mercredi 17 décembre 2014

622 Tout savoir sur les fesses

10 choses que vous ignorez sur les fesses...

...même les vôtres ! Un article fort instructif, bien écrit et distrayant à la fois. Pourtant moi qui ne suis pas vraiment une fan des longues listes style « 10 trucs de », pour une fois je fais une exception. Voyons un peu ce que cela donne appliqué sur moi. Notons que certaines de mes illustrations sont vraiment très explicites. Ben oui, ma passion pour la fessée punitive n'exclue pas les joies de la chair... alors âmes pudiques s'abstenir.

-Le grand fessier, c'est notre muscle le plus puissant et aussi, selon mon homme, en parlant du mien, ... le plus résistant. Sa main sait de quoi il parle, car c'est sur mon « grand fessier » que se passe le sujet de mon blog. Pour ma part comme on dit parfois...

j'ai les fesses en béton.

Héritage de ma maman et même avec quelques kilos de trop (hein oui, hélas!), mon fessier n'a rien perdu de sa fermeté. Peut-être parce que habituée depuis plus de 16 ans à des fessées régulières de toute sorte.


Une de mes spécialités, mais pas devant n'importe qui. Ayant un fessier très rebondi, j'ai pu me rendre compte très vite à l'adolescence que cela ne constitue nullement un handicap en matière de séduction. Au contraire, il y a sélection naturelle de prétendants princes charmants avec une attirance consciente ou inconsciente pour cette partie du corps d'une dame. Donc un réel atout pour trouver chaussure à mon pied. Du moins dans le sens que pas mal de messieurs sensible à mes charmes, aiment donner de savoureuses claques sur cette partie de mon corps.

Puis, je ne compte plus combien de personnes m'ont menacée d'une bonne fessée, parfois cul nu.

Hélas souvent des paroles en l'air, trahissant un désir sans le courage de le réaliser. En gros, pas besoin de cambrer, mes fesses sautent aux yeux naturellement.


Cela reste discutable ! Quant à la ratio, également, je ne saurais rien dire sur la véracité, mais je pense que cela ne manque pas de fondement. J'ai pu constater que mon homme s'avère particulièrement ardent quand j'accentue mes formes par une guêpière ou un corset pour lui donner des idées. De plus il m'en offre sans que je dois insister, alors il doit y trouver son compte.


Tout personnellement fente m'évoque une autre partie de mon corps que mon chéri aime lisse comme la peau d'un bébé. Il a même joué au coiffeur inspiré à nos débuts. Enfin, il en va de soi qu'il préfère « la fissa » aussi toute glabre. Merci l'épilation intégrale définitive.


Je trouve un comble de virilité quand mon chéri me prends de cette manière. Quand il me montre clairement qui décide dans le couple par où se passent les rapports amoureux. Évidement cela s'accomplit en toute douceur et rien que de voir quand il sort le tube de vaseline de son tiroir, je suis déjà toute frétillante. Je fais également de la gym relaxante de cet endroit, mais j'en parlerai une autre fois...


Les expériences scientifiques sur la température rectale des dames m'étonne peu. Mon homme aussi est fan et pendant des années pour déterminer mes jours fertiles, il ne s'est pas privé de me prendre la température par l'arrière porte juste avant notre petit déjeuner. J'ai donc acquis un certain réflexe pour me mettre en position...


J'adore la pudeur de Rousseau et l'idée de prendre la place d'une Mademoiselle Lambercier auprès d'un grand garçon qui tente de m'effrayer le soir dans un endroit sombre en exhibant devant moi « l'objet ridicule » me plaît beaucoup.


Au lieu d'un long discours, voici une petite animation très explicite qui montre bien le principe de « vases communicantes ». Selon mes expériences cette partie du corps se prête parfaitement à une érotisation. Mais quelle idée de voir dans la sodomie un acte de soumission. Se faire pénétrer me semble dans la nature d'une dame (enfin si on a encore de droit de le dire), comme pénétrer se lie pour moi comme une évidence à la nature d'un monsieur. Pour ma part je parlerai en plus d'une contraception naturelle de plus agréable que j'accompagne spontanément avec autant de soupirs qu'un acte conventionnel.


Sujet qui dépasse mes compétence. Puis que l'on ne me parle pas de « grosses», mot auquel je suis allergique. Disons que je ne suis pas anorexique, mais j'ai (hélas) une santé très fragile.


Enfin, là je ne vois pas vraiment l’intérêt pour moi. Les gadgets ne sont pas trop mon truc à part les embellissement pour le derrière.

10 commentaires:

  1. Vos articles sont un bonheur quotidien. Pour ce qui est de votre sujet du jour, je recommande l'excellent livre de Jean-Luc Hennig "Brève Histoire des Fesses".
    bien amicalement.

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  2. Merci pour ce beau compliment cher Monsieur Fesseur 01. Je prend bonne note de votre suggestion de lecture.

