lundi 4 janvier 2016

815 Et si on se faisait un plan fessée ? (Lundi cinéma)

Que font les filles entre elles dans leurs soirées ?

Les fêtes sont finies, mais visiblement il ne manque pas de personnes qui croient dans le père Noël. Car malheureusement les filles qui se font un plan fessée entre elles existent essentiellement dans la fantaisie. Masculine ou féminine peu importe. J'ai pu vérifier par moi-même de l'impacte d'une telle situation chez mon homme à nos débuts. Quand je lui ai parlé du sauna familial, il s'est montré peu inspiré, daignant seulement me dire que ce n'était pas son truc. Quand j'ai commencé à lui raconter qu'en absence des nos parents nous faisions du sauna entre copines, il a vite pointé ses oreilles pour confirmation.

...ben oui, toutes nues. On en va pas avec une culotte dans le sauna !

Il faut savoir qu'en Allemagne quand vous allez dans un sauna, même public, la séance se passe tout nu. Veut dire que tout le monde est nu et les vêtements sont strictement prohibés. Pour les pudiques il existe des « Textilsauna » et il est important de ne pas se tromper de dénomination. Puis il faut connaître la froideur glaciale à certains moments de l'hiver, pour comprendre l'intense besoin de se réchauffer vraiment. Évidement des saunas libertins existent aussi comme ici sous l’appellation « Saunaclub », mais à priori faire du sauna est un plaisir plutôt innocent. Notamment entre filles. Donc rien à voir avec certains croustillants récits pour se réchauffer les idées. Certes, comme j'ai raconté à mon homme, la fessée, enfin le fouettage avec des branches de boulot nous a servi à maintes reprises de s'amuser entre filles. Il y avait plus ou moins de prédilection pour le derrière, mais nous sommes loin de ce qui se passe dans un clip de fessée. C'était avant tout l'évocation d'un pratique ancestrale qui fait facilement rire. Et il ne manquait pas d'allusions verbales très explicites suivies de fou-rires. Notons qu'avec le recul je n'ai pas dû être la seule à avoir des rêveries allant plus loin. J'ai discuté assez récemment avec les mêmes copines le S/m qui plaît aux dames, version 50 nuances, livre qui a grosso-modo compris les rêveries exotiques de madame tout le monde. Voici un petit lien qui explique pourquoi les dames (allemandes) aimenttant ce livre. Désillusionnant certes, mais vu avec justesse selon moi. Enfin retournons au sauna !

L'idée de 3 ou 4 jeunes femmes toutes nues, luisantes par les vapeurs chaudes à fortement stimulé mon chéri.

Et plus tard au lit, il a été redoutable. Puis, un jour chez mes parents, ces derniers partis, j'ai initié mon homme au plaisir de la vapeur chaude. Je m'en doutais de l'effet qu'allaient lui procurer les verges de boulot et visiblement (en baissant un peu mon regard) je ne me suis pas trompée. Ah ces garçons. J'ai reçu donc une très solide fessée avec cet instrument 100% bio en savourant le plaisir des corps qui glissent. Il en va de soi qu'une dame toute nue sur les genoux d'un monsieur également tout nu et qui n’arrête pas de gigoter, en offrant ainsi une vue imprenable sur son fessier y compris quelques aperçus très intimes, exerce une belle stimulation sur le joujou du monsieur. Qui – à force de claquer – commence à avoir de plus en plus de mal pour se retenir. Pour ma part cette raideur ne m'a pas laissée de marbre non plus. Elle me donna une folle envie de m'installer entre les jambes de mon chéri pour reproduire le geste d'Isis sur Osiris qui selon la légende réveille même un mort.

Bref, je voulais parler d'un plan entre filles, mais visiblement mon penchant pour les messieurs est trop fort pour ne pas me détourner les idées vers un plan fessée et c...

Non, non je n'ai pas pris comme résolution de nouvelle année de ne pas être sage !

