vendredi 19 juin 2015

725 Liens de discipline domestique (171 ème édition)

Au menu cette semaine : C'est l'été


Je me sens extrêmement flattée quand mon chéri me demande de m'habiller en belle de champs pour un tour à la campagne. Déjà, tout basiquement, car cette expression contient le mot belle qu'il vient d'associer à moi.

Voila une façon de me faire frissonner bien plus intensément qu'un texto à contenu torride.

Belle pour moi, n'exclue pas une allure volontairement sexy. A moi une de ces petites robes que mon homme aime tant sur moi et tant m'offrir aussi. La campagne m'évoque un contexte nature, donc pas besoin de mettre une culotte. Je ne risque rien, mon chevalier vaillant veille sur moi. Et pour parfaite ma tenue une de ces paires de sandales à talon compensé très haut. Alors là , mon chéri va exploser ses yeux, car il en a bavé depuis son adolescence de sortir avec une fille ainsi vêtue. Il en va de soi que je vais passer pas mal de temps à ramasser des fleurs. Parce que cela fait remonter ma petite robe et permet à mon homme, de voir en chair et on os devant ses yeux la fille de ses rêves. Avec ce petit piquant qui lui semblait quand il était ado un comble de fantasme inaccessible, un comble de perversité en quelque sorte, un entrejambe dépourvu du moindre poil. Qui s'étonne qu'il ne reste pas de marbre et remonte doucement ses mains le long de mes jambes. Cette forme de séduction active et ciblée de ma part, me donne parfois de très vilaines idées :

La belle de champs troussée et fessée en pleine nature !

Heureusement nos fantasmes se recoupent et j'aime particulièrement une sacrée fessée, mode van Gogh, devant un champs de blé ou la variante roquefort sous l'orage après avoir sacrément énervé mon chouchou. Bref j'aime quand l'atmosphère se prépare à éclater.


Voici une ambiance un peu inspirée par les petites filles modèles. Ce qui donne un joli charme à nos toutes petites, s'avère d'un comble de kitsch et de ridicule sur une jeune femme adulte. Enfin, la belle mère non plus dénote pas du cadre que ce soit vestimentaire et également concernant la fessée. On se croit presque dans un compte de fée avec « Happy end », la belle-mère en train de se faire sermonner en exposant son derrière fraîchement châtié. A vrai dire je préfère ce genre de scénario bien que plus fantasque que fantasmatique à des interminables séances de tape cul dans un décors minimaliste sans âme. Et, il m'arrive même de m'y projeter... non, le ridicule ne tue pas !


De la bonne humeur à l'état pur chez Mademoiselle Lee et un avant goût à ce fabuleux mélange qui me fait apprécier l'été : Du soleil et de l'eau. Surtout quand je vois ce clip je me dit que rien n'égale ingéniosité des garçons pour se faire remarquer par les filles. Notons que mon "grand garçon" a déjà profité pour me décorer les fesses avec bien de trucs qui collent...

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !



















Du vrai vintage (petit clip)



En pleine nature (petite série)



31 commentaires:

  1. Bonjour Isabelle,


    Très juste, c'est l'été qui pointe son nez !! Votre récit m'a fait penser à cette pub TV de 1980 ou 1981 avec paroles et musique signées du chanteur Richard Gotainer qui présentait en musique un fromage au lait des Alpes :
    "Belle des Champs ": oh dis, donnes nous un peu de ton fromage... il est si crémeux et tendre, Belle des Champs...". Etc, etc, etc...
    Vous vous en souvenez peut-être ou bien votre compagnon.
    Belle parenthèse estivale.
    Mac-Miche.

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  2. Pour ma part je n'étais pas à cette époque en France, cher Monsieur Mac-Miche. D’ailleurs idem pour cette pub que j'ai découverte par le plus grand des hasards. Mais disons que j'ai un tempérament de feu. Je me sens donc plus proche de la dame roquefort que de la dame belle de champs.

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  3. Bonjour Isabelle,

    Ha ha ha ! Mais j'imagine que les deux côtés ne sont nullement incompatibles et participent à l'épanouissement de chacun/e pour le plus grand plaisir de tous. Les surprises sont toujours les bienvenues. Un peu comme les deux côtés d'un miroir.
    Mac-Miche

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  4. Votre réflexion me fait penser à un écrivain qui disait que toutes les personnages qui apparaissent dans un roman sont des facettes différentes de son auteur.

