jeudi 12 mai 2016

875 Les confidences intimes d'Anne-Sophie 3


Et comme dans la semaine dernière je poste mon commentaire... dans les commentaires. Voici la suite :

10. J'aime la soumission mais ne suis en aucun cas une masochiste.

Savoir que la moindre bêtise sera sanctionnée d'une fessée ça me rassure. La fessée permet de me rendre plus sage, elle me permet de comprendre que je dois bien me comporter. Si je ne me soumets pas aux règles et bien je reçois la fessée.

J'ai appris grâce à la fessée que c'est très confortable de se soumettre à l'autorité. J'ai réalisé que c'est apaisant et rassurant de savoir que quelqu'un d'autoritaire et strict me fasse évoluer dans le bon sens.
Jean Philibert me donne la fessée dès que j'agis mal et il me félicite si je progresse.

Il me demande de faire certaines choses pour mon bien. Par exemple lorsqu'il constate que je suis fatiguée il exige que je ne veille pas après 22 heures. Et si je désobéis c'est la fessée. Jean Philibert n'admet pas que je fasse des caprices alimentaires. Je veux systématiquement laisser de la nourriture dans mon assiette. Jean Philibert me dit alors: "Tu finis ton assiette ou c'est la fessée!".

J'aime me soumettre aux exigences de mon loulou. De plus ce ne sont que des exigences sensées. J'aime devoir obéir et je déplorerais même le fait de ne pas avoir assez souvent de contraintes, je souhaiterais avoir à obéir davantage encore. J'éprouve de plus en plus de plaisir dans la soumission. Je me sens protégée dans la soumission. Je me sens aimée dans la soumission.

En revanche je n'aime pas la douleur physique que me provoque la fessée. C'est la soumission qui excite mes sens. C'est la "fessée mentale" qui me plaît. L'idée d'être punie m'excite.

L'idée de recevoir la fessée me plaît. Mais recevoir la fessée me déplaît. C'est en ce sens que je ne me définis pas comme une masochiste. (Une personne masochiste prend du plaisir à recevoir une fessée;ce qui n'est pas mon cas).

11. L'importance des mots.

Dans la fessée ce sont tout particulièrement les mots que j'aime et ce sont les maux que je n'aime pas.

Je vais vous énumérer les nombreuses phrases qui déclenchent chez moi une forte excitation. Et sans cette excitation, la crainte et le respect de mon "Maître"ne peuvent être ressentis.

Ainsi, comme j'intellectualise la fessée, voici les mots que j'aime lire ou entendre:

-Tu vas recevoir une sacrée bonne fessée.
-Tu as mérité la fessée.
-Tu dois être punie et c'est donc une bonne déculottée que tu vas recevoir.
-Tu n'as pas été sage?Tu vas avoir la fessée.
-Tu ne vas pas échapper à la fessée.
-Tu peux être sûre que tu vas recevoir une bonne fessée déculottée.
-Je vais baisser ta culotte et te flanquer une sacrée bonne dérouillée.
-Je vais descendre ta culotte et te donner la fessée.
-Ce soir tu auras la fessée.
-Tu dois être punie et tu vas donc recevoir la fessée et tu iras au coin 6 minutes.
-Tu ne comprends que par la fessée.
etc

Comme vous pouvez le constater le mot "fessée" est récurant dans toutes ces phrases qui me sont indispensables. Ce mot "fessée"déclenche en moi une vive émotion.
 
Plus que les maux ce sont les mots que j'aime dans la fessée !
  
Merci Anne-Sophie  pour ces belles réflexions !

27 commentaires:

  1. Pour ma part aussi j'ai un rapport de plus positif envers l'autorité de mon homme. Les qualificatifs « rassurant » et « apaisant » me conviennent très bien dans un tel contexte. Il y a vraiment beaucoup de parallèles avec ce que je ressens dans le paragraphe sur le masochisme. Surtout celle-ci :

    « L'idée de recevoir la fessée me plaît. Mais recevoir la fessée me déplaît. »

    Enfin, je peux aussi me montrer polymorphe en trouvant un certain plaisir dans la sensation de la « fessée vicieuse »...