16 commentaires:

  1. Une très bonne année à vous, Isabelle.
    Continuez à réveiller les morts, aucun ne vous le reprochera jamais.
    Fin de semaine je vous enverrai le dernier texte, pour que la petite histoire offre son dénouement. Sa chute, si vous voulez.

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    1. Une belle et heureuse année à vous aussi, cher Monsieur Why Not. Je vous vois bien consciencieux. J'aime les personnes qui finissent ce qu'elles commencent. C’est une qualité rare. Sans parler de ma curiosité...

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  2. Chère Isabelle,

    Je n’ai jamais lu (Je devrais dire « nous n’avons jamais lu » !) 50 nuances de gris. Mais en lisant votre billet, je me demande si nous ne devrions pas le faire, car ce qui avait, je crois, rebuté mon mari, ce sont les critiques disant qu’il s’agit d’un mauvais roman pornographique, « mauvais » et « pornographique » étant les deux mots rédhibitoires.

    Quant au dessin qui orne l’article du journal, il m’incite à vous dévoiler mon cadeau de mon mari à l’occasion de Noël, cadeau qui vous envierez peut être car je me souviens que vous aviez évoqué dans un de vos textes avoir, étant jeune fille, rêvé de devenir danseuse au Crazy Horse : il s’agit de 20 heures de cours de burlesque, renouvelables le cas échéant !

    Je vais prochainement aller pour un stage d’initiation de 2 heures, afin de savoir si cela me plait et si je passe à sa réalisation : je l’espère, car j’ai le sentiment que mon mari le souhaite.

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  3. Ne vous attendez pas non plus à une prouesse littéraire. Le féminisme allemand met l'accent sur le fait qu'une dame exprime librement ses fantasmes sans se perdre dans les considérations trop techniques. Par contre je doute que ce soit de la littérature P. (Je n'ai lu que quelques extraits, car je ne me retrouve pas dans les fantasmes présentés.) Le livre se vend dans mon supermarché à côté des livres pour enfants. Mais disons que je doute qu'un livre P se vendrait à tant de femmes. Certes il faut se donner une allure branchée, mais qui a envie de lire réellement de la littérature P sans une belle histoire d'amour ?

    J'adore le burlesque et effectivement il s'agit d'un superbe cadeau de la part de votre mari. Mais soyez en prévenue, c'est un dur travail et c'est en suant que l'on se perfectionne. Toutefois je vous vois persévérante pour arriver à un joli résultat.

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    1. Je m’attends effectivement à transpirer, mais c’est un des buts recherchés. Car il y a deux mois environ, j’avais dit à mon mari qu’il serait sans doute souhaitable que je m’inscrive à une salle de sport et je lui avais donc demandé son avis.

      Sa réponse est venue avec ce cadeau de Noël, et son commentaire « pourquoi ne pas allier l’utile à l’agréable » ….

      J’ai reçu la liste des vêtements à apporter pour le stage de découverte : le plus drôle, avoir deux soutiens-gorges pour ne pas être topless !

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  4. Il semblerait que les similitudes entre votre mari et mon homme ne manquent pas. J'ai vu venir ce genre de cour en Allemagne quand j'étais encore célibataire et l'ambiance est très bon enfant. On essaye de mettre tout le monde à l'aise, alors malgré le thème du stage cela reste très pudique. Enfin j'espère lire un jour un petit écho de votre part sur vos cours...

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  5. Chère Isabelle,

    Comme prévu, j’ai donc participé à ce stage de découverte, et voici quelques unes de mes premières impressions !

    - Nous nous sommes retrouvées à 7 filles : une espèce de grande pimbêche « je sais tout » qui après n’a même pas daigné venir prendre un café avec nous, et que, je pense, nous ne reverrons pas ; deux copines (« amies intimes » ?) jeunes (20 et 21 ans), vraiment mignonnes, qui ont le projet de devenir des professionnelles du spectacle et qui ont déjà occasionnellement fait un peu de strip-tease (amateur ?) ; et trois femmes entre 30 et 50 ans, très sympathiques, mariées (ou tout comme !), venant tant par curiosité personnelle qu’avec l’accord ou le soutien de leurs compagnons, et qui m’ont permise (chut, c’est un secret !) d’éliminer l’appréhension que j’avais pour mon physique face aux autres ….

