(Suite de : 445
Une correction au bureau paternel )
Jeune dame,
dès que possible nous allons avoir une sérieuse discussion !
Ah mon chéri quand il parle avec ses
yeux. C'est tout un poème comme il sait se montrer expressif. Pas
besoin d'un manuel pour bien le comprendre. En ce début de vacances
il n'était pas vraiment en colère contre moi, mais disons très
agacé de me voir sans cesser mettre sa pudicité à une rude
épreuve. A croire que sa main le démangeait pour me pencher sur ses
genoux pour une très claquante fessée... devant mes parents.
Tu
as vu Maman, ce qu'il me fait ?
Tu l'as
cherchée, ma fille.
Enfin non, là ce sont plutôt mes
propres rêveries hollywoodiennes qui s'expriment. Ma notion très
particulière du romantisme à l'ancienne. Notre couple étant bien
jeune, nous avions pas encore pu accorder nos habitudes respectives.
Tandis que mes parents me trouvèrent dans mon élément, fidèle à
moi-même, mon chéri se demanda ce qui était en train de lui
arriver. Bref, il était gêné de la façon dont je me comportait et
le fait d'être gêné l’énervait rudement. Il a dû prendre son
mal en patience. Hors de question de me corriger dans notre chambre,
car le bruit des claques ne pouvait échapper à mes parents. Se créa
ainsi une superbe ambiance d'un orage qui se prépare. J'avais
l'impression de sentir en permanence le regard de monsieur sur mon
derrière. Et par conséquence, émoustillée par tant d'attention,
j'ai commencé à me montrer encore plus provocante que d'habitude.
De me baisser, en aidant ma maman dans la cuisine, de façon de bien
faire remonter ma jupe. En prenant des poses et expressions du visage
qui ne laissent aucun doute que leur but vise de stimuler la virilité
du monsieur. Visiblement les petits trucs de mon jeu de séduction ne
le laissaient pas de marbre. Par conséquence mon chéri se trouva
bientôt sacrément tendu du pantalon. Et là, où dans notre
intimité il peut se jeter en toute tranquillité sur moi, sans qu'il
ait question de me corriger, il s'est senti maintenant empêché dans
ses élans par ses bonnes manières envers mes parents. Voila ce
qu'il appelle depuis du harcèlement malhonnête de ma part ! Je
trouve que ce le terme convient bien et nous sommes d'accord tous les
deux sur les modalités de payer pour mon audace. En fait, j'ai
toujours aimé m'imaginer punie pour mes initiatives trop poussées
envers un monsieur. La carotte de la punition c'est le petit surplus
qui fait déborder le vase, qui me désinhibe et je peux me montrer
redoutable. Bon, il en va de soi que sur ce point notre discipline
domestique se veut plutôt récréative. Car je me verrais mal avec un
authentique coincé de la braguette qui trouve indécent un tel
comportement de la part d'une femme. Mais retenons quand même que la
position de mon chéri n'est pas toujours facile. Notamment quand je
m'emporte dans un contexte de proches, de ma famille. Et ne
sous-estimons pas le côté d'agacement qui me semble nécessaire
pour que ma punition devienne réellement épicée. Alors une fois
mes parents partis en vacances, mon chéri pu enfin laisser libérer
ses émotions :
Prépare tes
fesses, isabelle ! Nous avons du retard à rattraper.
C'est ainsi que nous nous sommes
glissés dans le bureau de mon papa. Pour une séance éducative
concernant mes insolences et provocations. Comme par hasard, je
portais ce jour-là un jeans de plus serré ! J'avais trop envie
- sachant mes parents partir – de me remettre dans le contexte de
mon adolescence pour enfin réaliser un de mes veux rêves
disciplinaires. De plus je connais très bien l'effet d'une insolente
garçonne sur mon homme. Notamment quand je frotte mon derrière
contre lui. Il a horreur de cela... car je sais m'y prendre en public
dans un moment discret pour le laisser, le pauvre, avec une sacré
bosse dans son pantalon. Enfin pas chez mes parents. Pas envie de le
fâcher vraiment pour de bon.
Quand il m'a demandé de baisser mon
jeans, j'étais surprise de découvrir à quel point ce geste m'était
déjà devenu naturel. En fait il m'avait suffit de quelques mois de
discipline domestique pour prendre de bons réflexes. J'ai très vite
pris un réel plaisir d'être mise au pas, car au fond mes punitions
coïncident grosso modo avec mes irrationalités. Certes mon homme a
ajouté quelques touches du chef, pas bien méchantes, mais ayant une
constitution psychique plutôt polymorphe, j'ai su vite m'y adapter.
Par exemple il considère les collants ouverts presque comme une
insulte personnelle. Si je veux une correction à coup sur, il suffit
que j'en mette un. Pourtant j'adore ce vêtement qui combine les
avantage du collant et des bas. Et j'en portai souvent au travail
pour éviter les marque de jarretelles sous une jupe ou robe.
Une fois mon jeans aux chevilles, j'ai
offert à mon homme une vue imprenable sur une belle culotte imprimée
en coton à dominante blanche. Une de celles qui donnent un effet
tirelire sur une dame intégralement épilée. Mon homme quelque peu
impressionné par l'environnement, celui de mon enfance, du lieu
d'études de mon papa, par mon jeans baissé, par moi penchée en
avant en attendant sa décision de me déculotter ou de me demander
d'accomplir cet acte par moi-même a pris son temps. Il a savouré un
instant tellement précieux qui mettait en relief toute une panoplie
de rêveries de mon adolescence. Et de la sienne aussi. Je voyais
bien qu'il a dû rêver à cette époque de corriger une de ces
insolentes filles qui savent si bien lui faire tourner sa tête de
jeune homme sans toutefois répondre à ses avances.
A suivre...
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