    Quant au vocabulaire, ne sous-estimons pas son importance. Je pense que dans certains constructions du fantasme un monsieur habile avec ses mots est capable de procurer autant, voire plus de jolies émotions à sa dame qu'un monsieur habile avec ses mains. Comme dit si joliment Anne-Sophie :

    « Plus que les maux ce sont les mots que j'aime dans la fessée ! »

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  2. Bonsoir Isabelle,

    Cette coquine d'Anne-Sophie semble à la fois redouter la fessée et tout faire pour la recevoir et au final, elle mène son compagnon par le bout du... martinet. on irait presque à dire qu'elle accumule les erreurs pour mieux se délecter de sa propre punition. Il me semble que personne n'est dupe des intentions de l'autre. Rires.
    Je suis bien d'accord pour l'importance et le poids des mots dans l'imaginaire fantasmatique. Les mots permettent d'habiller nos fantasmes à la manière d'un styliste de mode qui retouche ses créations.
    Moi-même, quant j'étais ado, les mots écrits dans le dico comme fessée, punition, gronder, férule et d'autres alimentaient mes fantasmes et enclenchaient la roue de mon imaginaire... Mais à l'époque, je n'avais pas le réflexe de mettre en image mes fantasmes. "Mettre des mots sur les maux" avait dit un poète. Cela m'est venu il y a une bonne douzaine d'années. La honte de dévoiler mon jardin secret peut-être ? Je ne saurais le dire.
    Mac-Miche.

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  3. Jean-Philibert12 mai 2016 à 21:43

    Je voudrais réagir car non, Anne-Sophie ne fait pas tout pour recevoir la fessée ! Je peux témoigner des progrès considérables dans de très nombreux domaines qu'elle a fait grâce à la discipline très stricte à laquelle je la soumets. Anne-Sophie avait notamment une addiction très forte au sucre dont elle n'avait jamais réussi à se défaire. Aujourd'hui, son addiction a quasiment disparu. Il n'a suffi que de quelques mois et Anne-Sophie a fondu comme neige au soleil ! Bien sûr, au début, cela a été difficile et Anne-Sophie versait beaucoup de larmes presque chaque semaine, mais petit à petit, les écarts se sont espacés pour devenir de plus en plus rares et aujourd'hui ils sont exceptionnels.
    La clé de la réussite passe par une extrême rigueur : Anne-Sophie sait que le moindre écart de sucre, même très petit, sera sanctionné par une fessée magistrale. Ce que nous appelons chez nous une "fessée magistrale" commence par une fessée donnée très fortement pendant 5min et qui alterne fessée à la main et fessée au paddle (en cuir). Cette fessée se poursuit par une fessée au martinet : 100 coups donnés très fortement. Je finis de punir Anne-Sophie en l'envoyant au coin quelques minutes.
    Je précise qu'un écart peut impliquer plusieurs fessées magistrales selon l'importance de l'écart, car il ne faut pas qu'Anne-Sophie se dise qu'elle peut "rentabiliser" son écart.
    Ainsi... J'expliquais que les écarts d'Anne-Sophie étaient aujourd'hui exceptionnels mais avant-hier, elle a craqué. Cela faisait très longtemps que ça ne lui était pas arrivé. Elle a bu une bouteille d'1,5L de coca zéro et elle a mangé un kinder. Ce week-end, je lui donnerai 4 fessées magistrales particulièrement sévères pour le coca zéro (au lieu de 5min de fessée main/paddle, ce sera 7 min). Je considère en effet que le coca zéro est un produit dangereux pour la santé car il contient de l'aspartame. C'est pourquoi je punis Anne-Sophie plus sévèrement encore que pour le sucre. Pour le kinder, je lui donnerai une seule fessée magistrale "normale".
    J'ai parlé de l'addiction au sucre mais il y a de nombreux autres domaines dans lesquels Anne-Sophie a progressé grâce à la fessée : les refus de finir son assiette, les caprices, les colères, les couchers tardifs, les écarts de langage, les fautes dans les textos/e-mails...
    En conclusion, dans notre couple, la fessée n'est pas un simple préliminaire coquin, comme ça l'est pour certains, mais elle a une réelle fonction disciplinaire qui donne au passage de très bons résultats ! Et si je suis sévère avec mon Anne-Sophie adorée, je suis aussi très fier de ses énormes progrès !!! Elle peut l'être aussi.

