vendredi 15 janvier 2016

821 Liens de discipline domestique (200 ème édition)

Au menu cette semaine : La féminité décomplexée


Toutefois pour moi cela reste réservé pour le privé, car il n'y a pas de risque que ce soit mal interprétée quand on a bien choisi sa cible. Une dame trop entreprenante dans un cadre professionnel (sans tomber dans la caricature de cette animation), voire autre se fait souvent traiter de tous les noms dans son dos. De nos jours encore, je précise.

Ben oui, j'ai pas mal « d'espions hommes » à mon service !

Puis il suffit de lire les commentaires et les titres des clips mettant en scène de telles situation dans un bureau (fantasmatique certes). Idem la littérature dite érotique qui s'empare de la secrétaire qui provoque son patron. Bref, toutes des sal..pes, sauf maman bien sur ! Sans oublier les messieurs... zoophiles qui ont un penchant pour ce qui habite dans une porcherie et le font savoir par de « jolis surnoms », censés de faire monter le désir féminin. Passons, même si de telles attitudes m'agacent profondément. Au lieu de se décarcasser pour donner envie à la dame de pousser loin la séduction, on veut faire croire que c'est par recours à la grossièreté (la fameuse sca...ologie verbale) que se crée l'émoustillement.

Enfin, devant son chéri le petit geste, le petit mouvement se charge d'une autre signification et devient source de bonheur conjugal. J'aime quand mon chéri se montre un peu grognon pour la forme :

T’empêches de me concentrer, isabelle !

Ben, c'est le but non ?

Puis parfois il me menace même d'une fessée, si je n’arrête pas mes provocations !

Je suis de plus en plus convaincue que le basic instinct c'est truc plus fort que bien de messieurs.

Ils ont beau de se plaindre, de faire semblant d'ignorer, de menacer de sanctions, rien n'y fait. C'est le démarrage garanti au quart de tour. La suite est habituellement de classique, un peu n'importe où dans la maison (en absence des enfants!). Donc cqfd !

Et s'il y a une fessée qui s'ensuit ?

La preuve flagrante que ne n'aie pas forcement tort avec mon intuition. Car cette fessée dévie très vite sur le terrain qu'elle est censée dans son sens primaire de combattre :

La dépravation des mœurs ! ...cqfd !


Bon, certains y voient une attitude de soumission tout simplement parce que Madame prend une pose qui exalte les instincts naturels de son mâle.Comme si la sexualité humaine se réduisait si facilement à un jeu de pouvoir. A ce tarif là, on peut aussi considérer les choses dans le sens inverse. Madame exerce un pouvoir naturel sur la chose du monsieur et le monsieur qu'il le veuille ou pas se sent fortement troublé. Enfin chacun son sens d'interprétation. Pour ma part j'aime bien les positions indécentes pour la fessée. L'enjeu étant chez nous que la punition reste une punition, j'adore quand le pantalon de mon chéri commence méchamment à lui serrer au point qu'il soit obligé de glisser une main dedans (bonjour le glamour!) pour mettre un peu d'ordre dans ses affaires. Voila le petit réconfort avant que les choses ne se gâtent pour mon derrière.

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !



Punition scolaire (petit clip)









Un collectionneur?








4 commentaires:

  1. Bonjour et bonne année (il est encore temps).
    La photo "Leçon retenue" ressemble beaucoup à ce qui se passe chez nous en ce moment. En fin d'année, disons que madame a fait quelques écarts, et cela se solde maintenant par une reprise en main et de fréquentes fessées. Elle est punie pour quelques semaines, avec un programme assez strict, une fessée hebdomadaire et chaque écart est sanctionné par une autre punition.
    J'ai même remis le martinet accroché dans la chambre, comme au début de notre relation (nous ne pensions pas que cela serait à nouveau le cas), et cela rappelle beaucoup de souvenirs à mon épouse, lui rappelle qu'elle est punie, mais nous unit également
    Milu

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  2. Il n'est jamais trop tard ! Une bonne et heureuse année à vous aussi cher Milu. Ah ces fâcheux relâchements. Autant du bon comportement de la dame, comme la vigilance du monsieur envers d’éventuels écarts. J'aime beaucoup l'ambiance du martinet accroché. Le petit frisson quand on a pas été sages, mais aussi le petit frisson de la file sage qui n'a rien à se reprocher. Des petits rituels qui comme vous dites si bien... unissent !

