vendredi 8 janvier 2016

817 Liens de discipline domestique (199 ème édition)

Au menu cette semaine : Les ruses des filles... ne sont pas le fruit du hasard !

Le voyeur dans son compagnon (petit clip hors sujet)

Tu m'écoutes chéri ?

Les culot de certains messieurs ne connaît pas de imites. Il se prennent pour leur dame, en faisant comme elle la sourde oreille. Voila rien de mieux pour agacer ladite dame. Habituellement mon homme est de très bonne écoute, mais quand il est débordé de travail, il a du mal à décrocher en s’intéressant à mes blablatage. Alors pour lui faire retrouver son mordant, j'ai trouvé une astuce simple. Petite tenue extravagante dont les possibilités sont illimitées et qui réveille le sens du chasseur dans mon mâle. Évidement personne n'est dupe. Mon homme apprécie, car il arrive vraiment à se détendre. Et je m'en tape un peu des moyens, pourvu que je sois le centre de son attention. Entre mon enfance et les attentions de mon papa et de mes grands frères et mon chéri maintenant, j'ai développé un narcissisme – pourtant grassement nourri - à tendance boulimique. Et quand il y a abus, mon chéri décroche le martinet (enfin, il se trouve dans son tiroir du bureau depuis qu'il y a notre petite) pour me rappeler à l'ordre d'une manière pas vraiment flatteuse pour mon ego. A chaque couple son équilibre. Honni soit qui mal y pense !


La plupart des princes charmants, rencontrés au cours de ma vie de célibataire avaient la même réaction quand je leur ai parlé de mes années de danse classique :

Tu sais faire le grand écart, isabelle ?

Avec un petit sourire qui parlait en long et en large. Mon chéri
n'a pas fait d'exception. Ben oui, je sais faire le grand écart et j'ai une redoutable souplesse. Au lit aussi. Passons.

Personnellement je trouve la danse classique indispensable dans le parcours d'une jeune fille. J'ai de la chance que ma fille s'avère beaucoup plus douée que moi. Elle a le sens du rythme, l'oreille musicale, la musculature nécessaire et surtout une sorte de discipline intérieure, héritage de son papa qui lui évite des pertes d’énergie dans la vie en se posant d'inutiles questions. Elle a vite compris ce que la danse lui apporte. Une sorte de grâce naturelle, une démarche de plus esthétique qui combinée à l'héritage de sa maman, la bonne humeur permanente et un sourire radieux, lui ouvre facilement les portes. Bref l'art de la séduction se travaille... comme tout dans la vie.

Pour finir, un petit mot. Je serai brève pour aujourd'hui et peut-être encore plus pendant un long bon moment, scolarité de ma fille oblige....

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !

Kitschissime (petit clip)








Histoire sans mots (petite série)














2 commentaires:

  1. Bonjour Isabelle,

    Je n’ai jamais suivi de cours de danse, et encore moins de danse classique ! Je me souviens, j’avais 11 ans, et j’avais deux copines de classe qui en faisait. Cela m’a tentée, et j’en ai parlé chez moi. La réponse de ma mère a été catégorique : « ce genre de choses n’est pas pour nous, et tu dois l’oublier ». Quant à mon père, pour cela, comme en d’autres occasions plus ou moins semblables, sa phrase était crue « Il faut savoir ne pas chercher à péter plus haut que con cul ! » ….

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  2. Mon homme avait le même raisonnement que vos parents, chère Christine. La danse classique s'est démocratisée, amis tout dépend du niveau. Il y a des cours d'initiation pour les 4 à 6 ans qui sont plus qu'abordables. Cela permet de voir si l'enfant est « fait pour ». Toutefois ne nous voilons pas la face, comme pour beaucoup de choses dans la vie, dans la danse le travail seul ne suffit pas pour arriver à un résultat harmonieux. Et nombreux sont les parents qui insistent... inutilement.
    Je dirais que la danse classique est accessible à tout le monde, mais il y a effectivement une barrière symbolique...

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