lundi 28 mars 2016

853 Fessée en jeans moulant (Lundi cinéma)

Mon chéri adore me voir dans un jeans très moulant...

… et parfois cela semble aller de paire dans sa fantaisie avec une bonne fessée grand format. Malgré son dada de l'élégance traditionnelle de la jupe ou de la robe, un jeans très serré sur moi ne manque pas de lui faire un effet monstre. C'est plus fort que lui, mais il n'est pas fier de cette lubie fantasmatique qui contredit ses grandes théories sur la féminité d'antan. Pour ma part je suis vite pliée de rire quand il s'engage dans une croisade contre....

.tous ces vêtements qui ne permettent plus de distinguer les garçons des filles.

Dans ces moments j'aime me moquer de lui non simplement par mes mots, mais aussi en prenant des poses les plus indécentes pour lui prouver à quel point un jeans peut contribuer à la sexy attitude. Avec petit bonus en plus, rien que pour ses yeux, l'inévitable porte-jarretelles en dessous et dont les attaches se dessins copieusement au travers de l’épais tissu. Puis évidement mes hauts talons pour mettre mes formes en valeur. Grand moment de séduction qui me prouve qu'il ne saurait se soustraire à mes charmes.

Quand tu mes cherches, tu me trouves, isabelle !

J'y compte bien !

Non, ce n'est pas systématiquement la bonne fessée grand format sur ses genoux qui m'attend. Il se peut aussi que l'envie lui prend de me pencher sur son bureau pour un registre plutôt classique de vanille. Nous savons tous les deux parfaitement communiquer sur nos désirs de manière non verbale ce qui rend les situations particulièrement émoustillantes. Souvent c'est petit à petit que l'apothéose se prépare. Que ce soit pour l'une variante ou l'autre, mon chéri se réserve le plaisir de...

...déculotter sa garçonne pour vérifier si c'est bien une fille.

A cet instant je vois le petit garçon qu'il avait été et qui se lance hardiment à la découverte de la différence. Moment de grande émotion comme s'il s'agissait de dévoiler une sorte d'imposture de ma part. Puis défroquée et ainsi démasquée en petite pisseuse ou chialeuse, il me montrera comment font les vrais garçons. J'aime qu'il soit vigoureux dans un rapport classique. J'aime sa détermination quand il a envie de dévier des sentiers battus. J'aime quand il décide de me rappeler fermement à l'ordre par une solide fessée pour tout un enchaînement d'insolences et provocations que je sais pousser loin.

J'attends que tu me montres qui commande dans cette maison !

Ce qui veut dire en gros qui a le dernier mot dans notre intimité. Étant un peu païenne, la virilité décomplexée de mon mâle homme m'importe beaucoup.

Avec moi, tu vas pas être déçue, isabelle !

C'est vrai ! Et ceci sans me traiter sur l’oreiller de tous les noms, sans me considérer comme sa soumise, sans notion de propriété privée et sans afficher un comportement résolument machiste dans la vie de tous les jours.

Mes jeans, outre le confort et l'aspect pratique quand je les porte, sont une source inépuisable d'inspiration pour monsieur. Et visiblement j'en rajoute par mes gestes et mouvements pour lui donner envie de me faire la fête. Au point que cela n'échappe pas à la vigilance de mes proches. Comme a dit une fois ma maman :

Tu cherches quoi là exactement avec tous tes déhanchements, isabelle, que ton homme se jette sur toi ?

Ce n'étais pas « exactement » ce que je projetai ce jour-là, mais je n'ai pas jugé utile de préciser le fond de mon désir. Bref Monsieur « outré » de ma mise en spectacle devant la famille, n'a pas hésité de me rappeler à l'ordre plus tard à un moment opportun.

Comme s'il savait lire dans mes pensées...

8 commentaires:

  1. Cela arrive à mon épouse d'attirer mon attention sur son postérieur, y compris par des déhanchements.
    "Ah tu veux me montrer ton cul? Hé bien tu me le montreras et toi tu le sentiras."
    Cela peut donner une fessée, ou encore, comme vous dites, la "vanille" penchée en avant ou à genoux sur un meuble, les mains sur les hanches...

    Quant à la "petite pisseuse", nous avons un pot en porcelaine à l'ancienne pour le cas où madame objecterait un besoin pressant avant la mise dans l'une ou l'autre position citée ci-dessus...

