Au
menu cette semaine :
La féminité décomplexée
Toutefois pour moi cela reste réservé
pour le privé, car il n'y a pas de risque que ce soit mal
interprétée quand on a bien choisi sa cible. Une dame trop
entreprenante dans un cadre professionnel (sans tomber dans la
caricature de cette animation), voire autre se fait souvent traiter
de tous les noms dans son dos. De nos jours encore, je précise.
Ben
oui, j'ai pas mal « d'espions hommes » à mon service !
Puis il suffit de lire les commentaires
et les titres des clips mettant en scène de telles situation dans un
bureau (fantasmatique certes). Idem la littérature dite érotique
qui s'empare de la secrétaire qui provoque son patron. Bref, toutes
des sal..pes, sauf maman bien sur ! Sans oublier les messieurs...
zoophiles qui ont un penchant pour ce qui habite dans une porcherie
et le font savoir par de « jolis surnoms », censés de
faire monter le désir féminin. Passons, même si de telles
attitudes m'agacent profondément. Au lieu de se décarcasser pour
donner envie à la dame de pousser loin la séduction, on veut
faire croire que c'est par recours à la grossièreté (la fameuse
sca...ologie verbale) que se crée l'émoustillement.
Enfin, devant son chéri le petit
geste, le petit mouvement se charge d'une autre signification et
devient source de bonheur conjugal. J'aime quand mon chéri se montre
un peu grognon pour la forme :
T’empêches
de me concentrer, isabelle !
Ben,
c'est le but non ?
Puis parfois il me menace même d'une
fessée, si je n’arrête pas mes provocations !
Je
suis de plus en plus convaincue que le basic instinct c'est truc plus
fort que bien de messieurs.
Ils ont beau de se plaindre, de faire
semblant d'ignorer, de menacer de sanctions, rien n'y fait. C'est le
démarrage garanti au quart de tour. La suite est habituellement de
classique, un peu n'importe où dans la maison (en absence des
enfants!). Donc cqfd !
Et
s'il y a une fessée qui s'ensuit ?
La preuve flagrante que ne n'aie pas
forcement tort avec mon intuition. Car cette fessée dévie très
vite sur le terrain qu'elle est censée dans son sens primaire de
combattre :
La
dépravation des mœurs ! ...cqfd !
Bon, certains y voient une attitude de
soumission tout simplement parce que Madame prend une pose qui exalte
les instincts naturels de son mâle.Comme si la sexualité humaine se
réduisait si facilement à un jeu de pouvoir. A ce tarif là, on
peut aussi considérer les choses dans le sens inverse. Madame
exerce un pouvoir naturel sur la chose du monsieur et le monsieur
qu'il le veuille ou pas se sent fortement troublé. Enfin chacun son
sens d'interprétation. Pour ma part j'aime bien les positions
indécentes pour la fessée. L'enjeu étant chez nous que la punition
reste une punition, j'adore quand le pantalon de mon chéri commence
méchamment à lui serrer au point qu'il soit obligé de glisser une
main dedans (bonjour le glamour!) pour mettre un peu d'ordre dans ses
affaires. Voila le petit réconfort avant que les choses ne se
gâtent pour mon derrière.
Je
vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !
Punition scolaire (petit clip)
Bonjour et bonne année (il est encore temps).
RépondreSupprimerLa photo "Leçon retenue" ressemble beaucoup à ce qui se passe chez nous en ce moment. En fin d'année, disons que madame a fait quelques écarts, et cela se solde maintenant par une reprise en main et de fréquentes fessées. Elle est punie pour quelques semaines, avec un programme assez strict, une fessée hebdomadaire et chaque écart est sanctionné par une autre punition.
J'ai même remis le martinet accroché dans la chambre, comme au début de notre relation (nous ne pensions pas que cela serait à nouveau le cas), et cela rappelle beaucoup de souvenirs à mon épouse, lui rappelle qu'elle est punie, mais nous unit également
Milu
Il n'est jamais trop tard ! Une bonne et heureuse année à vous aussi cher Milu. Ah ces fâcheux relâchements. Autant du bon comportement de la dame, comme la vigilance du monsieur envers d’éventuels écarts. J'aime beaucoup l'ambiance du martinet accroché. Le petit frisson quand on a pas été sages, mais aussi le petit frisson de la file sage qui n'a rien à se reprocher. Des petits rituels qui comme vous dites si bien... unissent !
