mercredi 6 janvier 2016

816 Séduire avec ses fesses

Comme quoi la petite enfance n'y est pas pour rien !

Je suis toujours épatée de toutes ces personnes bien-pensantes qui nient tout lien entre notre sujet et la petite enfance. Voici donc un petit texte à la recherche du temps perdu.

Je me souviens encore quand j'étais petite gamine avec quel plaisir j'aimais montrer mes fesses toutes nues . Puis j'ai dû apprendre que cela ne se faisait pas par convention sociale et par conséquent j'ai du laisser de côté ce petit jeu. On m'a fait renoncer en douceur, sans me bousculer, sans me gronder et surtout sans me vexer ou blesser mon narcissisme.

Ce qui a abouti à une image (très) positive de mon corps.

Toutefois je n'ai jamais perdu le goût et cette sensation émoustillante dans une situation qui s'y prête, de pouvoir compter sur les charmer de mon derrière au naturel. Sans oublier ce que l'on pourrait appeler une sorte de sublimation, sa mise en valeur par le vêtement dont le choix reflète selon un texte presque centenaire le compromis personnel du porteur entre son sens d'exhibitionnisme et le refoulement de ce dernier, la pudeur donc.

Je passe beaucoup de temps à choisir des vêtements qui mettent mon postérieur en valeur. En choisissant quand cela s'avère avantageux une, voire deux tailles trop petites pour un effet super-bombé.

Bref j'ai pris très tôt l'habitude d'avoir recours à mon fessier en matière de séduction.

Ma confiance en mon fessier fut largement confortée par les princes charmants à partir de mon adolescence. Plus tard, étant jeune célibataire, même quand je partais pour me réjouir d'un beau paysage de montagne, je n'oubliais jamais un emballage revalorisant pour mon postérieur. Une sage décision d'ailleurs car quand j'ai fait rencontre avec mon homme, j'ai vu son regard s'attarder sur mon jeans très moulant. Enfin c'était réciproque. Moi aussi j'ai flashé sur ses fesses dans un 501 noir, très moulant. Quoique un peu trop délavé à mon goût.

Voila pour dire que le mélange entre mes désirs d’exhibition et la convention sociale de devoir cacher l'objet de ma fierté a créé en moi une sorte d'effet fruit défendu.

Mais seulement quand il s'agit de me préparer pour une fessée punitive!

Quand il s'agit par exemple d'un interlude coquin lors d'une randonnée les choses sont toutes autres.

J'aime que mon chéri me fournisse l'écho à mes fantaisies punitives !

Allez jeune dame, en tenue de punition !

Cette étape m'est très importante. J'aime que les formulations changent, j'aime que le ton change, qu'il soit parfois sévère, parfois ironique, parfois moquer. Toutefois, sujet très délicat, à éviter les associations malhabiles (pour éviter le terme insultant). Car effectivement, même bien consciente de mes formes et fière d'elles, un mauvais mot peut tout gâcher. D'ailleurs je ne suis ni un animal, ni une sal...pe.

Bref c'est le mot bien choisi qui prépare littéralement le terrain.

Alors quand je dois baisser ma culotte pour recevoir une bonne fessée punitive il y a d'un côté m'a pudeur qui se réveille. Pourtant habituellement dotée d'un sommeil aussi profond que celui de belle au bois dormant. De l'autre côté le plaisir déculpabilisant du « devoir faire », dans le but de...

...satisfaire mon désir de pouvoir montrer mon «c...l nu » à une personne qui s'y intéresse vraiment.

Et comme s'il lisait dans mes pensées de vilaine fille qui non seulement compte bien provoquer de manière la plus charnelle et éhontée son prince charmant, mais qui aussi jouit de cette situation, il ne se gêne pas de passer à l'acte pour m'appliquer cette fessée incontestablement bien méritée selon ma logique fantasmatique...

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