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  4. Cher Mac-Miche
    Je confirme les propos de Jean-Philibert.Les fessées qu'il m'administre sont loin d'être agréables.Ce n'est pas une partie de plaisir de recevoir de grosses déculottées !La preuve en est que je pleure souvent pendant la fessée.
    Est -ce que je trouve du plaisir à recevoir la fessée?
    Oui lorsqu'il s'agit d'une fessée préliminaire,une petite fessée érotique.
    Mais de ce qui est de la bonne fessée déculottée pour me punir,là non je n'en prends aucun plaisir.
    Vous prenez du plaisir à pleurer?Euh....pas moi en tous cas!!!!
    En revanche je prends beaucoup de plaisir à constater les résultats positifs qu'engendre la fessée sur moi.

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  5. Bonjour à vous...

    Il faut tout d'abord une bonne dose de confiance réciproque pour accepter une discipline dans le couple. Car chacun étant adulte, il y a aussi le sentiment d'orgueil qui s'interpose. On aurait l'impression de revenir à une situation d'infériorité, voire une sorte d'infantilisme.
    Mais "la fin justifie les moyens" dit-on. Seul compte le résultat et lorsque la méthode apporte ses fruits, la fierté rejaillit sur les deux partenaires, c'est certain. Fierté qui, j'imagine, renforce les sentiments amoureux de chacun.
    C'est très difficile de lutter contre soi-même et de corriger ses défauts, héritage inaliénable de notre personnalité. Ses "défauts" qui ne semblent l'être que pour les autres. Mais tout ce travail de correction exige une grande maitrise de soi et parfois l'aide de notre entourage est plus que souhaitée, voire vitale.
    Mac-Miche.

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  6. Bonjour,
    Je vois qu'il a beaucoup de similitudes entre le couple Anne-Sophie et le notre. Je suis également d'accord avec vous Mac-Miche, quand vous dîtes qu'il faut une grande dose de confiance réciproque pour que la discpline domestique soit instaurée, je crois que c'est le cas chez nous.
    Annick, mon épouse est punie assez régulièrement et cela depuis le début de notre rélation. Même si après la fessée, il y a une consolation, le terme de punie est bien celui qu'il faut employer, Annick, mon éponse est grondée, fessée, mise au coin et elle n'aime pas recevoir la fessée ou le martinet au moment de la punition.
    Est ce que l'emploi de la fessée l'a fait progresser au vu des rêgles de la maison? Oui c'est certain et tant mieux, elle en est fière et heureuse, elle me l'a dit souvent.
    Il reste que Mac-Miche met l'accent sur un sujet délicat. La discipline domestique (ou conjugale) change t'elle les relations dans le couple? Je ne peux répondre que pour notr cas et là encore Annick me l'a dit (ce sont ses termes): Même si ce n'est pas un retour en arrière pour elle, elle se sent petite, tenue, guidée, pafois aux ordres ou sous l'autorité de son mari et craint parfois mon retour à la maison (elle est au foyer comme on dit). Cela n'est pas pour elle une difficulté, car elle a en retour plus d'affection (là encore c'est elle qui le déclare), mais évidemment doit être bien compris et accepté par les deux membres du couple.
    Cela dit, je crois que nos sentiments se sont renforcés en partie grâce à la discipline conjugale, la fessée et le martinet. Comme tout couple, nous avons eu des difficultés, la fessée a parfois réglé certains soucis, pas plus tard que'en début d'année.
    Milu

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  7. Merci pour ce complément concernant la discipline domestique en couple, Monsieur Milu!

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  8. Hier soir Jean-Philibert ne m'a pas flanqué de bonnes fessées pour me punir de mes bêtises.Il s'est montré très indulgent et ultra permissif.Il m'a donné deux petites fessées à peine senties .Jean-Philibert n'a pas utilisé le paddle comme d'habitude ,je n'ai senti aucune douleur.Son attitude était tout sauf sévère.
    De plus il a accepté que j'aie un écart de langage et a refusé de me donner la fessée pour une bêtise que je faisais habituellement.
    Au coin j'ai du y rester que peu de temps et lorsqye je refusais de bien me comporter Jean -Philibert m'a à peine sanctionnée.
    résultat des courses ce matin:je ne me sens pas cadrée,je constate que ses fessées sont light car il a mal à la main et n'ose pas se servir du paddle .
    Sans autorité je ne crains plus mon loulou .J'ai alors une crainte:ne plus savoir qui domine ,qui a l'autorité dans le couple.
    Anne Sophie.

