(Suite de : Comportement
obscène 1)
Et si tu me
portais la cravache dans mon bureau... entre tes belles dents... à
quatre pattes ?
Il me semble inutile de supposer un
penchant pour la domination pour prendre plaisir à une telle
situation. La montée de sang chaud est programmée dans les gênes
de bien de mâles quand ils voient ainsi avancer la femelle. Le
chemin étant assez long, il a dû cogiter de quoi faire avec moi. Le
connaissant, j'ai imaginé une punition pour comportement obscène.
Il m'importe beaucoup de le savoir si attaché à ma bonne moralité.
Car quand je fais ce qu'il appelle des obscénités, je me sens
souvent harcelée par mon besoin de punition qui réclame une bonne
fessée pour remettre la vilaine fille en moi sur le bon chemin de la
vertu...
(Et le
mensonge, isabelle ?)
Enfin, j'ai embelli un peu mon
histoire. La fessée ne me remet pas exactement dans le droit chemin.
Quand je sors du coin je continue à faire mes obscénités,
seulement je me sens débarrassée de mon besoin de punition. Tant
que j'aie le feu au cul le cul en feu (isabelle,
isabelle !), j'en profite. Alors je me suis amusée
sur le chemin du bureau de mon chéri de me montrer en fille obstinée
qui refuse de renoncer à ses provocations. Je me suis mise à
onduler mon popotin. Action que je sais radicale pour mettre hors de
lui mon chéri. Non pas dans le sens d'une terrible colère, mais
dans le sens d'une extase qui communique directement avec son
caleçon.
Donne-moi la
cravache, isabelle !
Quand il s'est baissé pour m'enlever
le joujou de ma bouche, je lui ai montré mes dents. Je me suis
attendue à continuer ma marche à quatre pattes avec un feu
d'artifice de coups de cravache sur mon derrière. Or rien de tel
fut. J'ai senti quelque chose de doux, mais rigide faire le tour de
mon petit orifice. Puis s’enfoncer avec grande facilité, car je
n'avais pas été avare avec l'huile, ni pour le manche de la
cravache ni pour le moindre recoin de mon corps. La sensation de
continuer ma « démarche » vers le bureau de mon chéri,
tout en sentant cette chose en moi faisant de petits va et viens
était fort agréable. J'ai bien compris que mon homme manipulait la
cravache pour doser mon plaisir. J'adore quand il me surprend par une
perversité ingénieuse. Au début de notre relation en me massant la
petite porte pour faire plus ample connaissance, il m’avait
tendrement prévenue :
Nous allons
érotiser cette partie comme il le faut, jeune dame.
J'ai profondément rougi. Non pas parce
que j'ai été choquée par sa proposition. Il me semble dans la
nature d'un grand garçon de vouloir explorer toutes les voies du
plaisir. C'est la curiosité sexuelle transposée à un âge adulte.
Seulement il n'avait pas pensé que la curiosité se trouve également
dans la nature des filles. Je me suis gardée de lui dire que parfois
quand j'étais amoureuse je me suis abstenue de me masturber de
manière classique pendant la semaine pour me préserver pour mon
prince charmant. En ayant recours à une satisfaction substitutive,
étrangement jouissive celle-ci aussi. Voila pourquoi j'ai rougi et
voilà pourquoi je me suis sentie entre de bonnes mains.
Hélas, une fois dans sa pièce de
travail, il retiré le manche.
Ooooh
déjà !
Heureusement il m'invite de me pencher
sur son bureau. J'ai eu droit à quelques savoureuses claques avec
notre cravache. Après tout je l'avais bien suggéré. S'ensuivit une
longue séance de vanille. D'abord de manière classique, puis de
manière audacieuse. J'aime beaucoup dans ces instants-là que ce
soit lui qui décide comment vont se passer des choses. Je ne me sens
nullement soumise, mais réceptive. En fait il est très doué pour
la contraception naturelle. Allant toujours en douceur il
a su pousser l'érotisation de cette partie de mon corps à son
comble et je reçois régulièrement des rappels pour garder - comme
il aime dire – la petite porte souple et
accueillante...
Isabelle, vous qualifiez parfois la sodomie de contraception naturelle. Cela me fait penser à une chose que m'a dit mon épouse au sujet de cet acte.
RépondreSupprimerLorsqu'une femme accepte une sodomie pour préserver son hymen, ou comme contraception, voire parce que son mari lui impose comme méthode d'accomplir le "devoir conjugal", elle peut se dire qu'elle le fait par obligation.
Lorsque, comme mon épouse, on n'est pas dans ces cas, on pratique la sodomie par perversion. Et à chaque fois elle trouve cela vraiment "very naughty". Et si elle la demande, c'est avec honte et les yeux à terre.
Le trou de devant est pour le devoir conjugal des femmes convenables, celui de derrière pour les vicieuses?
Je me retrouve très bien dans l'expression very naughty concernant les plaisirs de l'arrière. Peut-être parce que je suis d'une génération qui a vu cette pratique arriver et se démocratiser. Je ne lie pas cette pratique à la honte, mais j'aime bien la notion désormais désuète de perversion pour son charme rétro!
RépondreSupprimerDans une autre discussion je vous disais, Isabelle, comment mon épouse apprécie souvent que les fluides s'écoulant pendant et après l'acte lui rappellent qu'elle a été coïtée. (Même si bien sûr, dans certaines circonstances, elle doit s'essuyer.)
RépondreSupprimerLorsqu'il s'agit de la petite porte, nous procédons habituellement à un ou deux petits lavements avant, suivis d'une lubrification scrupuleuse soit au gel soit à la vaseline. La vaseline a l'inconvénient de "poisser". Mais c'est aussi en quelque sorte un avantage... quand on sent encore ses fesses et son petit trou ainsi lubrifiés des heures après, on est rappelé à l'acte honteux qui s'est déroulé là!
Pour ma part j'adore l'odeur de la vaseline. C'est toujours un frisson de voir le tube dans le tiroir du bureau de mon homme. Enfin j'en ai dans mon boudoir aussi, mais c'est pour entretenir ma peau. Par contre j'ai honte de ne pas avoir honte... rire!
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