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    1. Bonjour Isabelle,

      Oui, je le pense également. Comme au théâtre, l'auteur se dédouble dans chacun de ses principaux personnages. Il leur fait vivre ses doutes, joies , succés et autres au travers de leurs jeux respectifs et parfois règle ses comptes avec la société et les travers de son époque. A l'instar de Molière et ses contemporains. C'est un peu comme "l'anonymat de la foule" si je puis dire. Du style: "C'est pas moi, M'sieur ! C'est l'autre !" Rires.
      Mac-Miche.

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    2. Exactement. Rare sont ceux qui assument leurs écrits. Comme si on pouvait écrire un truc coquin sans y être impliqué...

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  5. Mon épouse est particulièrement sensible à celle-ci:
    http://the-art-of-spanking.tumblr.com/post/120466545576

    Le film Lady Jane, avec la jeune femme qui reçoit la fessée troussée et prosternée sur une sorte de siège, a fait une forte impression sur elle. Bien entendu elle ne voudrait pas d'une punition aussi forte.

    Donc quand elle doit recevoir une punition "annoncée" à l'avance, elle met une tenue de punie avec une jupe ou robe longue mais relevable. Le moment venu, elle se prosterne et remonte sa jupe. J'achève de la lui remonter et de lui baisser la culotte. Nous n'avons pas de ces culottes fendues que l'on voit ici.. peut-être un achat à considérer!

    Madame reçoit ensuite la main, le martinet ou le paddle puis reste exposée un moment avant que je ne la renculotte.

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  6. Il n'est pas facile de trouver des culottes fendues à l'ancienne. Je ne parle pas des horreurs fendues provenant de magasins spécialisés. Peut-être devriez-vous faire un saut dans le fripes et brocantes. Parfois il y a des merveilles, mais comme il me semble la concurrence se fait de plus en plus rude. Comme quoi la touche romantique, imaginative plaît à beaucoup de personnes...

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  7. Pecan je suis comme votre épouse sensible à cette illustration. Elle est de Carlo, sans doute le plus érotique et le plus sensuel des dessinateurs de fessées du début du 20e siècle.
    Mais ma préférence dans ce florilège va pour la jeune femme qui se fait fesser par un parrain de la mafia devant des jeunes gens très émoustillés. Elle prend la chose avec beaucoup de détachement et d'élégance, rien que le premier plan elle extrêmement gracieuse avec sa robe bouffante, son chignon et sa voilette.

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  8. Je crois que si j'avais une fessée publique à vivre, je pencherais sur cette "ambiance parrain". Je me retrouve si bien dans les allures de la dame. De la classe à l'état pur et rien à voir avec des clips que nous présente l'industrie de spanking.

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    1. Le fétichiste imagine parfois des choses qui n'existe pas comme la voilette de la dame qui se fait fesser.

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    2. C'est même le caractéristique du fétichisme, attribuer à la dame ce qui n'est pas. Mais sur un point de vue pragmatique" vive les fétichistes", car ce sont bien souvent des messieurs attentifs aux maximum à leur dame qui est en quelque sorte le centre de leur univers!

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    3. Merci , chère Isabelle, pour ces mots réconfortants pour le fétichiste que je suis depuis des années.
      Le fétichiste représente pour moi un peu le jardinier de l'Amour: il prend soin de ses "Belles Plantes" (si j'ose la comparaison avec les Femmes), il les arrose, les nourrit, les protège des premiers frimas de la mauvaise saison et attend patiemment la floraison pour les rassembler et profiter de leurs odorantes effluves...Bref. Un vrai père pour elles. Rires.
      Mac-Miche.

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    4. Bien sur, pour le fétichiste la dame est le centre de toute son attention. Mais parfois elle est réduite à quelques éléments isolés et non la totalité de l'être, ce qui peut être gênant pour elle.
      Une nouvelle vision de la vidéo me montre que je n'avais pas halluciné, elle a vraiment une voilette! Mais je ne vois pas le chapeau. Peut - on porter une voilette sans chapeau? Une voilette sans petit chapeau existe t - elle? Question typiquement fétichiste.