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  9. Merci pour ce commentaire fort instructif, chère Anne-Sophie. C'est un sujet que l'on trouvait abordé dans les premières textes en langue anglaise sur la DD, mais qui ne sont hélas plus en ligne. Évidement je ne pourrais expliquer les motivations de votre Monsieur pour cette « baisse de régime ». Mais je comprends votre crainte que le monsieur ne soit pas à la hauteur de sa tache. Le mieux me semble de lui en parler !

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  10. Bonjour Isabelle,

    On peut comprendre l'inquiétude de Anne-Sophie. Ou peut-être plus justement son angoisse. Les relations du couple sont dans ce cas précis bâties sur la DD avec un rôle pour chacun bien défini. C'est rassurant. Mais si l'un des deux semble s'ennuyer ou fatiguer dans son rôle alors l'autre conjoint, affolé, s'interroge et pourrait même rechercher dans son attitude une quelconque raison du "désintérêt" passager de l'autre. Enfin tant que ce désintérêt réside dans la méthode, ce n'est pas grave...
    On revoie sa copie et on repart sur d'autres bases.
    Dans un autre domaine, l'éducation des enfants est bâtie sur l'autorité impartie aux parents, seuls garants de la bonne marche du foyer même si la famille doit composer de nos jours avec les changements des relations en société.
    Autres temps, autres mœurs... Of course.
    Mac-Miche

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  11. Il serait effectivement intéressant d'avoir la version de Monsieur. Notons que les baisses de régime arrivent à tout le monde. Il y a des jours que mon homme "n'a pas la tête" pour me donner sa priorité. C'est humain.

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  12. "Quand le chat ne sévit pas la souris danse!".Je me suis mal comportée hier et ce matin encore j'ai refait une colère.Je m'en veux de mal agir quand mon Jean-Philibert me desserre.C'est très rare lorsqu'il se montre moins sévère et à chaque fois la conséquence est la même:je ne me sens plus cadrée,je perds mes repères et mon assurance et je fais alors bĕtise sur bêtise,colère sur colère.Je régresse et je m'engouffre dans la faille que m'offre mon Jean-Philibert.
    Jean-Philibert est conscientvd'avoir desserré un peu la vis et il m'a fait comprendre au téléphone qu'il le regrette amérement.
    Jean-Philibert avait constaté mes progrès et il avait jugé nécessaire de me montrer sa satisfaction en était moins sévère.

    Jean-Philibert m'a prévenue que dès ce soir il allait me corriger sévèrement pour lui avoir manqué de respzct et pour avoir fait toutes ces colères et caprices depuis mercredi.

    Jean-Phikibert me punit moins sévèrement un seul jour et hop j'en profite pour faire la vilaine!!!
    Je suis une vraie chipie.
    Incorrigible?Euh...non!Et Jean-Philibert va s'atteler à me corriger ce week-end.
    Il va me faire comprendre qui détient l'autorité dans la maison!!!
    Anne Sophie

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    1. Je l'espère pour vous. Notamment que vous mentionnez si bien dans votre texte la signification de l'autorité comme un élément rassurant et apaisant dans votre vie. Là encore je m'y retrouve bien!

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  13. Bonsoir Anne-Sophie,

    Au travers de vos confidences, vous laissez paraître une certaine angoisse. Vous semblez avoir des difficultés à pouvoir trouver un équilibre entre vos envies, ici votre gourmandise, et votre besoin de discipline.
    C'est du moins mon sentiment. Difficile de réfréner vos envies. Votre naturel reprend le dessus. Et c'est bien légitime au fond. Je n'ai aucune compétence dans ce domaine. Il faudrait rechercher un compromis. Concilier les deux penchants. A la manière d'un élixir et son antidote.
    Par le dialogue si possible.
    Mac-Miche.

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  14. Il me semble impossible e chasser le naturel par là fessée. Mais dans l'exemple donné, cette envie de se gaver de sucreries ne me semble justement pas du tout naturelle. Donc un terrait qui me parait à priori propice à la DD. Je formule avec précaution... car je n'ai pas de compétence non plus!

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  15. Bonsoir Isabelle,

    Hormis le risque de développer un diabète (c-a-d tests, insuline et piqûres !) qui est la mauvaise rançon des sucreries en excès, je dirais que cette gourmandise peut cacher une angoisse : dans le sens où ce serait une sorte de "plaisir-refuge". Mais je peux me tromper. Car les goûts dépendent de la sensibilité gustative de chacun. Toute une agréable alchimie alimentaire. Comme il y a également, par exemple, des personnes qui n'aiment pas le chocolat, ce qui est assez rare. Et certainement aussi pour d'autres parfums.
    Evidement, en discutant avec un médecin , il vous serait répondu que c'est une sorte de "sugar addict" et même peut-être proposé une thérapie chez un psychiatre et un accompagnement avec une diététicienne.
    Mais, ce sont des frais qui coûtent...
    Au choix. A méditer. A deux. Naturellement.
    Mac-Miche.

