mercredi 15 janvier 2014

457 Coquetterie punie

Les petites histoires cuisantes qui me font rêver sont nombreuses !

Parmi tant d’autres j’adore la fessée pour abus de coquetterie. En jolie tenue d’antan avec un provocant air de pin-up. Fantasme qui semble inspiré par le féminisme ambiant de mon enfance. Comme son contre coup. Cela dû se greffer sur les rêveries de ma petite enfance au moment de mon adolescence. Quand j’étais à la recherche comment vivre ma féminité. Être une femme (ostensiblement) féminine était à cette époque entourée d’un air malfamé. Et il y avait une partie « raisonnable » en moi qui voulait s’adapter à tout prix aux conventions sociales. Au détriment de mon désir.

Le goût du temps prônait la femme libérée. En s’attardant sur l'aspect caricatural de cette notion. Selon ma compréhension personnelle dans le sens d’une femme qui se met à la disposition des messieurs pour prouver l'ouverture de son esprit. Et celle qui n’accepte pas ce jeu, hein bien, elle n’ést pas libérée. Comme moi qui ne rêvait pas d’aventures libertines, mais de l’arrivé du prince charmant en vu de former un couple.

Toutefois c’est le féminisme, le vrai, qui m’a sortie de cette impasse. En me fournissant des réponses satisfaisantes à mes questions concernant le rôle social de la femme. Intervenir sur le monde avec les mêmes droits qu’un homme, n’est pas synonyme d’adapter ce principe dans sa vie intime. C’est un espace privé qui ne concerne les deux partenaires.

Et être libérée en ce domaine veut dire pour moi, qu’une femme puisse parler librement de ses désirs à son/un homme et se donner des moyens de les réaliser sans qu'elle se sente en proie d’un jugement moral.

Puis c’est la psychanalyse qui m’a fourni les réponses en matière de réalisation de mon désir. Elle m’a d’abord permis de le cerner en détail. J’ai découvert un mode de pensée qui permet de distinguer entre mes éléments subjectifs et objectifs. Entre opinion et fait. Qui permet de regarder ses propres fantasmes avec bienveillance, détachés de la notion de la normalité qui s’oppose à l’individualité. Comme une sorte de création personnelle qu'il ne faut ni surestimer, ni sous-estimer. Tout est dans le bon compromis.

Alors oui, j’ai un faible pour que ma coquetterie devienne motif de ma punition. J’aime qu’elle intervienne pour mes audace vestimentaires. Par exemple quand j’essaie de la jolie lingerie ou de costumes inspirants et que je sorte de la cabine d’essayage pour faire justement la coquette. Monsieur veille que je ne dépasse pas les bornes en semi public. Et si cela arrive, c’est la fête à la maison. Je suis particulièrement émue quand je reçois une correction pour cette raison.

De me retrouver toute nue sans artifices sur ses genoux avec vue sur mes jolis habits soigneusement pliés avant l’acte.

Ou encore quand il me passe sur ses genoux dans la tenue qui a causé ma punition. Une heure avant je me trouvais encore en train de faire la coquette et maintenant j’apprends que je n’ai pas encore dépassé l’âge de la déculottée. Bon tout ceci n’est certainement pas bien raisonnable, mais cela fait tellement de bien de pouvoir vivre ses petites irrationalités dans un cadre amoureux. La bonne humeur générale du couple en profite et pour nous c’est l’essentiel.

Dans de telles situations je fonds facilement en larmes. L’émotion est tellement forte. Monsieur comprend trop bien mes incohérences. Il en tient compte avec fermeté. Larmes libératrice, un fessier bien rouge qui ne va pas tarder par sa chaleur de me procurer d’effets secondaires et l’impression de sentir le désir de mon homme dans mon dos pendant que je fais du coin. Avec la perspective de corvées de ménage à faire comme punition supplémentaire. Et ceci en tenue provocante, mais les fesses en l'air. Puis à l’horizon une réconciliation de rêve plus tard au moment de se coucher. Oui mon couple correspond bien à mes attentes d’adolescence. Il me donne de l’énergie et la joie de vivre…

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire