A
la maison... je précise !
J'adore faire l'éloge de la petite robe et des hauts talons. Il
s'agit d'un de mes vêtements préférés pour sortir en été. Rien
de particulier jusque là. Pour le reste de l'année, à part les
périodes de grand froid, ma collection de petites robes fait mon
bonheur au quotidien à la maison. C'est si agréable à porter,
notamment sans culotte et si plaisant à associer aux bas et
porte-jarretelles en demi saison. Ajoutons à ceci des hauts talons
que j’enlève pour me vautrer sur mon canapé pour écrire et qui
se trouvent donc juste à côté... de mes pantoufles. On comprend
que je choisi « chaussure à mon pied » selon mon
activité à la maison. Bien évidement quand je n'ai quelques mètres
à faire pour porter le café à mon chéri, j'opte pour mes
escarpins ou sandales. Et vu la distance ridiculement petite pour mon
déplacement, il m'importe peu que le talon soit vertigineux. De plus
notre intérieur est conçu (par les soins du monsieur) pour éviter
tout danger (style angles dangereux) autant pour la petite que pour
mes... bas. Je pars alors en toute confiance ce qui n'est pas le cas
quand je sors. On imagine mal les pièges de la vie courante sur des
hauts talons aiguille. Mieux vaut avoir son chevalier galant à côté
de soi qui en plus apprécie l'effort vestimentaire à sa juste
valeur.
Je retourne sur mon canapé. Quand
monsieur se trouve à proximité, je passe l’aspirateur sur mes
hauts talons. Sans lui c'est l'option pantoufle. Sans oublier de me
pencher dans le moindre coin. Une petite robe jumelée aux hauts
talons a tendance à remonter facilement ce qui fait son charme.
Il
en va de soi qu'il faut aimer les jeux de séduction pour faire un
tel ménage vestimentaire.
Une autre partie de ma motivation est
de l'ordre narcissique, se voir joliment présentée. Se plaire à
soi-même. Comme tout le monde je prend de l'âge, mais comme dit mon
chéri chaque âge a sa beauté. Sans oublier le côté sensuel d'une
telle tenue. Le moindre courant air devient une grande aventure avec
le petit frisson de la jupe qui se soulevé. La main de mon chéri
qui s'égare quand il passe à côté de moi.
La
petite tape sur les fesses qui procure un effet cul nu tellement le
tissu de mes robes est fin.
Et le plaisir aussi de soulever ma robe
avant de m'asseoir pour mieux apprécier la sensualité de mon
canapé. D'ailleurs c'est devenu une sorte d'automatisme que j'ai du
produire devant des amis à plusieurs reprises :
Mais
qu'est-ce qu'il t'arrive isabelle ? Tu as lu l'histoire d'O ?
Non, pas vraiment. J'ai commencé à
lire ce livre il y a longtemps, puis après quelques pages j' ai pensé à
mes ongles et je me suis cherchée une lime. Je dois être
incompatible à ce genre d'univers pour sortir mes griffes. Puis j'ai
complètement oublie ce livre. Enfin, ce genre de petite remarque ne
gâche pas ma bonne humeur et encore moins mon histoire d'amour avec
les petites robes...
Bonjour Isabelle,
RépondreSupprimerEn y réfléchissant, je me rends compte que je ne mets que peu souvent une tenue sexy !
Il est évident que l’entreprise que dirige mon époux et où j’officie n’est pas du tout le lieu approprié pour cela (rires !) et parcourir les ateliers (même si cela ne m’est pas quotidien) n’est pas favorable à la marche sur des hauts talons, sauf à risquer quelque entorse et à se retrouver ridicule.
A la maison, que ce soit le soir ou pendant les week-ends sédentaires, ma tenue est plutôt « cosy », favorisant la relaxe, mais aussi l’abandon, ma disponibilité. Cela va , lorsque le temps et la température le permettent, qu’il peut même y avoir possibilité d’usage de la piscine, jusqu’à ma nudité totale ou quasi totale.
Si j’ajoute que dans notre coin de province, les tenues trop sexy favorisent très vite des commérages plus ou moins médisants, je m’aperçois que mes tenues sexy sont essentiellement réservées à nos escapades parisiennes, notamment au club de nos amis lorsqu’il ne s’agit pas spécifiquement d’une soirée à thème. Mon mari aime et sait me guider dans mes choix. Il apprécie de me voir mise en valeur, de le remarquer par quelques regards éloquents par des habitué(e)s et notamment de quelques péronnelles ….
PS : Je n’ai pas lu « histoire d’O », et le film ne m’a pas laissé un souvenir impérissable ! J’ajoute qu’en principe, je ne m’assois pas jupe relevée et fesses au contact direct du siège, j’aurais trop peu de laisser une marque révélatrice : ce n’est pas un hasard si je mets toujours un jupon ! Et il n’est pas fréquent que mon mari me dise de le faire, à chaque fois c’est parce qu’il a une idée en tête ( !), que ce soit lorsque nous sommes seuls ou pas ….
Merci pour ces confidences intimes, chère Christine. Je comprend parfaitement votre attitude au travail. Par contre se promener toute nue quand les circonstances le permettent, peut faire partie de la sexy attitude. Tout dépend comment on affiche sa nudité. J'ai tendance à imaginer que votre façon d'être n'est pas la même dans l'intimité avec votre mari ou devant d'autres personnes très proches.
RépondreSupprimerLoin de moi de me donner en spectacle devant nos voisins. Idem devant mon enfant. En fait, je décris souvent notre intimité du couple avant la naissance de notre filles ou maintenant les jours qu'elle est à l'école. J'aime bien lire vos commentaires concernant vos « escapades parisiennes ». Ce n'est pas mon mode de vie, mais je suis curieuse. Et votre façon de raconter me convient parfaitement. Ceci dit j'aime les soirées à thème, mais dans un cadre entre amis proches et/ou en famille.
Je partage votre point de vue sur les éventuelles taches. Alors étant du style « parfaite ménagère », il en va de soi que je souhaite mon canapés par exemple impeccable. J'ai donc certaines techniques techniques où et comment m’asseoir sans culotte. Enfin je n'en parle pas sur mon blog parce ce genre de détail casse facilement la sexy attitude... Rire !