    - La prof a une quarantaine d’années. C’est une vraie professionnelle du spectacle, qui a longtemps travaillé avec des compagnies ainsi qu’en solo, et qui intervient encore en free lance. Après nous avoir fait un petit topo sur l’histoire du burlesque depuis la fin du XIXème siècle et le Moulin Rouge jusqu’à sa renaissance dans les années 90 sous le nom de « new burlesque », elle nous a expliqué combien l’effeuillage burlesque doit être compris comme l’art de se déshabiller d’une manière plaisante et sensuelle, mais sans vulgarité et en imitant les pin-up. La prof a insisté que l’effeuillage burlesque n’est pas un strip-tease et qu’on ne finit jamais entièrement nues, mais je pense qu’il y a là quand même un peu d’hypocrisie en pensant aux seins « habillés » de cache-tétons qui attirent les regards ! Que si tout va bien, nous apprendrons un numéro d’ensemble pour clôturer le cycle de cours que nous pourrions alors présenter à nos familles et amis ! Enfin, elle a énuméré tout ce que nous aurons à apprendre, y compris marcher avec des talons et se maquiller, et qu’avec tout cela, nous deviendrons encore plus féminines, bien dans nos corps et avec plus d’assurance dans nos rapports avec les autres, un programme plus que tentant !

    - Puis, pendant un peu plus d’une heure, on est passées aux « travaux pratiques ». Après un peu d’échauffement, nous avons essayé de reproduire les mouvements et gestes de base (certains avec des noms anglais que je n’ai pas retenu) de l’effeuillage burlesque que la prof exécutait : face à un mur et son immense miroir, je n’ai pu, nous n’avons pu, que nous rendre compte combien nous étions gauches et combien nous aurions des progrès à faire… Je pense avoir quand même assimilé comment ôter son soutien-gorge en dissimulant ses seins avant de les montrer pour leur mise en valeur : mon mari le soir même m’a semblé apprécier ! Par contre, je me suis faite rabrouer pour mon attitude les épaules en avant, que je vais devoir corriger par des exercices de maintien et m’astreindre à penser épaules en arrière à mettre ma poitrine en avant.

    Conclusion de ce stage ? C’est évident, tant pour mon mari que pour moi : me voilà partie pour une série de dix cours collectifs (20 heures), un par semaine. On verra ce qu’il en adviendra, ce que j’en retirerai ….

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  6. Merci pour cette intéressante contribution chère Christine. C'est un sujet qui va parfaitement avec mon blog, car je trouve que la discipline conjugale vaut mieux qu'être traitée en simple lubie sexuelle. J'y vois plutôt un art de séduction mutuelle permanente. Et justement l'apport des stages comme le vôtre me paraît un excellent moyen pour mettre tout les atout de son côté.

    J'ai fait il y a bien longtemps un petit stage de strip-tease en Allemagne, car à cette époque on ne proposait pas encore le burlesque qui convient mieux à mon tempérament. Je ne ne peux que vous encourager à aller au bout de ce stage. Savoir s'exprimer avec son corps par de jolis gestes et mouvements - il s'agit bien de cela au fond- me paraît hautement utile dans la vie. Puis surtout le fait de faire plaisir à l'homme que l'on aime. Avec un peu d’entraînement l'aisance devant un public choisi vient vite.
    J'espère que vous allez partager d'autres cours avec nous. J'aurais bien envie de regrouper dans ce cas vos écrits pour un sujet dédié.

