dimanche 2 juin 2013

346 La fessée au cinéma (#12)


Il était une fois...

...un drôle de village ou régnait la fessée joyeuse !



Les hauts et les bas de la vie d'un bricoleur, pour en faire une rudimentaire traduction en français. Encore un de ces film des années 70 qui semble respirer la bonne humeur de la libération sexuelle. En voyant les quelques extrait j'ai l'impression que les acteurs s'amusent réellement. Notamment ce jovial magistrat qui habite au village de notre bricoleur et qui voue une passion immodérée aux derrières de jeunes dames et plus particulièrement pour les claquer. Nous sommes loin du cliché scolaire de l'éducation anglaise et des mines constipées des professeurs qu'y sévissent. Parfois je me dis rien que de fréquenter des tels messieurs tristounets c'est la pire punition qui puisse arriver à une dame. Enfin, je ne suis pas représentative et plutôt attirée par le rire et la bonne humeur. Quand je vois la joie de mon homme quand il s'agit de me corriger une fois de plus, nous sommes loin du compagnon peiné par les mauvais comportement de sa dame et qui de plus ne retient pas ses leçons. J'adore le piquant de ses petites et grandes moqueries pendant qu'il me prépare, ses gestes théâtrales comme se retourner les manches, se desserrer la cravate quand il en porte une. Sa façon particulière de décrocher le martinet, de le tester sur sa main avant de me le passer sur le derrière. Bref, cela vie d'émotions positives qui donnent écho à la construction de mon fantasme. J'ai tendance de voir mon souterrain avec beaucoup de recul et je suis plutôt amusée par les étrangetés qui me font vibrer. Ce qui n'exclut pas ma propre mine … parfois très constipée quand je me penche pour ma correction. Mes accès de colère et mes insultes pendant que mon fessier prend son juste châtiment. Tout cela fait partie d'un cérémoniel de rédemption hystérique, fort bruyant non seulement pour le travail sur ma peau et très burlesque. Terriblement efficace, mettant ainsi à vif ma tension nerveuse qu'à la fin de la procédure mes larmes coulent de source. Bref on comprend que j'aime regarder les messieurs qui s'y prennent avec un réel plaisir. Qui sont en osmose en ce grand moment avec.. le derrière de la dame et je leur accorde volontairement de lâcher une bonne partie de leur retenue. Enfin pas trop, je n'ai pas envie non plus de m'exposer à un « prend ça sal.. ».

Venons au premier extrait de ce film. Celui du chasseur avec son beau costume, son air vif et qui tombe sur une proie consentante qui se fait remarquer en soulevant sa jupe et en bougeant en pleine foret son joli popotin couvert d'une superbe culotte blanche. Porte-jarretelles blanc et bien sage et des bas noirs pour enflammer un nostalgique. Un mélange qui prend et voilà notre magistrat en pleine extase. C'est tellement joli à espionner. Il y a cet petit air de punition pour audace. Une fille sage ne remue pas son derrière pour attraper un homme. Petit cliché moralisateur qui donne du piquant à l'acte. Puis malgré l'aspect ludique, la correction me semble bien ardente. Ne sous-estimons jamais une main d'homme, stimulée par un fantasme claquant. Épreuve de force parfois, notamment pour un Monsieur phallique jeune dans sa tête qui cherche de se positionner envers la gente féminine en testant le cuir du postérieur par une bonne tanné. Alors qui est le plus solide ? Main masculine ou séant féminin. La réponse me paraît assez claire. Pour ma part j'ai un fessier très ferme, donc mains sensibles s'abstenir. Ceci dit, je ne me surestime pas non plus. Parenthèse : J'ai connu il y a longtemps un monsieur qui était bûcheron de métier. De plus forgeron dans ses heureuse perdues et surtout par passion. Quand le l'ai vu forger un coin pour fendre du bois, je n'ai même pas essayé d'imaginer cette force de la nature s'appliquer sur un fessier de dame. Fin de la parenthèse. C'est si mignon de voir un monsieur comme dans le film à l'action, de s'acharner. Hein oui, certains hommes sont vraiment des grands garçons. La scène est brève et évocatrice et moi dans pareille situation avec mon homme je n'oublie jamais de bien bouger mes jambes. Moins pour m'y faire à la brûlure, mais pour offrir des aperçus les plus osés de mes parties intimes. De me montrer ainsi par fractions de secondes a pour effet de toucher directement l'inconscient et de rendre mon homme plus tard terriblement efficace.

Dans ce drôle de village en claquait les popotins...


Il en va de soi que cette scène me ravit également. « You can leave your hat on, version années 70 et - comble d'extase - un homme en chaussettes. Si cela tenait à moi, je réinstaurerais les porte-chaussettes pour messieurs dans certaines situations. J'en ai même offert à mon homme. Bon je passe sur la poésie de mes fantasmes chippendale :

Tais toi isabelle! Sinon ton derrière va fumer ce soir !

