vendredi 6 février 2015

651 Liens de discipline domestique (152 ème édition)

Au menu cette semaine : Quand les copines rigolent de nos malheurs


Enfin si j'étais à la place de la punie et j'attendais pouffer les copines dans mon dos, je penserais surtout :

Ces garces !

pour résumer l'attitude de celles qui ne me veulent aucun bien. Aurais-je tort ? Voyons cela d'un petit peu plus près. J'aimais bien me mettre dans mes rêveries de jeune fille au deuxième plan pour occuper la belle place de l'observatrice. Sans trop me fouler, je choisissais habituellement pour peupler mes histoires des copines et leurs mamans, parfois aussi leurs papas (avec un voluptueux sentiments de très vilaine fille). Poussant parfois mes audaces plus loin, en imaginant ce sévère papa me donnant plus tard une leçon particulière. Étant jeune célibataire au travail, je choisissais de préférence certaines de mes collègues. Le résultat est assez bien résumé dans la petite animation en haut de ce texte. Ne nous leurrons pas, notre inconscientse moque éperdument du politiquement correct.

Pourtant mon bureau fantasmatique fonctionne selon des critères très moralistes.

D'un côté se trouvent les filles sages, de l'autre les vilaines. Et à première vue, un peu comme dans un conte de fée, les filles sages vont avoir une récompense et les pas sages un châtiment. Pas bien méchant ceci dit, car cela se passera sous forme de fessée. Mais en fait, nos méchantes ne sont pas de vraies méchantes non plus.

Ce sont des filles plutôt audacieuses, se rendant coupable de petites digressions de la vie quotidienne que les filles sages n'osent pas franchir.

Pas forcement par une conscience morale hors norme, mais... par peur de dénoter par leur comportement. Alors (je sais de quoi je parle) elles râlent secrètement quand l'audacieuse ne se fait pas pincer, quand elle échappe à ce que l'on souhaite qu'elle mérité. Et nous nous réjouissons quand leur digression est révélée au grand jour et punition ensuive. Lisons «réjouir dans le sens de jouir. Dans mes rêveries ce fut déjà une belle volupté au moment du châtiment de la vilaine. Alors en plus après avoir payé pour sa faute, de la voir exposée dans un coin en devant afficher publiquement sondéshonneur, me trouble encore plus profondément. Et ce trouble trouve son terrain libérateur dans le rire qui exprime la satisfaction de mon sentiment de vengeance, de mon impression d'une justice supérieure, de mon triomphe fantasmatique de tous le mal que je lui souhaite, mais qui inclut aussi sous forme déformée une sacrée dose d'excitation sexuelle.

Bref parfois le rire communique directement avec la petite culotte !


Encore un des ces instruments pour impressionner les vilaines filles. Une de mes fantaisies favorites concerne d'imaginer un instrument accroché au mur du salon chez une bonne copine.

Voir ce qui lui pend au nez !

Puis, peut-être pourrions- nous papoter « discipline domestique » en toute tranquillité. Pour pouvoir comparer nos listes d'interdits, celles qui sont dictées par la petite voix en nous et repris par notre chéri pour notre plus grand émerveillement. Mais aussi les maximes auquel tient notre homme et qui parlent en long et large de ses petites incohérences. Car n'oublions pas...

...la discipline domestique rassure aussi celui qui l'applique.

Enfin, je dis bien d'imaginer cet instrument « chez une bonne copine », car le fait de tomber sur une telle déco chez une personne qui ne m'est pas forcement sympathique, n'ouvrirait pas pour autant ma bouché . Et l'idée de découvrir dans la personne en face de moi une adepte de pratiques communicatives...

et si on se faisait une petite soirée à quatre, isabelle ?

Pas ma tasse de thé non plus. Enfin cela peut-être intéressant d'échanger … sur le sujet.

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !





















22 commentaires:

  1. Nous pratiquons assez rarement, mais parfois tout de même, le "coin" - enfin plutôt en pratique, rester debout cul nu. Parfois aussi le coucher sur le ventre, fesses exposées.

    Parfois aussi la "méditation" - le puni est renculotté et mis au lit, avec interdiction de se toucher devant comme derrière. (Au fait, j'ai une petite idée que j'envisage d'essayer pour la prochaine fois où madame est nerveuse et doit méditer après sa fessée.)

    Les instruments chez nous ne sont pas exposés (pas discret), sauf les pantoufles... mais nous gardons une brosse à cheveux dans ma table de chevet, à titre de rappel.