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  7. Chère Isabelle,

    Je sais que je vais transpirer durant les cours (nous commençons la semaine prochaine) ! Mais je n’avais pas imaginé qu’à la suite de la critique qui m’avait été faite durant le stage de découverte, j’allais me retrouver avec l’obligation de devoir commencer chaque journée, samedi et dimanche compris, par une vingtaine de minutes d’exercices physiques, à savoir « pompes, relevé du buste, développé couché, planche », exercices selon un programme qui m’a été donné par la prof. Ma consolation, si je peux dire, est que je ne suis pas seule mais que nous sommes deux dans ce cas : cela fait quand même un drôle d’effet que d’avoir été sermonnées devant les autres (y compris devant les 2 jeunes !) au motif qu’à nos âges (39 et 37 ans), on se doit de pouvoir être fières de montrer une poitrine ferme et arrogante, et que nous nous devons de faire le nécessaire pour cela.

    Je n’avais pas eu l’impression de me laisser aller, mais à la réflexion, il me semble que mon mari est très satisfait (l’espérait-il ?) de ce « coup de semonce » par une professionnelle évidemment compétente en terme d’apparence physique.

    Conséquence, je n’avais pas imaginé non plus qu’un laisser-aller de ce programme pourrait être sanctionné, qu’un « oubli » un matin il y a quatre jours allait me valoir une note « 3 », note qui en cas de récidive sera doublée !

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  8. Tout dépend du ton sur lequel s'est passé ce sermon, chère Christine. Personnellement je trouve que la prof aurait pu aussi vous prendre à part pour vous donner quelques conseils. Ceci dit, à mon humble avis le meilleur ami d'une poitrine ferme reste le port d'un soutien-gorge de qualité et d'éviter de ne pas exposer ses seins aux chocs dès leur apparition. Puis concernant les méthodes de sport choisir le manuel le plus épais pour se le mettre... sur la tête en faisant ainsi les exercices qui le permettent. Je ne plaisante pas. L'effet est saisissant justement concernant l'apparence physique.

    Faire régulièrement du sport demande beaucoup de discipline. Mieux vaut avoir à côté de soi une personne sérieuse qui surveille. C'est un terrain de prédilection pour la discipline domestique. Enfin, à vous lire, je vous sens en excellente compagnie !

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    1. Chère Isabelle,

      Vous en aviez exprimé le souhait, voici donc quelques commentaires concernant mon stage de danse burlesque.

      Je pense être devenue incollable pour le « shimmy and shake », le « bump and grind », le « glove peel » et aussi le « tassel twirling », du moins en théorie car il ne me semble pas avoir encore atteint le niveau d’une véritable professionnelle. Mais je m’entraine, y compris chez moi lorsque j’ai un peu de temps, car tant qu’à faire quelque chose, autant le faire bien, mon mari m’y encourage et me le rappelle fréquemment.

      Ce stage n’est pas encore terminé car une majorité a demandé et obtenu qu’il n’y ait pas cours pendant les congés scolaires, ce qui me semble-t-il arrangeait aussi la prof. Le stage est prévu de se clôturer par une « représentation » privée fin mai ou début juin, à laquelle pourront assister nos conjoints, et ceux qu’éventuellement il nous plairait d’inviter avec l’accord des autres : mon mari m’a déjà dit qu’il souhaitait que nos amis (ceux qui ont le club privé) en soient.

      J’ai beaucoup de plaisir à suivre ce stage, car en plus de celui d’apprendre quelque chose de nouveau, de faire ce qui est véritablement un sport, il y a également une très bonne ambiance entre nous six et nous aimons nous retrouver. J’y trouve une sorte de camaraderie et même d’amitié telle qu’on peut l’imaginer dans un pensionnat de filles, avec sa joie, ses plaisanteries et ses taquineries.

      Je peux parfaitement dater quand cela a débuté : après deux premières séances où nous avions appris à ôter notre soutien-gorge selon les règles du burlesque, avec un deuxième soutien-gorge pour ne pas finir topless ( !), la quatrième fut consacrée à découvrir l’usage, et d’abord la pose des nippies (que les américaines nomment plutôt pasties). Nous avons toutes réalisé alors (pour moi, c’était déjà le cas avant !) qu’il n’y avait pas lieu d’être pudiques entre nous six et qu’il était ridicule de jouer les timides effarouchées lorsque dans le vestiaire nous nous changeons avant et après le cours. De se voir dans le plus simple appareil a favorisé la liberté de parole, la possibilité de poser des questions et échanger idées et confidences sans paraître indiscrètes, et de devenir plutôt complices.