D'accord je me calme. Mais l'effet de l'eau chaude sur la libido est bien connu. Il en est de même de se trouver sur les genoux d'un homme et « last not least » de recevoir quelques bruyantes claques. Voila de quoi pour faire pétiller les yeux de la dame. Il y a encore mieux, le sauna à mon goût perso, mais ceci est une autre histoire et à part une séries de photos dans ce sens je ne connais aucun extrait de film qui aborde cette thématique. Mais ne soyons pas trop exigeants. Je suis tout simplement séduite par ce petit film. Mais les prouesses de notre magistrat ne s’arrêtent pas là. Cette fois-ci, cela se passe...


Alors là, ils ont fait fort. Du tapage joliment mis en scène. Puis un finale qui force le monsieur de se détacher de son obscur objet de désir. Et cela lui coûte... un rude effort. Et aussitôt je pense à mon chéri, comme il peut s’énerver quand le téléphone sonne pendant qu'il est en train de m'apprendre les bonnes manières sur ses genoux. Très professionnellement, il s’arrête après un court et très fort crescendo le temps de quelques sonneries, en me gardant en place au chaud pour plus tard. Car quand il est dans son bureau il est sensé de travailler et non pas de s'occuper du fessier de sa petite femme. Ceci dit j'aime beaucoup la pause téléphone. Parfois Monsieur se laisse aller. Oh le vilain. Il commence à me caresser tout timidement, puis sa main s'égare. Petit non-dit entre nous. Pour une fois la punition est suspendue. Et selon la longueur de la discussion, il m'est arrivé de me sentir si bien à l'aise au point de pousser quelques soupirs non équivoques. Quand il est de l'humeur particulièrement ludique, il lui arrive aussi en téléphonant de me prendre la température. Manière de vérifier la qualité de son travail. Le petit thermomètre se trouve avec ses stylos. Donc à porté de main. Comme beaucoup d'amateurs de plaisirs cuisante, il est méticuleux, ordonné et organisé. J'ai l'impression quand il s'agit des coups de fils très importants qu'il puise sa force du tripotage de mon auguste derrière et il va autant au fond du sujet que sa main s'enfonce entre mes globes.

Non, mais tu n'as pas honte chéri !

J'ajoute une petite scène très mignonne sans rapport avec notre sujet. En ce village enchanté vivait aussi une dame qui posait pour des photos d'amateur.


Hélas je crains que de poser pour un grand timide qui transpire à grosses gouttes restera à toujours un fantasme pour bien de femmes. La tentation de l'initier aux joies de la chair peu orthodoxes est grande, mais demande une technique de séduction en acier pour ne pas se décourager sur la route....

6 commentaires:

  1. Alors là... Je dois avouer que le visionnage du deuxième extrait m'a bien fait rire. Je n'ai pas comme toi le fantasme de la nudité seulement parée par un chapeau melon et des chaussettes. Mais il est vrai que la joie du monsieur à donner la fessée fait plaisir à voir. Et puis, je critique, je critique, mais le port du chapeau semble bien pratique pour éviter d'avoir de l'eau dans les yeux. (ce qui est très handicapant. Quand je prends une douche avec Simon et qu'il me lave les cheveux, il paraît qu'avec mes yeux plissés et mon nez en l'air je ressemble à un petit chien à qui on donne son bain.)

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  2. Parfois je me demande s'il s'agit vraiment d'un fantasme de ma part ou un goût pour les tenues délirantes. Vu la faible érotisation je pencherait pour la deuxième option. Je n'avais pas pensé au côté pratique du chapeau sous la douche. Par contre je constate qu'une fois de plus vous vous amusez bien. C'est beau l'amour !

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  3. Amusant comme chez vous la mesure a lieu pendant la fessée, en quelque sorte pour surveiller la cuisson; d'ailleurs, avez-vous constaté une hausse?

    Chez nous cette vérification est parfois associée à la fessée: elle est quasi systématique avant une correction pour comportement désagréable (grognon, énervé..), afin de déterminer si celui-ci pourrait avoir une cause médicale, appelant traitement et non punition (ce qui a été très rarement le cas; il me semble me rappeler que la conséquence avait été 'un suppo et au lit').

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  4. La prise de la température est vraiment un élément très ludique chez nous qui me rappelle en quelque sorte les jeux de docteur de mon enfance. Je suis une excellente patiente et je me laisse faire. Evidemment tant que cela reste dans des petits manoeuvres douces. Ceci dit à moins que j'aie la fièvre la température ne change pas, vu l'endroit où elle se mesure.Je suis également sensible à la poésie du mot traitement. Cela me donne toujours des petits frissons

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  5. L'exercice physique peut provoquer une hausse de température corporelle... mais il est vrai que lorsqu'on reçoit une fessée, c'est plutôt le fesseur qui fait de l'exercice que l'inverse!

    Oui, c'est ludique et en même temps honteux.

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  6. Effectivement. Plus d'une fois j'ai vu mon homme en nage. Effort physique ou émotions fortes. J'opterais pour un subtil mélange.

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