vendredi 20 février 2015

659 Liens de discipline domestique (154 ème édition)

Au menu cette semaine : Mise au coin....

.... après une de corsée

Ce n'est pas un instant de glamour et loin de moi de faire la fière. Il n'y a pas de sensation de « jeu », mais l'impression d'un véritable rapport d'autorité. Malgré tout le politiquement correct de nos jours, je serais tentée de dire que ma vérité humaine, celle qui décide ce qui est jouissif ou pas pour moi, s'épanouit parce que mon homme sait se montrer autoritaire. Parce qu'il sait prendre les choses en main. Parce qu'il sait s'imposer d'une manière qui me comble.

Toutefois il y a une différence de taille avec la condition féminine d'un autre âge.

J'ai pu faire un libre choix pour vivre ce que j'ai envie vivre. Ce sont les conséquence de ce libre choix qui me donnent un sentiment délicieux pervers, d'être vilaine et de mériter mes corrections, d'avoir besoin d'une main ferme, d'avoir besoin d'être tenue sur le bon chemin, d'avoir besoin d'être corrigée pour ce qui me semble un mauvais comportement ou une faute.

Pour bien me comprendre, ce qui me donne les émotions fortes, c'est le fait d'être punie.. .

Sonore et solide (petit clip)

Voila qui me semble bien réaliste comme punition, notamment concernant les plaintes de la dame. Pour ma part j'en fait de même, mais hors de question de me sauver des genoux de mon homme. Il y a un grand besoin de sentir sa main ferme, un besoin aussi de sentir s’accroître la brûlure dans mes fesses. Parfois j'ai besoin de me défouler verbalement, parfois je saute dans tous les sens et parfois les deux à la fois. Puis vient l'instant du laisser aller, un glissement de mes cris de colère vers les larmes. Certes, cela ne m'épargne pas le coin et je pense avoir pris tellement habitude de cette pratique qu'elle me semble indispensable pour retrouver la tête haute... enfin beaucoup plus tard.


Ne cherchons pas toujours du côté de la grosse fessée pour faire plaisir. Ce sont parfois les gestes les plus tendres qui me font le plus de l'effet. La douceur d'une main qui remonte mes jambes pour se glisser sous ma robe ou jupe. Le contact de mon derrière tout nu avec le pantalon de mon homme pour sentir une virilité en plein essor. Tenir un blog de fessée fausse facilement la réalité. N'oublions donc pas les câlins.


Je reste brève cette semaine, car je me trouve en vacances dans une magnifique région (...avec un internet 2G !). Je ne saurais dire s'il y aura mon lundi cinéma à cause le l'incertitude de pouvoir visionner des clips. J'hésite pour l'instant de commenter un clip dont j'ai le lien, mais que j'avais vu il y a quelques semaines...

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !





















11 commentaires:

  1. J'aime beaucoup ces postérieurs rougis mais sans marques excessives. Ils doivent "tirer" un petit peu, on a envie de les frotter, mais bientôt ils n'y paraîtront plus.

    RépondreSupprimer
  2. Pareil pour moi. J'aime rester dans un registre 'bonne leçon" en évitant du massacre sur fessier. Il en va de soi que mon choix d'images porte dans ce sens. Grosso modo je me limite à ce qui me sent supportable et surtout acceptable pour moi-même.

    RépondreSupprimer
  3. Moi je viens surtout le weekend chez Isabelle ! On sais qu'obligatoirement c'est festin j'en ai bien pour deux bonnes heures. Impeccable ! Pour le choix des images je fais pareil. J'aurai peut être même du mal à en poster des plus outrées pour dire qu'elles sont trop violentes pour moi. A quoi bon d'ailleurs...

    Je voulais te demander Isabelle pourquoi tu avais choisi de ne mettre que des liens et ne pas illustrer du tout tes posts ? :-*

    RépondreSupprimer
  4. Merci Ellie. Ton commentaire me touche beaucoup. Pour ma part je ne vois pas d'utilité non plus de faire « du journalisme » qui montre ce qu'il dénonce. J'ai envie que l'on passe un bon moment chez moi et non retourner les tripes. Pour ma part il m'arrive couramment de partir des sites qui me prennent trop les yeux. Ce n'est pas mon monde.

    Quant aux images en général, j'avais eu envie depuis des années de faire un blog sans illustrations. Sorte de défi. Bon, je ne suis pas bornée, mais vu que ma formule marche assez bien, je ne me pose pas la question de la changer pour l'instant.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. :D ! Ben hein t'as bien fait vu la dernière lettre de notre ami blogger !

      Supprimer
  5. Bonjour Isabelle,

    J’avoue que j’ai eu un certain sourire en lisant votre billet … Car avec vos mots à vous, il me semble que vous n’exprimez pas autre chose que moi, lorsque que je vous dis que mon mari, s’il énonce et répète qu’il est être mon « Seigneur et Maître », l’est effectivement parce que je le désire, parce que je le souhaite, parce que je savais depuis toujours, même si c’était passablement inconscient, que pour être heureuse, j’aurais besoin de me donner à quelqu’un qui saurait me guider dans la vie, et me corriger (dans les deux sens de ce mot !) chaque fois que cela pourrait paraître utile et donc nécessaire.