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    5. Pour monsieur Mac-Miche,

      concernant notre sujet je préfère les messieurs à tendance fétichiste. Il semblerait que cela reste dans un registre pas bien méchant concernant la fessée, tandis que les adeptes S/m et surtout ceux qui s'ignorent (style je fais plaisir à la dame) semblent miser beaucoup plus sur la force de frappe...

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    6. Pour monsieur Bertrand,

      oui, cela existe. La voilette est fixé sur un bandeau ou serre tête, parfois très discret ou sur une fleur ou autre décoration que l'on clippe dans ses cheveux. Dans la mesure qu'il existe toute sorte de fétichismes masculins, il existe par conséquence toute sorte de petits trucs (souvent créés par les messieurs!) à acheter pour les dames en vu de combler ce désir fétichiste. Comme le monde est bien fait et je dois dire que pour ma part j'adore être au centre d'une telle créativité.

      Enfin pour les messieurs qui sont restés à un stade « d'amour partiel » (si, si c'est la terme qui s'applique à ce comportement), on n'en trouve pas que chez certains fétichistes...

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    7. bonsoir Isabelle,

      Perso, je n'aime pas le SM avec fouet, menottes et tutti quanti...
      Il me semble que le plaisir ne semble pas y être partagé. L'un des deux partenaires "tient le même côté du manche" .
      La recherche de la douleur peut amener au paroxysme des sens mais cela dépend de chacun/e. Personnellement, il faut qu'il y ait complicité donc confiance entre les partenaires pour profiter à deux. Sinon, la routine s'installe.
      Le fétichiste est un peu le "grand couturier de l'Amour" si je puis dire. Il habille ses mises en scène chères à son fantasme favori.
      Oui, après tout, les grands couturiers sont peut-être d'éternels fétichistes... Non ? Rires.
      Mac-Miche.

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    8. Un peu de fétichisme est une solide base de couple, cher Monsieur Mac-Miche. J'aime bien que mon homme me fasse cadeau de mille et un petits trucs pour m'embellir. Enfin, nous restons dans une gamme plutôt classique. Les magasines spécialisés n'est pas vraiment notre truc. Il me semble évident que les créateurs de mode sont plus ou moins fétichistes. Ce n'est pas bien méchant.

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    9. Bonjour Isabelle,

      "Les cadeaux entretiennent l'amitié", dit-on.
      Et dans le couple, ils viennent attiser la flamme du désir, j'imagine...
      "Si on ne se fait pas plaisir , ce n'est pas le voisin qui s'en chargera à notre place " disait mon grand-père .Et souvent les choses les plus simples sont les meilleures. J'aime beaucoup le classique : on s'y retrouve toujours : indémodable, épuré, sobre.
      Je ne suis pas contre une petite pointe d'originalité. Les deux côtés ne sont pas incompatibles. Le principal est que cela plaise au couple.
      Mac-Miche.

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    10. Concernant les cadeaux se pose tout de même la question si un monsieur à l'orientation fétichiste ne se fait pas aussi et surtout un cadeau pour lui.

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  9. Mon épouse, elle, se voyait plutôt dans ses fantasmes recevoir la fessée comme Lady Jane: devant une assemblée de dames plus âgées... Quelque chose de moins brutal que Lady Jane, mais d'aussi humiliant, en se faisant sermonner pour ses fautes devant des dames approuvant la discipline, voire en devant se confesser devant elles.

    Elle m'a aussi imaginé dans cette posture, avec elle dans le rôle de la dame qui explique pour "ce jeune homme" mérite bien qu'on lui rougisse les fesses.

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  10. Comme vous et votre dame je retiens de Lady Jane un instant chargé d'émotion, malheureusement gâché par une cruauté bien que seulement suggérée. Je suis certainement plus sensible à la construction psychologique d'un acte de punition, qu'à la force de frappe pure...

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  11. Voilà... ce qui plaît à madame dans cette scène, c'est justement la mise en scène, le cérémonial. On installe un siège, on écarte les hommes, la jeune femme doit "adopter la position", les domestiques lui relèvent jupe et jupons... et elle subit sa punition devant les dames.

