Un
fait divers claquant !
Difficile de trouver un monsieur
insensible à la thématique de la fessée entre bonnes copines. Évidement les tenues
sexy ne devraient pas manquer, car le charme des collégiennes ne
plaît pas à tout le monde.
Pour ma part je me souviens vers la fin
des années 80 quand j'étais ado d'un courrier de lecteur dans un magazine allemand quelque peu particulier. Ce sont des
publications à grand tirage, typiquement allemand mélangeant
d'images sexy, d'articles sur la sexualité et de la presse
sensationnelle. On en trouve partout. Dans les familles et dans les
salles d'attentes et tout le monde les feuillette.
Ce courrier parlait d'une colocation de
4 femmes autour de la quarantaine qui durait depuis 10 ans déjà. Se
connaissant depuis l'école, elles avaient encore connu l'époque
stricte et le règne du Rohrstock, de la canne autant au foyer
familial qu'à... l'école. Car en fait l'interdiction des châtiments
corporels à l'école ne date que de 1969. C'est donc une de ces
dames qui parle de l'organisation interne de cette colocation...
...en
avouant leur faible pour une structure traditionnelle avec recours
aux châtiments corporels.
Une de ces dames organise et supervise
donc cette petite communauté en attribuant les taches hebdomadaires
de ménage, jardinages, courses etc. Ayant connu (de loin
heureusement et en étant seulement en visite) ce genre de
colocation, il me semble indispensable de bien s’organiser. Les
plus souvent l'ambiance est assez anarchique et la durée de vie
commune assez limitée. Pour un allemand saute donc aux yeux une
longévité extraordinaire de 10 ans.
On s'en doute que l'article parlait
donc des châtiments corporels appliqués par le biais du Rohrstock
pour celles qui traînaient dans leur participation au ménage. La
dame qui avait écrit au journal parlait de punitions toutes le six
semaines environ la concernant. De son angoisse après l'annoncée de
la punition, du mauvais moment de l'endurer et sa manière de pleurer
« Rotz und Wasser » (de la morve et de l'eau) sur le
coup.
Sans
oublier de mentionner de se sentir beaucoup mieux après.
C'est surtout cette dernière phrase
qui enflamma mon imagination. Certes l'évocation de la fessée me
procurait à cette époque déjà une vive émotion dans mon
entrejambe. J'étais attirée par un contexte de vraie punition pour
une raison clairement identifiable, soupçonnant dans cette
constellation un apaisement de mon état nerveux et comme disait la
dame de me sentir mieux... dans ma peau. J'étais loin encore de me
douter des mécanisme d'un besoin de punition. Mais j'avais déjà
compris qu'il ne me poserait pas problème de réaliser des mises en
scène de fessée coquine comme préliminaire. Par contre
mes désirs de recevoir une vraie correction me gênaient beaucoup.
J'ai
trouvé dans cette communauté de dames une excellente solution pour
réaliser un penchant de vraie discipline, sans prise de tête.
Enfin, vrai courrier ou pas, la rêverie
autour de cette communauté m'a accompagnée pendant longtemps en
remplaçant ces dames par me propres copines d'école...
Bonsoir Isabelle,
RépondreSupprimerEn cette "Journée de la Femme", j'espère qu'elle vous a été très agréable et inoubliable. Pour une fois, mettons martinet et carnet de punitions au placard !!! Et place à la douceur et au romantisme du quotidien.
Mac-Miche.
( Et n'oublions pas non plus, autre RV incontournable: la "Journée des Secrétaires": ces merveilleuses et dévouées filles d'Eve , rouages indispensables de notre quotidien de labeur. Rires.)
Ne vous inquiétez pas, cher Monsieur Mac-Miche la tendresse et le romantisme sont pour moi la raison sine quoi non pour m'engager dans la discipline domestique.Je ne pourrais pas vivre avec une personne prenant son rôle d’éducateur trop au sérieux. Merci pour avoir pensé à la journée de la femme!
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