    Vous parlez de partie à 4. Cela ne nous a jamais tentés mais madame m'a encore reparlé du fait qu'elle aimerait bien me voir prendre une fessée (sans rien de sexuel, bien sûr) d'une autre dame.

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  2. J'ai interrogé mon épouse sur son fantasme de seconde dame, "observatrice" ou non.

    Une chose qu'elle aimerait, ce serait d'expliquer devant moi à une dame que je suis un vilain garçon et que je mérite punition. La dame me déculotterait alors, me mettrait sur ses genoux et me donnerait la fessée méthodiquement, tandis qu'elle discuterait avec mon épouse au sujet de la gestion des maris qui se comportent comme de vilains garçons.

    Pareil scénario pose évidemment la question du sexe, sachant que chez un homme difficile de déculotter sans y prêter attention. Madame pense à d'éventuelles remarques comme "mais quel pervers" en cas de rigidité, ou plus infantile: "ah, le fameux zizi, est-ce qu'au moins il se lave bien? et les fesses?".

    Madame voudrait également me donner la fessée devant une observatrice, pendant laquelle elles discuteraient de tous les moyens et procédures de discipline à mon égard, sans ménager ma pudeur et ma honte.

    Parfois, ce qu'elle aimerait plutôt c'est le symétrique: être fessée par la dame devant moi, comme si j'avais confié son popotin à une "gouvernante". Ou que je la punisse devant la dame, à qui j'expliquerais la gestion de la vilaine fille.

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  3. Je comprends bien les fantasmes de votre dame. En matière d'éducation d'un grand garçon j'en ai plein. Je doute que j'aurais envie un jour de les réaliser et de leur donner vie sous forme de récit me suffit largement. D'où mon autre blog. Malheureusement il manque le temps pour écrire à ma guise. Et comme habitude je vois une grande proximité entre nos univers respectifs...

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  4. Isabelle, un point de français: la photo "au coin les fesses en l'air" devrait plutôt être titrée "au coin les fesses à l'air". "En l'air" ce serait une position plutôt prosternée avec le postérieur tourné vers le haut.

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    1. Merci pour ce petit cours de français, Monsieur Pécan. Voila qui m'est hautement utile pour écrire. N'hésitez surtout pas si vous avez d'autres remarques de ce style à faire...

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  5. Nous pratiquons beaucoup la mise au coin. Madame est souvent envoyée au coin, c'est à dire cul nul, avant ou après une fessée et parfois sans être fessée.
    C'est dans les règles du couple, et très dérangeant pour madame.
    Pour ce qui est de la fessée ou d'un punition devant une dame, c'est arrivé très rarement, et sur le coup. Cela n'a jamais été programmé à l'avance et je crois que cela en restera là.
    Concernant le martinet, il est accroché dans la chambre et beaucoup de connaissances l'ont vu. Certaines savent que mon épouse est régulièrement fessée au martinet.
    Milu

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    1. Vous faites bien de mentionner le passage au coin sans fessée, cher Milu. Pour ma part c'est un exorcise qui m'est très utile, structurant si j'ose dire. J'en conviens avec vous, s'il y a fessée devant une autre personnes que cela se crée par les circonstances sans aucune programmation. Quant au martinet, nous ne l'accrochons plus (même discrètement) depuis qu'il y a notre fille...

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    2. Ah, le martinet. Chez nous, c'est le symbole de la discipline conjugale. Nous avons une fille (que nous avons eu assez jeunes) et qui est partie assez tôt pour ses études. Lorsque elle était à la maison, le martinet n'était pas accroché dans la chambre, mais dans le placard et c'est encore le cas maintenant quand elle est à la maison. J'ai raccroché le martinet peu après qu'elle soit partie. Mon épouse enrageait vraiment : Voir le symbole même de l'autorité revenir à sa place, quelle honte pour elle. Même si ce n'est pas très politiquement correct, son attitude change rien qu'à la vue de l'instrument et évidemment, il est très facile de la décrocher pour lui donner une fessée; Les paroles telles que : Va chercher le martiner, gare a tes fesses, tu as vu ce qui est accroché, tu vas y avoir droit, sont courantes.
      Et puis, c'est toujours un plaisir de voir une épouse faire la danse du martinet et essayer d'y échapper et ensuite d'être très douce.
      Milu

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    3. En lisant votre commentaire cher Milu j'ai une impression qui se réconfortée : Les couple qui aiment la DD sont des couples qui durent et la DD permet justement de garder au plus vif l’intérêt pour son partenaire. Petite fantaisie que l'on cache plus ou moins à son entourage, sans toutefois vivre dans la hantise d'une découverte, parce que nos amis nous connaissent et sauraient mettre nos habitudes intimes à leur juste place. La DD une pratique de certains couples dont les partenaires ont un certain âge ?