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    1. Bonjour Isabelle,

      Une femme en pantalon ne manque pas de charme: d'ailleurs, un tailleur pantalon sied très bien à une femme, associé à des escarpins et un foulard ou un sautoir. Et le tout complété par une longue chevelure ou une coiffure courte mais cela dépend de la Miss. Of course.
      Le vêtement incarne (pour moi) deux facettes pour la femme :
      la robe représente la mère de famille (image d'Epinal) et la jupe/chemisier, le côté séducteur.
      Le pantalon associe liberté de mouvement et indépendance, dans le sens où la femme se détache de l'image usuelle de femme épouse et mère. Ce qui n'enlève en rien à ses qualités propres. Naturellement.
      Vous allez me trouver peut-être terriblement sexiste mais ce n'est qu'une impression et non une vérité. Chacun dispose de ses goûts et de son libre-arbitre.
      Personnellement, je me souviens que ma Maman était plutôt "pantalon" jusqu'à la fin de la décennie 1970 et elle adopta jupe (plissées) et chemisiers/ cardigan dès les années 1980, à l'âge de la cinquantaine. A l'âge mûr, dit-on. A la fois, une rigueur et une élégance "A l'ancienne".
      D'où ces souvenirs que j'intègre en partie dans mes dessins.
      Mais c'est vrai que j'aurais tendance à approuver votre compagnon pour ce qui concerne ses goûts en matière d'élégance féminine. Comme beaucoup d'entre nous, il a été marqué par cet "âge d'or du charme féminin à l'ancienne". Rires.
      Mac-Miche.

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    2. Mon chéri est assez basique cher Monsieur Mac-Miche. Il n'associe pas mes pantalons, jupes ou robes à une situation sociale, mais regarde seulement l'impacte sur sa libido. Une tenue féminine est pour lui celle qui lui procure beaucoup d'effet. Il n'a pas foncièrement tort car la psychanalyse a proposé de définir la féminité comme « ce que donne à voir la femme, attirante par sa parure, les fards, tout ce qui la rend « belle »... et détourne le regard des organes génitaux. » Alors quand il me parle d'élégance, je sais très bien où il en veut venir. Et disons que moi pour ma part j'adore quand il me regarde avec désir. Alors ses petites tendances fétichistes me vont très bien. Notons que la psychanalyse considère la mode comme un compromis entre nos tendances exhibitionnistes et nos tendances pudiques. C'est ce compromis qui est à la base de notre sens d’esthétisme.

      Ne vous en faites, je ne vous prend pas pour un sexiste. J'aime beaucoup les associations libres que je trouve personnellement plus intéressantes que les opinions ou jugements de valeur qui révèlent plus ou moins d'un compromis social. Mais bon, bien évidement toutes les associations ne sont pas bon à dire parce qu'il y a toujours le risque que quelqu'un les interprète mal parce qu'il ne sait pas distinguer entre une association et une opinion.

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    3. Bonsoir Isabelle,

      La définition de l'esthétisme proposée par la psychanalyse est très intéressante.
      De même,cette dernière définissait le fétichisme comme une sorte de transfert des désirs sexuels sur un objet appartenant à la personne courtisée permettant de renouveler le désir à son souvenir.
      Ca me rappelle le court texte "mode et fessée" que vous aviez publié sur votre ancien Blog il y a quelques années. Le port des vêtements a pris naissance certainement avec la notion de société avec ses règles et sa morale. Un dessin vaut mille mots et le visuel nourrit l'imaginaire de chacun et chacune d'entre nous. Privilège de l'esprit humain.
      Mac-Miche.

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    4. Pour ma part je pense tout bêtement que le vêtements trouve ses origines dans le fait de se protéger contre le froid. Quant au dessins, évidement il est utile/agréable en bien de domaines, notamment pour illustrer un descriptif, mais montre vite ses limites quand il s'agit de notions abstraites, processus psychiques ou de compréhensions complexes. Moi je trouve autant le dessin que le mot ont leurs domaines bien spécifiques. Mais ils peuvent se compléter constructivement.

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  2. Chez nous c'est plutôt la poésie du terme petite pisseuse qui nous plait beaucoup. Enfin, je ne suis pas très pudique à ce niveau ayant grandi avec deux frères.

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    1. Oh, pour nous c'est la posture accroupie, un peu infantilisante, et l'aspect surranné... Madame rougit toujours.

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  3. Ben oui, moi aussi j'aime la position accroupie, celle pour déloger les grillons dans les champs..., enfin pour les filles ayant grandi proche de la campagne!

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