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    1. Bonjour Mac Miche
      Au grè de vous décevoir je n'irai pas voir un psy!Je n'ai pas besoin de thérapie.Je ne suis plus addict au sucre.
      Je n'ai jamais dit que j'avais un problème psy!
      J'avais une attirance vers le sucre comme beaucoup de femmes ,je n'ai aucun problème psy!
      J'ai dit que Jean-Philibert m'avais moins corrigée la semaine dernière et que j'en avais profité pour me relâcher.J'ai fait de nombreuses colères et de gris caprices mais en aucun cas je me suis jetée sur le sucre comme une "malade"!

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    2. Ce n'est pas le sucre mon péché mignon, mais il y a d'autres aliments qui exercent sur mon un forte attirance. Pour moi la discipline domestique est s'avère utile dans ce cas. Déjà par le fait de me sentir soutenue par mon partenaire, par le fait de sentir qu'il s’intéresse à petits soucis qui me gâchent la vie. J'y vois de mauvaises habitudes alimentaires, mais nous ne sommes pas dans un registre de maladie. Pesons un peu les mots...

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    3. Bonjour Anne-Sophie,

      Je suis bien content que cela reste un plaisir gustatif et rien d'autre. C'est le plus naturel des défauts, si je puis dire. La vie est déjà assez compliquée comme ça.
      En réalité, je pensais à cette hypothèse puisque j'avais une collègue de travail qui avait vécu ce problème.
      Donc ma "théorie" devient nulle et non avenue. Tout va pour le mieux. "Point d'excès n'est pas mortel" dit-on. A consommer avec modération.
      Dans le domaine des goûts, selon un magazine (Ca m'intéresse ?), les hommes sont généralement plutôt tournés vers les aliments salés et les femmes, quant à elles, plutôt attirées par le sucré. Tous les goûts sont dans la nature. A nous de choisir.

      Mac-Miche.

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    4. Pour Anne-Sophie:

      Mon commentaire n'avait pas d'autre but que vous proposer d'éventuelles solutions face à votre consommation de sucreries. Je n'avais bien sûr aucune intention de vous froisser en vous parlant de thérapie ou d'accompagnement. Rien de tout cela.
      Mais cela m'a rappelé le cas de ma collègue de travail. D'où ma réponse. D'autant qu'étant diabétique depuis plus de vingt ans, à la suite d'une maladie, je connais fort bien le problème.
      Mac-Miche

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    5. Voyez cher Monsieur Mac-Miche je tiens un blog de discipline domestique. Ce domaine se caractérise par une d’excitation (sexuelle, cérébrale, nerveuse etc) à l'idée de se faire punir pour tel ou tel autre fait.
      Entendons par « fait » nos petits imperfections, ce qui nous dérange en nous. Anne-Sophie communique très clairement sur ses désirs. Elle nous présente un petit « défaut » qu'elle se trouve en laissant la charge d'y remédier à son partenaire. Si cela se trouve son « besoin » de se faire punir se déclenche à la consommation d'un tout petit bonbon déjà. Pour bien comprendre la DD, il faut se détacher de la morale classique du bien et du mal. Essaye la paire : ce qui me donne envie de me faire punir/ce qui ne donne pas envie de me faire punir...

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    6. Bonjour Isabelle,

      Je vous comprend. Le "petit défaut" reste le déclencheur du besoin de punition. En quelque sorte la mèche qui amorce le pétard. Rires.
      Et en effet, mon éducation est influencée par la notion du bien et du mal et, pour moi, ce schéma est une sorte de prisme qui référence chacune de mes actions. Du moins les plus importantes de conséquences. On n'échappe pas à son vécu. Très certainement du à l'influence des mes parents de l'ancienne génération fessée. sans doute. et comme je le dis souvent : "On ne se refait pas ".
      Mac-Miche.

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    7. Personne n'échappe à son vécu. Seulement notre sujet est la fessée entre adultes. Il faut donc transposer sur un niveau d'adulte. La morale qui s'applique dans la fessée chez les adultes est un morale en fin de compte au service du plaisir, une morale sexualisée que Freud ne manquant pas d'humour appelait la morale de sphincters...

