...celles
dont on ne se vante pas !
A priori je ne suis pas une fan de la
fessée rigolote, mais ce qui ce passe dans ce petit clip est trop mignon. Je ne
rentre pas plus dans les détails...
...déjà
trois lignes, isabelle et pas encore le moindre ...j'adoorrrreeee !
Tais
toi, je suis en train d'écrire. Il n'est pas gentil de me regarder
par dessus de l'épaule.
Contrairement à mon tempérament
plutôt joyeux, « l’insoutenable
légèreté de l'être isabellien » (selon mon chéri
en faisant référence à un grand écrivain), j'aime pour mes
punitions une ambiance solennelle avec un certain air de gravité. Il
faut savoir s'y prendre avec moi pour être sérieux de manière
convaincante, naturelle, car j'ai horreur que l'on essaye de me jouer
un truc. A ce niveau je suis un peu comme certains messieurs qui
n'aiment pas les filles se laissent aller de manière stepfordienne.
Justement je n'aime pas non plus que ma correction prenne les allures
d'une aventure sexy-érotico-p*rnoextatique. Mes fantasmes sont
autrement vilains pour en faire de la fessée un remake customisé de
la scène primitive.
Pour
moi la fessée intervient pour apaiser une étrange sensation de
mal-être dans ma peau (nom de code : la faute) qui me procure
un sentiment d'insécurité.
Alors quand mon homme me prévient, le
martinet déjà en main :
Je saurais te
soigner, isabelle !
il n'est pas très loin d'une vérité
dans la quelle la satisfaction se confond avec un sentiment de
sécurisation. Cher payé certes, parce qu'avec des petites tapes ce
mécanisme ne se met malheureusement pas en route.
Toutefois comme semblent me prouver nos
fessées ratées, il existe un autre chemin vers l'expiation, un
chemin autre que les larmes hystériques. L'autre chemin c'est le
fou-rire. Manifestation hystérique également qui met en relief de
façon édifiante la charge... d’excitation sexuelle que
sous-entend la fessée. Fou-rire devant cette canne qui se casse (oh
le beau symbole de castration) pendant que j’attends déjà mon
châtiment et mon chéri pour tester le matériel a fait un dernier
essai sur un coussin du canapé.
Ouf,
j'ai eu chaud !
Car dans ces circonstances, il
n'insiste pas. Ma sanction est levée. Idem quand une lanière se
détache du martinet. Alors mon fou-rire est vraiment libératoire !
Fou-rire surtout à cause de la tête que tire monsieur. On dirait un
gamin auquel on pique la sucette. Enfin, avec moi pas la peine de
désespérer. Il aura sa sucette. Une pour grands garçons...
Ne
soit pas trop déçu mon chéri. Tu me corrigeras une autre fois !
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