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    4. Je réponds avec du retard, désolé.
      Pour les couples qui pratiquent la DD, ce qui est sur, c'est qu'il faut une bonne complicité, je ne sais pas si le fait d'avoir un certain âge aide, mais au moins nous connaissons en théorie mieux les envies et limites.
      En ce qui concerne notre couple, la discipline, les fessées ne sont vraiment pas anodines, madame a vraiment peur d'être déculottée (la honte) et d'être fessée, surtout au martinet, même si cela peut la satisfaire après. C'est vrai qu'un bonne fessée la met ou la remet d'abord à sa place dans le couple, et ensuite elle est mon épouse, certes remise dans le droit chemin, vis a vis de notre relation et ensuite une femme aimante, aimée, mais c'est parfois compliquée.
      Quant au martinet, la peur de la découverte est plus ludique que crainte, encore que.
      Milu

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    5. Merci pour cet intéressant témoignage cher Monsieur Milu. Vous faites bien d'insister sur l'aspect de la honte du déculottage. Il me semble difficile y compris pour les personnes qui pratiquent la fessée de manière occasionnelle d'imaginer à quel point il peut être gênant d'être tenue pour responsable de ses fautes par son partenaire et devoir y répondre en acceptant une fessée. C'est un instant où tout érotisme s'envole et la nudité partielle devient très pesante au point de craindre cet instant plus que ce qui va suivre...

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    6. Il est vrai que lorsque (mais c'est assez rare) je reçois une fessée pour faute réelle je me trouve honteux et ridicule. Le but n'est d'ailleurs pas une grande douleur ou des traces mais l'association d'un comportement néfaste (énervement puéril le plus souvent) avec des reproches conjugaux et un châtiment humiliant. Histoire que si je suis tenté de recommencer je me revoie le rouge au front et aux fesses ou encore écoutant les reproches le thermomètre dans les fesses pour le contrôle "au cas où" avant la fessée.

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    7. J'en conviens avec vous cher Monsieur Pécan. Mais il y a des jours où c'est plus fort que moi et malgré sachant ce qui va m'arriver, j'ai besoin justement de me rassurer que cela arrive encore. Avec toutes ses étapes honteuses, embarrassantes etc. Sorte de compulsion qui vérifie que mon comportement amène à la correction. Et je serais très déçu si rien y arrivait...

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  6. Ah mais rester un peu cul nu avant ou après nous le faisons très souvent. Ce que nous ne faisons que rarement c'est le "coin" décrit par certains, c'est-à-dire rester debout longtemps (1/2h ou plus) cul nu.

    Une variante intéressante: rester 5-10 minutes dans un bain de siège froid.

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  7. Moi j'aime beaucoup le coin debout. Cela peut durer entre 5 et trente minutes chez nous ((enfin avec belle vue) et ce sont surtout les passages entre 15 et 30 minutes qui me permettent de bien concevoir un post...

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  8. Ah le besoin d'eau froide. Un petit bain de siège? Refroidit les douleurs du derrière et les ardeurs du devant.

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  9. Un bain de siège? Alors là c'est non. Rire! Par contre une fois mon coin fini, il m'arrive de me mettre un bijou intime parce que je trouve que la sensation s'associe bien à la chaleur qui se dégage de mon derrière.

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    1. Vous ne trouvez pas qu'il est sain que la réflexion suivant une correction ne soit pas troublée par des ardeurs dérangeantes?

      Et puis cela ne fait pas de mal de faire tremper tout ça!

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    2. Déjà, je suis très encline aux cystites. Punir oui, mais pas risquer ma santé. Ceci dit loin de moi de critiquer cette pratique. Je ne doute nullement que cela calme...

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    3. Nous ne mettons pas de produit dedans, cela n'a pas plus de raison de provoquer une cystite que d'aller à la piscine. Même moins vu que l'eau est propre...

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  10. Merci énormément pour tous tes récits qui m'ont fait mieux comprendre le besoin d'être fessée des dames élégantes

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  11. De rien cher Monsieur et au plaisir de vous lire!

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