vendredi 21 juillet 2017

1024 Une fessée pour la pervenche

Il y a pas que le noir et le gris dans la vie, isabelle !

Là il est mauvaise langue. Je n'ai pas que des tailleurs en noir et en gris. Il le sait très bien, car c'est lui qui me les offre. Seulement j’avais évité jusque-là le bleu marine. Je trouve que l'association d'une veste et d'une jupe de cette couleur crée infailliblement un effet uniforme, policière ou encore pervenche. En voyant mon « Ken » devant moi, les yeux brillants comme un gamin qui voit la tenue de ses rêves pour sa Barbie, je commençais à considérer un tel achat autrement. Contrairement à mes habitudes vestimentaires la jupe était un peu ample sans manquer d'une longueur suffisante pour pouvoir la porter avec bas et porte-jarretelles. Je précise bien, car un jour il m'a tenu très sérieusement un long discours se résumant à ce qu'une grande fille bien éduquée ne met pas un collant sous son tailleur.

Une élégante dame non plus mon chéri ! Et toc.

Bref, il m'a fait beaucoup rire et dans le principe je n'ai pas été contre le fait de m’adapter à ses goûts vestimentaires. Tellement il m'avait surprise par sa brillance d'orateur. J'ai négocié tout de même le « droit » d'un collant ouvert pour les occasions quand Monsieur n'est pas avec moi. Pour ce il suffit de comprendre que certains grands garçons éprouvent un fort plaisir, même en leur absence de savoir leur dame sexy dans le moindre détail. Alors quand je n'ai pas envie de courir le risque de me faire remarquer par mes jarretelles qui se dessinent au moindre mouvement sous une jupe droite moulante je mets désormais un collant ouvert. A la grande joie de mon homme qui aime contrôler avant que je ne sorte ou juste quand je rentre à la maison. Enfin le contrôle se passe de manière rapide. Il ne tient pas non plus à un rôle de conjoint « collant » qui ne lâche pas la grappe à sa dame.

Pendant que j'ai essayé cet ensemble, la vendeuse avait bien remarqué que je portais des bas, des vrais. Par conséquence elle m'a vanté la jupe comme très agréable à porter. Effectivement, coupée dans un tissu lourd, il n'y a aucun risque d'un coup de vent indiscret. Nous avons donc fait l'acquisition.

Puis un jour, d'humeur ludique, enfin plutôt connaissant mon homme, ,j'ai associé cet ensemble avec un chemisier blanc qui met l’accent sur mon décolleté. Sans oublier une petite cravates de mes tenues d'étudiante. L'effet était seyant. Avec mes lunettes j'avais l'air d'une authentique pervenche qui m'en a rappelé une autre (petit clip). Partant de l'idée que le Monsieur du clip n'est pas le seul vicieux sur terre j'ai eu envie de tester l'effet de cet uniforme sur mon homme. Je suis allée le voir sur le champs avec un petit calepin en main pour le verbaliser. Je crois qu'il a dû mal digérer la seule contravention de sa vie, car il a démarré au quart du tour.

J'ai toujours rêvé de voir ce qui se trouve sous les jupes de ces dames !

Sans pouvoir finir ma verbalisation, j'ai déjà été installée sur son bureau, ma jupe retournée et des mains en train de me baisser ma culotte. J'ai reçu quelques très fermes claques sur mes fesses, puis j'ai senti une main vicieuse s'introduire entre mes jambes pour vérifier ma réaction. Le contact étant extrêmement agréable, je n'ai pas mis longtemps pour commencer à respirer lourdement et en poussant de petits cris. Puis j'ai encore reçu quelques claques avec une remarquable sonorité. Je suis docilement restée en place, présentant mes fesses nues au bon plaisir de mon homme. Je me suis trouvée au centre d'un petit jeu qui a continué par alternance jusqu'à ce que la petite pervenche fortement échauffée et toute glissante dans l'entrejambe fut vigoureusement prise par derrière, façon vanille. Ma position se prêtant parfaitement à cet assaut, je me suis sentie envahie en profondeur. Monsieur a pris son temps pour que je cale le rythme de mes soupirs sur ses va et viens. J'ai béni la vendeuse de m'avoir conseillé cette jupe qui par sa ampleur laissa libre accès à la main de monsieur pour se promener à sa guise. Je me suis laisser faire, conquise, comblée et sans la moindre retenue jusqu'à ce une intense sensation m'a emportée.

C'est seulement que plus tard, en me remettant debout que j'ai pris connaissance de l'impacte de la fessée sur mon derrière. Cela brûlait terriblement. En servant le café à mon chéri, j'ai senti encore sa main se glisser sous ma jupe ample, très agréable à porter, car elle calmait aussi la brûlure.

Maintenant je sais ce qui se cache sous les jupes des fausses pervenches, des fesses toutes rouges !

