lundi 7 mars 2016

844 Nous avons tous un secret (Lundi cinéma)

Un fait divers claquant !

Difficile de trouver un monsieur insensible à la thématique de la fessée entre bonnes copines. Évidement les tenues sexy ne devraient pas manquer, car le charme des collégiennes ne plaît pas à tout le monde.

Pour ma part je me souviens vers la fin des années 80 quand j'étais ado d'un courrier de lecteur dans un magazine allemand quelque peu particulier. Ce sont des publications à grand tirage, typiquement allemand mélangeant d'images sexy, d'articles sur la sexualité et de la presse sensationnelle. On en trouve partout. Dans les familles et dans les salles d'attentes et tout le monde les feuillette.

Ce courrier parlait d'une colocation de 4 femmes autour de la quarantaine qui durait depuis 10 ans déjà. Se connaissant depuis l'école, elles avaient encore connu l'époque stricte et le règne du Rohrstock, de la canne autant au foyer familial qu'à... l'école. Car en fait l'interdiction des châtiments corporels à l'école ne date que de 1969. C'est donc une de ces dames qui parle de l'organisation interne de cette colocation...

...en avouant leur faible pour une structure traditionnelle avec recours aux châtiments corporels.

Une de ces dames organise et supervise donc cette petite communauté en attribuant les taches hebdomadaires de ménage, jardinages, courses etc. Ayant connu (de loin heureusement et en étant seulement en visite) ce genre de colocation, il me semble indispensable de bien s’organiser. Les plus souvent l'ambiance est assez anarchique et la durée de vie commune assez limitée. Pour un allemand saute donc aux yeux une longévité extraordinaire de 10 ans.

On s'en doute que l'article parlait donc des châtiments corporels appliqués par le biais du Rohrstock pour celles qui traînaient dans leur participation au ménage. La dame qui avait écrit au journal parlait de punitions toutes le six semaines environ la concernant. De son angoisse après l'annoncée de la punition, du mauvais moment de l'endurer et sa manière de pleurer « Rotz und Wasser » (de la morve et de l'eau) sur le coup.

Sans oublier de mentionner de se sentir beaucoup mieux après.

C'est surtout cette dernière phrase qui enflamma mon imagination. Certes l'évocation de la fessée me procurait à cette époque déjà une vive émotion dans mon entrejambe. J'étais attirée par un contexte de vraie punition pour une raison clairement identifiable, soupçonnant dans cette constellation un apaisement de mon état nerveux et comme disait la dame de me sentir mieux... dans ma peau. J'étais loin encore de me douter des mécanisme d'un besoin de punition. Mais j'avais déjà compris qu'il ne me poserait pas problème de réaliser des mises en scène de fessée coquine comme préliminaire. Par contre mes désirs de recevoir une vraie correction me gênaient beaucoup.

J'ai trouvé dans cette communauté de dames une excellente solution pour réaliser un penchant de vraie discipline, sans prise de tête.

Enfin, vrai courrier ou pas, la rêverie autour de cette communauté m'a accompagnée pendant longtemps en remplaçant ces dames par me propres copines d'école...

2 commentaires:

  1. Bonsoir Isabelle,

    En cette "Journée de la Femme", j'espère qu'elle vous a été très agréable et inoubliable. Pour une fois, mettons martinet et carnet de punitions au placard !!! Et place à la douceur et au romantisme du quotidien.
    Mac-Miche.
    ( Et n'oublions pas non plus, autre RV incontournable: la "Journée des Secrétaires": ces merveilleuses et dévouées filles d'Eve , rouages indispensables de notre quotidien de labeur. Rires.)

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  2. Ne vous inquiétez pas, cher Monsieur Mac-Miche la tendresse et le romantisme sont pour moi la raison sine quoi non pour m'engager dans la discipline domestique.Je ne pourrais pas vivre avec une personne prenant son rôle d’éducateur trop au sérieux. Merci pour avoir pensé à la journée de la femme!

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