encore plus
savoureuse après avoir fondu en larmes sous une sévère fessée
punitive. La vilaine fille réhabilitée par sa correction et qui
maintenant est récompensée d'une bonne sucette.
Il fait terriblement chaud ce jour-là
et monsieur avait beaucoup transpiré. Voila qui a donné un goût
légèrement salé que je trouve très agréable. J'ai une bonne
expérience dans l’exercice qu'il fallait accomplir et
habituellement c'est moi qui décide du déroulement de la cérémonie.
Seulement, Monsieur tendu au maximum, il n'a fallut que quelque courtes minutes pour le faire jouir.
J'avais encore « la bouche pleine » quand il m'a remise
sur ses genoux. Débarrassé d'une terrible pression, il m'a offert
un feu d'artifice de tout son savoir faire. J'ai vécu une chevauchée
d'un rare intensité. Mon fessier à vif, il n'était plus question
que je fasse du cinéma sonore. D'ailleurs je ne sais pas trop ce qui
s'est exactement passé. J'ai senti à un moment la main de mon homme
dans mon entrejambe. Sous ses doigts ma brûlure se transforma dans
une toute autre sensation, presque violente qui m'a laissée après
un long tourbillon de plaisir toute pantelante. J'ai payé cher cette
belle expérience. J'ai dû manger debout le soir venu, puis dormir
sur le ventre. Malgré un massage avec une crème apaisante.
Il fait chaud, là, d'un seul coup...Je vais ouvrir la fenêtre, si ça ne vous dérange pas.
RépondreSupprimerMes textes ne sont pas faits pour être lus en toute discrétion en classe, cher Professeur Max.
RépondreSupprimerHé bien ! Je suis toujours admirative devant celles qui osent se faire fesser à l’extérieur, avec le risque d'être vues. Je comprends que vous ayez du dîner debout, ma pauvre...
RépondreSupprimerNe surestimez pas ma prise du risque...rire ! Je suis une personne extrêmement discrète. Nous vivons en région rurale et il est possible de trouver des endroits parfaits pour la fessée surtout en dehors des périodes touristiques.
RépondreSupprimerHa vous me rassurez..
RépondreSupprimer