Puis il a ajoute.

Prends ton calepin, isabelle et met en mot ce qui arrive aux fausses pervenches trop curieuses...

Ce que j'ai aussitôt fait, encore à chaud...

7 commentaires:

  1. Bonjour Isabelle,

    Votre mise en scène m'a bien fait rire. Vous avez un sens de l'improvisation (revisitée) qui fait merveille.
    Nous les hommes quinquagénaires avons eu des mamans et des tantes aux codes vestimentaires un peu "révolus".
    Elles ont fait preuve d'élégance tout en restant simple ménagère.
    Personnellement, ma maman portait son tailleur jupe droite (qui s'arrêtait juste sous le genou) en drap de laine couleur Bleu Marine et des talons plats (ma maman ne supportait pas les hauts talons qui lui blessaient les chevilles). Son ensemble sortait pour les occasions : RV au médecin, visites privées...
    Fait amusant : ma sœur aînée portait le même tailleur-jupe droite de matière identique et chignon/lunettes
    Ca me faisait plaisir de voir ma maman ainsi habillée pour la circonstances. Je la voyais à l'égal des autres femmes que nous croisions à l'occasion. Détail très important pour moi.
    Peut-être partageons nous avec votre compagnon ce même goût pour la mode classique , venu de notre jeunesse ? Rires.
    Concernant la fessée de la Pervenche, dans le film :
    "La fessée ou les mémoires de Maitre Léon Fesseur" (Chez Alpha-Vidéo- 1976), il y a la séquence dans laquelle la charmant contractuelle, en tailleur jupe droite de couleur rouge est séquestrée dans la cave de la boulangère attitrée du personnage central, Antoine Fontaine. Elle propose à ce monsieur d'y descendre fesser la demoiselle...
    Dans les années 1980, la TV produisit une petite série intitulée "Marie-Pervenche" dont le rôle principal était interprété par la comédienne Danièle Evenou,
    Votre compagnon s'en souvient peut-être...
    Au ton du récit, Monsieur 183 n'a visiblement pas obtempéré face à une si charmante contractuelle, Dommage...
    Mac-Miche.

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  2. Vous savez, cher Monsieur Mac-Miche, Monsieur 183 a surtout tendance de confondre l'élégance avec une certaine sexy attitude. De rêver des fouilles et découvertes sous les jupes droites ou amples de tailleurs. Ceci dit il n'aime pas tomber sur les vestiges d'un authentique passé. Bien que sa mère ait été une véritable pin-up dans sa jeunesse, les sous-vêtements qu'elle portait n'avaient rien de sexy. Des gaines couleur chair ou des combinés avec des bas certes, mais style catalogue par correspondance. Lui ce qu'il aime c'est du affriolant moderne dans toute sa splendeur. Voila du fantasme revisité chez nous, plus proche des magazines de charme et je pèse mes mots que correspondant à une réalité.

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  3. Bonjour Isabelle,

    Votre compagnon est en quelques sorte un "chercheur des temps modernes". Il est vrai que la mode VPC propose du "correct" un peu lourd mais c'est "tout public".
    Peut-être votre compagnon éprouve t-il le souhait de s'en détacher aujourd'hui ? Il n'est jamais trop tard. Rires.
    Mac-Miche.

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  4. Détrompez-vous Monsieur Mac-Miche la vente par correspondances classique leurrait déjà vers 1999 dans ses catalogues avec des tenues en vinyle style fétichiste. Il y avait même de petits catalogues spécial lingerie sexy...pour vous dire!

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  5. Bonsoir Isabelle,

    Aujourd'hui, la mode du vinyle est un potentiel commercial à ne pas négliger pour les distributeurs de VPC. Ils doivent faire feu de tous bois, dit-on.
    Pour moi, cela fait quelques années que la mode sur catalogue est absente de mon courrier... Rires.
    Mac-Miche

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  6. Penchée, troussée, fessée et saillie! Ça arrive aussi à ma femme de temps à autre (avec ou sans fessée).. on apprécie alors la jupe ou la robe qui se trousse facilement, voire l'absence de culotte dessous..

    D'ailleurs vous l'a-t-on seulement baissée, ou complètement ôtée, cette culotte? pour la fessée elle peut rester à mi-chemin et souligner la posture, mais elle risque d'encombrer pour d'autres activités!

    J'aime beaucoup en tout cas ce spectacle des fesses, rougies ou non, et de la vulve en position... sans parler de l'autre petit trou qui se retrouve alors exhibé!

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  7. Mon homme a les mêmes préférences que vous. Il aime voir ce qui se trouve dans mon entrejambe, vraiment tout dans le moindre détail! Quant à la position de ma culotte, je pense qu'il n'existe aucune constellation par laquelle je ne suis pas passée. Cela dépend de l'humeur du jour de mon homme.

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