    On dirait qu’ensuite, vous semblez vouloir vous excuser de cet aveu en rappelant que ce fut un « libre choix » de votre part ! S’il est exact qu’il y a hélas encore nombre de femmes battues et violentées par des conjoints brutaux et stupides et qu’elles ne savent pas s’enfuir en dépit des facilités qui existent de nos jours, je vous rappelle comment, le lendemain matin de la « première fois », celui qui venait tout juste de prendre possession de moi, dans la pleine acceptation de ce terme ( !), tout en attachant une chaine à ma cheville m’avait expliqué qu’il me suffirait de l’ôter pour lui signifier la fin irréversible de notre relation, cela sans drame, éclats de voix, et autres violences : n’était ce pas le signe le plus éclatant que ce don de moi à lui était librement consenti ? Depuis, j’ai toujours une chaine à ma cheville (la première ayant donné avec le temps quelques signes d’usure et de faiblesse, j’en ai plusieurs de rechange !), laquelle a gardé pour l’un comme pour l’autre la même signification, plus radicale en quelque sorte que notre lien légal du mariage ! Plus visible que mon alliance que j’ôte pour la protéger lorsqu’il y a risque de l’abimer, même si seuls quelques intimes, telle ma mère, en connaissent le sens. Et ma seule parure si, nue, je ne dois ou ne peux à ce moment là porter l’un de mes bijoux intimes….

    Pensant à la suite de votre billet, mon mari ne m’a jamais fessée à main nue : il réserve cela au martinet familial et me semble attacher de l’importance à ce qu’il en soit toujours ainsi. En fait, il me semble vouloir par principe conserver le même protocole immuable quand il estime que je dois être corrigée, y consacrer le temps nécessaire et ne pas agir de façon impulsive. Sa main sur mes fesses est plutôt signe de caresses plus ou moins intimes, même si, comme cela m’est encore arrivé pas plus tard que vendredi dernier, une faute grossière dans une lettre m’a valu un pinçon assez douloureux sur l’une de mes fesses !

    RépondreSupprimer
  6. Je ne vous donne pas tort chère Christine. Moi aussi j'ai parfois l'impression que nous exprimons avec des mots différents un monde intérieur assez semblable. Mais entendons-nous bien sur cette vérité humaine que je cherche à exprimer au travers de mon blog. Pour ma part j'aime bien l'idée d'une autorité plutôt paternelle qui décide de mes punitions, tandis que chez vous, dans votre concept du « Seigneur et Maître », il y a la notion du « don de soi ». Je ne m'y retrouve pas. Alors au lieu d'analyser nos différences, peut-être purement sémantiques, il me semble plus important de chercher le point en commun entre une relation de discipline quasi paternelle et une relation avec un Seigneur et Maître. De réfléchir sur ce que notre conjoint est censé de nous apporter qui nous rassure et sécurise, qui nous rend la vie belle.

    J'ai pris au travers de vos commentaire conscience de l'importante de cette chaîne autour de votre cheville. J'y ai vu au début un joli signe de romantisme, mais j'ai compris qu'il y a un non-dit de taille qui se cache derrière vos mots. Depuis j'ai changé mon regard sur certaines dames en couple qui portent une petite chine autour de leur chevilles. Cela réveille ma curiosité et je me pose des questions sur l'intimité de leur couple.

    Je vois également un (autre) point en commun entre nos conjoints respectifs. Comme votre mari, mon homme n'a rien d'impulsif. Voila qui me semble déjà une sorte de garantie en soi que mes punitions ne dérapent pas. Qu'elles restent dans un cadre disciplinaire sans se confondre avec les abus montrés sur le net...

    RépondreSupprimer
  7. Puisque vous parlez de sauter dans tous les sens, permettez-moi de mentionner un jeu que je pratique souvent avec mon épouse quand il s'agit de fessée récréative. Madame se met sur le ventre sur le lit... avec ma main sur le pubis, les doigts sur la partie la plus sensible de son anatomie. De l'autre main je la fesse. Le mouvement imprimé par les claques et l'agitation qui finit par s'emparer du postérieur, et aussi l'embarras à se retrouver ainsi à s'astiquer sur mes doigts, tout ceci la conduit vite à un état impressionnant.

    RépondreSupprimer
  8. Bien sur que je vous permet de vous exprimer, cher Monsieur Pécan. Votre technique me paraît intéressante, à essayer... Notons tous de même que sur tant de sites qui se vantent adeptes de la fessée pur plaisir, à moins de faire un tour dans le monde P, il ne parlent que rarement voir jamais de positions jouissives. Je me souviens également d'avoir lancé sur un forum dédié un fil sur les techniques de jouissance qui a seulement soulève un certain malaise. Bon, je ne cherche ni à comprendre, ni à interpréter. Mais pour moi une fesse pur plaisir devrait avoir pour but la jouissance de la personne qui reçoit la fessée...

    RépondreSupprimer
  9. Il existe d'ailleurs une intéressante variante si c'est un monsieur qui est puni: la dame le met sur ses genoux en prenant son membre entre les cuisses...

    RépondreSupprimer
  10. Il suffit aussi que la dame remue correctement sur les genoux du monsieur pour lui faire un effet impérissable, parfois avec des conséquences...

    RépondreSupprimer