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    8. Jean-Philibert28 mai 2016 à 16:25

      Je confirme que ma chère Anne Sophie est une femme très équilibrée et d'un tempérament très joyeux et qu'elle n'a absolument pas besoin de psy !!! Il lui arrive cependant de faire des caprices, des colères et diverses bêtises... Elle en fait beaucoup moins depuis que je lui donne la fessée à la moindre incartade. Anne Sophie a fait en effet d'énormes progrès sur de très nombreux points depuis que je m'occupe d'elle et notamment concernant son addiction au sucre.
      Bien sûr, elle n'est jamais enchantée que je lui donne une très grosse fessée quand elle "craque" mais au final, je peux témoigner que le jeu en vaut la chandelle ! Et je me dis que la fessée pourrait aider beaucoup de personnes qui désirent se débarrasser d'une addiction, si elles acceptaient de recevoir une fessée disciplinaire, à caque faux pas. Il me semble qu'il est de loin préférable de se prendre une bonne fessée une fois de temps en temps plutôt que de subir une réduction d'estomac ou de se faire poser un anneau gastrique...
      Je rajouterais que c'est parce qu'Anne Sophie est équilibrée qu'elle accepte la fessée disciplinaire !

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    9. Je me joins à votre conclusion, cher Monsieur Jean-Philibert. Il faut un équilibre pour accepter les lubies de notre monde fantasmatique. Je pense également que la fessée disciplinaire entre adultes s'avère utile pour corriger nos petites imperfections, à conditions qu'il y ait un fantasme préexistent en ce sens. Enfin, c'est un sujet délicat qui ne s'aborde pas avec n'importe qui...

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  16. Jean-Philibert m'avait bien prévenue:"J'ai eu effectivement un coup de mou mercredi et je ne t'ai pas corrigée comme tu aurais du l'être.Je suis maintenant persuadé d'une chose:si je te desserre la vis ne serait ce qu'une seule journée et bien tu en profites pour régresser,pour refaire des bêtises,pour faire tes colères...".
    Jean-Philibert a pris conscience que le moindre relâchement de sa part et sa chipie remet en question l'autorité de son loulou.
    C'est ainsi que dès vendredi soir Jean-Philibert m'a fait comprendre qui détenait l'autorité dans la maison.Il a commencé par me donner une bonne déculottée en arrivant de son travail.
    Il m'a grondée:"J'en ai assez de tes colères et de tes bêtises!Je vais te les faire regretter."
    Jean-Philibert m'a alors penchée sous son bras,m'a relevé la robe,baissé rapidement ma culotte et m'a flanqué une fessée magistrale".
    J'ai pleuré à chaudes larmes.La fessée était très sévère.
    Durant tout le week.end Jean-Philibert s'est montré strict,autoritaire et prévenant à la fois.Jean-Philibert est un amant très attentionné et très doux.Néanmoins il se montre intransigeant en ce qui concerne mon comportement.Jean-Philibert m'a donné la fessée plusieurs fois ce week.end.Il n'a toléré aucun écart.Il s'est montré très sévère et ne s'est pas laissé émouvoir par mes chouineries lorsque je recevais la fessée.
    Hier soir il m'a dit:"Je te corrige un peu moins sévèrement une journée et hop tu pars en vrille!Je dois absolument te tenir serrée ma louloutte;tu ne comprends que par de bonnes déculottées."
    Je n'ai pas contredit Jean-Philibert.J'ai promis de me tenir à carreaux!
    Aujourd'hui je file droit.Je sais dorénavant que Jean-Philibert n'est plus disposé à se montrer indulgeant.
    Alors oui j'ai pleuré lorsque j'ai reçu les déculottées ce week.end.
    J'ai été corrigée sévèrement et je n'ai évidemment eu aucun plaisir physique.Les fessées de mon loulou font mal mal.Mes fesses n'ont pas aimé.En revanche mon esprit a apprécié ce recadrage...

    Je me sens bien.Je suis cadrée,bien tenue,mon loulou me corrige comme il faut et je sais que c'est pour mon bien...pour notre bien.

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  17. Je conviens avec vous, chère Anne-Sophie sur le fait que l'esprit apprécie le recadrage. C'est l'essence de la discipline domestique pour moi.

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