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  3. Comme il est doux de s'instruire en s'amusant même si nous savions tout cela d'instinct.
    Comme vous je m'interroge sur l'intérêt de la machine à fesser. les robots ont toujours remplacer l'homme pour les tâches désagréables ou ennuyeux comme le travail à la chaîne, ce que n'est certainement pas la fessée, toujours différente, toujours recommencée et nouvelle. Peut-être l'idée de "chosifier" la soumise par une machine, comme le pilori des temps anciens? Mais là nous sommes dans un domaine plus SM gothique que discipline conjugale.

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    1. Je pense que l'ingrédient l'essentiel de la discipline conjugale c'est l'enthousiasme du monsieur de vouloir corriger sa dame en vu de l'éduquer, cher Monsieur Bertrand. Comme on dit parfois, éduquer c'est donner de l'amour et la fessée est et restera à mon avis toujours un bel acte d'amour. Aucune machine saurais remplacer la chaleur humaine...

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    2. Bonjour Isabelle,

      Je sis bien d'accord avec vous sur ce point.
      "Eduquer, c'est donner de l'amour" : très juste.
      "Qui aime bien châtie bien " répétait notre Mère quant elle nous fessait en travers de ses genoux. Elle concluait son devoir de "Maman sévère" par un gros câlin. Dans le style : "je t'aime mais je te punis quant même". La sévérité n'entrave en rien l'élan de tendresse. Il pourrait même la sublimer. La main humaine est la plus formidable des machines : irremplaçable quant aux multiples sensations et dextérités dont elle fait preuve: elle effleure, caresse, punit, cueuille ... Un bijou de création.
      Mac-Miche.

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    3. Certes, la sévérité et la tendresse sont bien compatibles, cher Monsieur Mac-Miche, seulement il faut être adulte pour en profiter pleinement des secrets de cet étrange duo...

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  4. Chère Isabelle,

    Le sujet de la "porte de derrière" ne fait pas l'unanimité, loin de là. Si le rapport "par devant" est considéré comme la normalité ("se faire pénétrer me semble dans la nature d'une dame"), si le rapport oral n'est plus scandaleux, l'arrière est encore assez tabou et les réactions très tranchées.

    J'ai peur d'être indiscret, mais comment en êtes-vous arrivée à intégrer ces actes dans votre vie amoureuse? Y a-t-il fallu, comment dire, des étapes préparatoires? était-ce une demande de votre part?

    Enfin permettez-moi de rappeler une théorie de ma compagne selon laquelle un peu d'attention par là par une dame attentionnée bonifie l'homme en lui faisant ressentir ce que c'est que se faire pénétrer.

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  5. Je pense que la prédisposition pour cette pratique est héréditaire de mère en fille chez nous, cher Monsieur Pecan. Rire. A l'adolescence en fouillant dans les affaires de ma maman en son absence je suis tombée sur une belle collection de choses étranges et j'ai mis un petit moment pour bien comprendre où cela se mettait. Puis j'ai essayé et j'ai trouvé la sensation étrange et agréable à la fois. Évidement, à un moment ou autre je me suis posée la question sur la sensation me faisant pénétrer par là un homme. Disons que hors contexte de fessée punitive, je ne suis pas pudique du tout et il ne me pose pas de problème d'en parler librement. Mais comme en tout, je n'ai pas été pressée et j'ai su attendre la bonne personne, mon homme, pour pratiquer en toute confiance. Je lui ai laissé prendre l'initiative, mais le terrain était préparé si j'ose dire. Toutefois la sodomie reste une pratique marginale chez nous...

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    1. bonjour @ Isabelle ; monsieur Pecan ; et Bertrand oui je dois dire que la machine à fésser me semble étre d'une grande stupidite !! aucun affecte llà dedans le contraire du principe de la vrais discipline domestique ou là féssée est le résultat d'une écoute bienveillante du monsieur ; oui la féssée c'est d abord de l'amour et de l'interet de la part du monsieur qui la donne méme si celà est une punition !
      quand au sujet de la porte de derriére c"est délicat méme si c cest admis il y a encore beaucoup de résistance je m"en rends compte
      en tout cas dans ma famille et celle de mon mari c'est un sujet que je n"aborderais pas !! je passerais pour une personne dépravée c"est sur !!
      cordialement à tous Jacqueline

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    2. J'adore votre vision sur le « principe de la vraie discipline domestique ou là fessée est le résultat d'une écoute bienveillante du monsieur », chère Jacqueline. Je ne saurais mieux résumer la quintessence de notre pratique et aussi pour la distinguer de la D/s qui met en avant un apprentissage au plaisirs du monsieur en lèvent de manière astucieuse les inhibitions de la dame.
      Quant à l'arrière porte je connais également le discours du « dépravé », enfin un sujet à ne pas aborder devant tout le monde...

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