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  3. Bonjour Isabelle,

    Vous allez sans doute sourire de moi, mais ce n’est qu’après avoir regardé votre clip que j’ai compris le sens de votre billet intitulé « Basic Instinct » et que je me suis souvenue de cette scène avec Sharon Stone ….

    Cela dit, ne portant plus jamais de culotte comme vous le savez, mais étant naturellement prudente et réservée, je crois, du moins rien ne peut me faire penser le contraire, que jamais involontairement ou accidentellement, j’ai pu laisser voir à un tiers, inconnu ou non, ce détail vestimentaire ….

    J’ai déjà eu l’occasion de vous dire que mon mari, dès le début de notre liaison, a exigé que je sois « a-pudique », autrement dit qu’il soit l’arbitre, le juge unique, de ce que doit m’être à chaque instant ce que les gens appellent les signes extérieurs de pudeur. Il n’admettrait pas, il ne comprendrait pas, que je montre plus ou moins de réserve à être vue partiellement ou totalement nue, par exemple devant notre ami médecin qui me suit ou son épouse, au bord de notre piscine devant des amis ou de la famille, en vacances à l’ile du Levant ou autres lieux plus ou moins nudistes ou simplement lorsque des tenues légères, transparentes, sont admises, ou encore lorsque eut lieu le moulage de mon corps, etc, etc … Il a pu de même par exemple me faire relever ma jupe alors qu’avec des amis la conversation portait sur l’épilation supposée définitive du moins permanente.

    Mais cela ne veut aucun cas dire que je peux ou dois être impudique !

    Il serait choqué et surtout déçu par mon comportement si, de mon propre chef, autrement dit à ma seule initiative, je « jouais » à cela à l’égard d’un tiers, quel qu’il soit. Cela me vaudrait d’être bien punie et difficilement pardonnée. Moi-même, me connaissant, je ne peux m’imaginer agissant ainsi à moins que, d’une façon ou d’une autre, je pense que cela pourrait lui plaire, ou lui rendre service, ou que sais je, mais en aucun cas pour un autre motif.

    Je ne me vois pas non plus le faire pour le provoquer ! Cela ne peut même que me paraître inutile tant il m’étonne toujours, sans qu’il ne me semble avoir eu un comportement différent, par son talent à deviner les moments où tout en moi aspire à ses câlins. Ce qui se passe aussi, et qui me trouble tellement, c’est lorsque notamment ayant des soucis, il me fait venir, le plus souvent c’est dans son bureau à l’entreprise, pour que, debout bien en vue devant lui, il m’ordonne de relever jupe et jupon et de m’exposer en m’expliquant combien il lui plait « d’avoir grâce à moi un spectacle plaisant et chargé de promesses, utile pour l’apaiser et retrouver son allant et son énergie »……

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  4. Je pense sur bien de points de vue être a-pudique comme l'entend votre mari, chère Christine. Je suis à l'aise avec ma nudité quand les circonstances s'y prêtent, mais je n'exhibe pas ma nudité. Il est hors de question que je fasse profiter un inconnu du fait que je ne porte pas de culotte. Par contre quand c'est entre copines ou amis proches (en présence de mon homme), il ne me gêne pas quand la discussion aborde ce sujet de montrer très brièvement que je sais me passer de culotte. Je trouve que mon homme est pudique pour moi. A l'époque quand je me faisais encore épiler à la cire il aurait bien aimé d'assister à la séance. Mon esthéticienne était même d’accord, mais bon il ne sens pas à l'aise dans une telle situation. Hors de question aussi pour lui de mentionner que je suis épilée définitivement et encore moins de demander que je le montre. C'est son caractère et je l'aime tel qu'il est. Mais il ne me dérangerait nulle part s'il me demandait devant des proches de soulever ma jupe. Enfin, chaque couple ses habitudes. Je vois le point en commun, la nudité inspirante et pour se ressourcer. Voyez pour ma part, je sais quand mon homme se sent débordé, épuisé ou en besoin de s échanger des idées. Alors je suis là et je sais comment lui changer justement les idées.

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