      Inévitablement, elles ont par exemple voulu savoir pourquoi dans la vie normale, je ne porte pas de culotte ! plus encore où et combien avait coûté mon épilation définitive : si les deux jeunes s’offrent l’institut, les autres en sont encore à l’usage du rasoir, deux avaient d’ailleurs une touffe assez abondante que la prof leur a de suite enjoint d’éliminer car par trop apparente sous un shorty ou une culotte un tantinet sexy.

      Nous ne devrions pas tarder à commencer les répétitions des « numéros » que nous présenterons pour notre « représentation » ! Il y en aura deux : l’un sera celui des deux jeunes que nous avons surnommées « les gamines », pour lequel elles se sont offertes de belles tenues burlesques typiques avec corsets et jupes froufroutantes et pleines de falbalas. L’autre sera pour les quatre « vieilles » ( !), mais bien sûr nous préférons nous nommer les « cougars »… Nous serons toutes les quatre dans les tons de rouge (sauf les bas nylon) nuisette longue, soutien-gorge push-up, nippies, porte-jarretelles avec des broderies, shorty-string en dentelle que la prof voudrait que nous remplacions par un string en dentelle pour mieux mettre nos fesses en valeur, et escarpins avec talons de 12cm … Le secret sera d’être parfaitement synchronisées pour que ce soit réussi !

      Nous voilà donc avec un beau programme !

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  9. Chère Christine,

    merci pour cette belle suite de votre stage. Je n'ai pas perdu de vu mon idée, une fois arrivée au bout de votre stage je ferai un post avec vos commentaires. A vrai dire je ne sais pas trop si les sujets sexy conviennent à un « blog de fessée » comme le mien, car en général la touche sexy se fait très rare en ce domaine. Mais peu importe, moi je suis passionnée par vos récits.

    Il n'y a jamais cours pendant les vacances. C'est pareil pour ma fille qui fait sa troisième année de danse classique et idem il y aura une représentation fin mai. En plus si vous amenez votre public ce sera un grand moment pour vous. Je vous imagine travailleuse pour arriver à un joli résultat.

    Comme vous j'aimé les ambiances filles entre filles. Je me souviens, il y a plus de 20 ans déjà quand j'ai fait une initiation au strip-tease du conseil de la prof de réduire au maximum, voire enlever intégralement sa pilosité intime. A cette époque cela a provoqué surtout des rires gênés, car l'épilation intégrale était encore considérée comme un tabou réservée entre autres... au strip-teaseuses. Et quand j'ai commencé à adopter l'épilation intégrale à la fin du siècle dernier, j'ai dit à mes copines allemandes avant de faire du sauna: Je n'ai plus un seul poil, la première qui rigole se prend une gifle. Et de nos jours ces mêmes copines sont épilées intégralement comme moi. Bref je vois le progrès dans votre stage.

    Enfin, la synchronisation c'est du travail dur. Il faut que tout le monde ait un sens de rythme. Ce qui n'est pas évident. Moi j'en ai très peu et j'ai dû compenser par un travail sans fin. Mais se produire ensemble de manière synchronisée est un grand moment dans une vie.

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  10. 12 cm? ca ne fait pas mal au pied? je sais pas comment vous faites les filles

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  11. C'est une question d'entrainement, veut dire un entrainement sérieux... Pour ma part quand je mets du très haut c'est vraiment pour un extra qui ne me demande pas trop la position debout... sinon j'ai mal aux pieds ! Ben oui...

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  12. comment fait tu? ma femme m'a dit que je n'etais pas capable d'en porter parce que les homme sont douillet j'ai essayer au bout de 20 minute j'ai du retirer tellement j'avais mal

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  13. Je me suis entraînée depuis l'adolescence. Il faut des années pour pouvoir les porter pendant un bon moment..

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