RépondreSupprimerBonjour Isabelle,
RépondreSupprimerVous allez sans doute sourire de moi, mais ce n’est qu’après avoir regardé votre clip que j’ai compris le sens de votre billet intitulé « Basic Instinct » et que je me suis souvenue de cette scène avec Sharon Stone ….
Cela dit, ne portant plus jamais de culotte comme vous le savez, mais étant naturellement prudente et réservée, je crois, du moins rien ne peut me faire penser le contraire, que jamais involontairement ou accidentellement, j’ai pu laisser voir à un tiers, inconnu ou non, ce détail vestimentaire ….
J’ai déjà eu l’occasion de vous dire que mon mari, dès le début de notre liaison, a exigé que je sois « a-pudique », autrement dit qu’il soit l’arbitre, le juge unique, de ce que doit m’être à chaque instant ce que les gens appellent les signes extérieurs de pudeur. Il n’admettrait pas, il ne comprendrait pas, que je montre plus ou moins de réserve à être vue partiellement ou totalement nue, par exemple devant notre ami médecin qui me suit ou son épouse, au bord de notre piscine devant des amis ou de la famille, en vacances à l’ile du Levant ou autres lieux plus ou moins nudistes ou simplement lorsque des tenues légères, transparentes, sont admises, ou encore lorsque eut lieu le moulage de mon corps, etc, etc … Il a pu de même par exemple me faire relever ma jupe alors qu’avec des amis la conversation portait sur l’épilation supposée définitive du moins permanente.
Mais cela ne veut aucun cas dire que je peux ou dois être impudique !
Il serait choqué et surtout déçu par mon comportement si, de mon propre chef, autrement dit à ma seule initiative, je « jouais » à cela à l’égard d’un tiers, quel qu’il soit. Cela me vaudrait d’être bien punie et difficilement pardonnée. Moi-même, me connaissant, je ne peux m’imaginer agissant ainsi à moins que, d’une façon ou d’une autre, je pense que cela pourrait lui plaire, ou lui rendre service, ou que sais je, mais en aucun cas pour un autre motif.
Je ne me vois pas non plus le faire pour le provoquer ! Cela ne peut même que me paraître inutile tant il m’étonne toujours, sans qu’il ne me semble avoir eu un comportement différent, par son talent à deviner les moments où tout en moi aspire à ses câlins. Ce qui se passe aussi, et qui me trouble tellement, c’est lorsque notamment ayant des soucis, il me fait venir, le plus souvent c’est dans son bureau à l’entreprise, pour que, debout bien en vue devant lui, il m’ordonne de relever jupe et jupon et de m’exposer en m’expliquant combien il lui plait « d’avoir grâce à moi un spectacle plaisant et chargé de promesses, utile pour l’apaiser et retrouver son allant et son énergie »……
Je pense sur bien de points de vue être a-pudique comme l'entend votre mari, chère Christine. Je suis à l'aise avec ma nudité quand les circonstances s'y prêtent, mais je n'exhibe pas ma nudité. Il est hors de question que je fasse profiter un inconnu du fait que je ne porte pas de culotte. Par contre quand c'est entre copines ou amis proches (en présence de mon homme), il ne me gêne pas quand la discussion aborde ce sujet de montrer très brièvement que je sais me passer de culotte. Je trouve que mon homme est pudique pour moi. A l'époque quand je me faisais encore épiler à la cire il aurait bien aimé d'assister à la séance. Mon esthéticienne était même d’accord, mais bon il ne sens pas à l'aise dans une telle situation. Hors de question aussi pour lui de mentionner que je suis épilée définitivement et encore moins de demander que je le montre. C'est son caractère et je l'aime tel qu'il est. Mais il ne me dérangerait nulle part s'il me demandait devant des proches de soulever ma jupe. Enfin, chaque couple ses habitudes. Je vois le point en commun, la nudité inspirante et pour se ressourcer. Voyez pour ma part, je sais quand mon homme se sent débordé, épuisé ou en besoin de s échanger des idées. Alors je suis là et je sais comment lui changer justement les idées.
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