Comme
quoi la petite enfance n'y est pas pour rien !
Je suis toujours épatée de toutes ces
personnes bien-pensantes qui nient tout lien entre notre sujet et la
petite enfance. Voici donc un petit texte à la recherche du temps
perdu.
Je me souviens encore quand j'étais
petite gamine avec quel plaisir j'aimais montrer mes fesses toutes
nues . Puis j'ai dû apprendre que cela ne se faisait pas par
convention sociale et par conséquent j'ai du laisser de côté ce
petit jeu. On m'a fait renoncer en douceur, sans me bousculer, sans
me gronder et surtout sans me vexer ou blesser mon narcissisme.
Ce
qui a abouti à une image (très) positive de mon corps.
Toutefois je n'ai jamais perdu le goût
et cette sensation émoustillante dans une situation qui s'y prête,
de pouvoir compter sur les charmer de mon derrière au naturel. Sans
oublier ce que l'on pourrait appeler une sorte de sublimation, sa
mise en valeur par le vêtement dont le choix reflète selon un texte
presque centenaire le compromis personnel du porteur entre son sens
d'exhibitionnisme et le refoulement de ce dernier, la pudeur donc.
Je passe beaucoup de temps à choisir
des vêtements qui mettent mon postérieur en valeur. En choisissant
quand cela s'avère avantageux une, voire deux tailles trop petites
pour un effet super-bombé.
Bref
j'ai pris très tôt l'habitude d'avoir recours à mon fessier en
matière de séduction.
Ma confiance en mon fessier fut
largement confortée par les princes charmants à partir de mon
adolescence. Plus tard, étant jeune célibataire, même quand je
partais pour me réjouir d'un beau paysage de montagne, je n'oubliais
jamais un emballage revalorisant pour mon postérieur. Une sage
décision d'ailleurs car quand j'ai fait rencontre avec mon homme,
j'ai vu son regard s'attarder sur mon jeans très moulant. Enfin
c'était réciproque. Moi aussi j'ai flashé sur ses fesses dans un
501 noir, très moulant. Quoique un peu trop délavé à mon goût.
Voila pour dire que le mélange entre
mes désirs d’exhibition et la convention sociale de devoir cacher
l'objet de ma fierté a créé en moi une sorte d'effet fruit
défendu.
Mais
seulement quand il s'agit de me préparer pour une fessée punitive!
Quand il s'agit par exemple d'un
interlude
coquin lors d'une randonnée les choses sont toutes autres.
J'aime que mon chéri me fournisse
l'écho à mes fantaisies punitives !
Allez
jeune dame, en tenue de punition !
Cette étape m'est très importante.
J'aime que les formulations changent, j'aime que le ton change, qu'il
soit parfois sévère, parfois ironique, parfois moquer. Toutefois,
sujet très délicat, à éviter les associations malhabiles (pour
éviter le terme insultant). Car effectivement, même bien consciente
de mes formes et fière d'elles, un mauvais mot peut tout gâcher.
D'ailleurs je ne suis ni un animal, ni une sal...pe.
Bref
c'est le mot bien choisi qui prépare littéralement le terrain.
Alors quand je dois baisser ma culotte
pour recevoir une bonne fessée punitive il y a d'un côté m'a
pudeur qui se réveille. Pourtant habituellement dotée d'un sommeil
aussi profond que celui de belle au bois dormant. De l'autre côté
le plaisir déculpabilisant du « devoir faire », dans le
but de...
...satisfaire
mon désir de pouvoir montrer mon «c...l nu » à une personne
qui s'y intéresse vraiment.
Et comme s'il lisait dans mes pensées
de vilaine fille qui non seulement compte bien provoquer de manière
la plus charnelle et éhontée son prince charmant, mais qui aussi
jouit de cette situation, il ne se gêne pas de passer à l'acte pour
m'appliquer cette fessée incontestablement bien méritée selon ma
logique fantasmatique...
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