    Rien que tout ceci serait déjà fort humiliant même si la fessée n'était que symbolique, avec des coups peu marqués... mais en l'accompagnant d'une explication des fautes de la demoiselle, devant tout le monde. Voire si elle était plus forte, mais sans cette brutalité que l'on devine dans le film (la verge utilisée est assez épaisse et longue, on sent qu'elle doit faire des dégâts... au minimum boursoufler les chairs, probablement lacérer la peau). Et tant pis si, gigotant un peu, elle perd toute dignité et se retrouve à "tout montrer"!

    C'est vraiment ce genre de "fessée par la gouvernante" qui faisait tripper ma femme.

    Nous avions vu il y a quelques années sur le Web une intéressante petite histoire où une gouvernante/nurse, s'occupant d'une fille malade ... (restons dans le registre adulte...; isabelle 183)

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  12. Votre poste me rappelle, Monsieur Nutjob, cette histoire bien connue d'une esclave de couleur à qui l'on a donné l'ordre de lacérer le popotin d'une maîtresse blanche. Les illustrations ne se font pas faute de montrer le visage affolé de la torturée.

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  13. Pour Monsieur Pecan

    Comme votre dame, pour ma part aussi, cher Monsieur Pecan, je trouve troublante cette punition par ses circonstances. Et comme vous je ne me retrouve pas dans son application trop rude à mon goût. Il est d'ailleurs assez intéressant de constater, en lisant ci et là sur le net que bien d'amateurs de la fessée sensationnelle attribuent une grande valeur à l'intensité de l'acte. Pour ma part je pense que dans le registre punitif ne manquent pas les personnes souhaitant un riche contexte entourant l'acte, mais se contentant d'un acte même pas bien méchant. Il n'est pas pour rien que j'aime bien l'expression « punition bon enfant » qui met en avant une certaine bienveillance, mêlée à un cérémoniel éprouvant la pudeur.

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  14. Pour Monsieur Why Not :

    Voila qui me rappelle un clip abordant cette thématique quand j'étais en train de constituer mes liens de DD un vendredi. La cruauté, bien que suggérée, m'a écarter le matériel.

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  15. On n'en attend pas moins de vous, chère isabelle !...

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    1. Tenez, cher Monsieur Why Not, je vais vous embêter encore un peu avec la psychanalyse. Je n'ai rien contre quelques petites tendances sadiques dans un scénario de fessée, mais quand ils régressent à une forme d'agressivité pure contre autrui je décroche. Et hors de question de faire du "journalisme moderne" qui montre ce qu'il dénonce pour faire de l'audimat...

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    2. C'est bien ce que je disais...

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  16. Vous avez raison, Isabelle.

    Je voulais juste mentionner que Madame est très troublée par ce genre de scénario: la grande fille d'une maison bourgeoise ou noble du Grand Siècle, disons de 17-18 ans, se comporte de façon déplaisante; confrontée par sa mère, elle prétexte une méforme et se retire dans sa chambre. Arrive ensuite la gouvernante de la maison, qui lui demande de se mettre en position pour un lavement pour traiter sa méforme. Elle refuse. Qu'à cela ne tienne, la gouvernante revient avec deux domestiques qui ont tôt fait de jeter la demoiselle sur le lit et de l'y maintenir pendant qu'on la trousse. Quelques coups de martinet accompagnent la consigne de ne pas gigoter. Sous la menace d'en recevoir plus, la demoiselle doit lever le derrière et écarter les jambes, sous la menace qu'on la mette dans cette position de force. La gouvernante lui oint l'orifice, lui enfile la canule et administre le clystère. Mais ce n'est pas tout! Le martinet revient, avec des remontrances sur la nécessité de prendre sa médecine sans caprice. Puis vient la seconde dose du clystère. Puis la troisième. La gouvernante et ses aides se retirent après avoir posé un gros pot de chambre par terre. La vilaine fille n'ose pas les regarder, tant elle a peur de lire un grand sourire moqueur sur le visage des domestiques..

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    1. Voila un joli fantasme avec bien de rebondissements, cher Monsieur Pecan. Me concernant je trouverais la situation encore plus troublante si la patiente était la dame de la maison et que ce sera Monsieur qui envoie la gouvernante et d'autres domestiques pour soigner madame. Enfin, là nous restons dans le domaine de fantasmes purs qui n'aspirent à aucune réalité chez moi ! J'imagine une approche similaire chez votre dame...

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