vendredi 12 décembre 2014

620 Liens de discipline domestique (144 ème édition)

Au menu cette semaine : Rassurer ces grands garçons


Quand on aime les savoureuses claques sur le derrière, il n'est pas toujours facile de trouver chaussure à son pied. Surtout quand on souhaite que l'initiative vienne du monsieur. Que la main le démange spontanément. Qu'il s'applique hardiment dans des situations à la limite du compromettant. Des situations qui me procurent une sacrée poussé d'adrénaline. Alors on varie les tenues pour rendre ses fesses attirantes à souhait, jeans serré, jupe crayon, guêpière prête à exploser pour que notre cavalier daigne d'un geste jovial de porter sa main par un mouvement ferme et fluide sur notre popotin. Et comble de bonheur, si cette tentative réussie résonne entre les murs de la pièce. Ceci dit, je ne permettrais pas une telle familiarité à un rencontre passagère. Cela reste réservé au monsieur de mon cœur, celui avec qui je souhaite passer ma vie.

Un peu démodée la petite dame, non !

Comme la fessée, mais toujours d'actualité !


Je veux dire pour le grand garçon, au pardon, pour le monsieur qui s'applique se défoule sur le derrière dénudé de sa dame. Un grand garçon qui souhaite occuper ses mains avec une activité valorisante, éduquer une grande fille qui se laisse faire volontairement. Bien au contraire de la maman qui elle refusait les avances de son fiston et - infidèle jusqu'au bout - donnait la préférence au papa. Ce rejet, il ne l'a pas oublié, le jeune homme et il en a même fait le prototype de la vilaine. Une dame qui ose lui résister. Franchement, de quoi qui mérite une bonne fessée.


Un fantasme qui rentre dans la vaste gamme de vérifications diverses. Et là, nous sommes dans le compulsif. Non, il ne peut pas s’en empêcher. Comme quand il nous glisse pour la ixième fois la main sous la jupe pour vérifier ce notre culotte se trouve à sa place. Par conséquence, lui porter la preuve que les vilaines filles existent, lui fait beaucoup de plaisir. Le superbe cliché quoi.

Une de ces filles qui ne pensent qu'à cela.

Surtout qu'en couple, provoquer sans retenue c'est sans risque, enfin il y a le risque qu'il saute sur nous.

Oh oui, oh ouiii !!!

Alors avec un monsieur disons classique, nous rentrons dans ce qui s'apparente d'entrée à un film p. Par contre avec un amateur de fessée, il y a d'abord son sens moral qui va se réveiller.

Tu as vu comment tu es habillée ! Tu crois que je vais passer là-dessus ?

Justement, surtout qu'il ne passe pas là dessus. Qu'il me fasse entendre sa réprobation par un acte de plus viril. Qu'il me fasse payer cher mes audaces vestimentaires. J’admets que sur mon illustration, c'est limite...


Petit truc tout bête pour vérifier les grandes théories de mon chéri. Le collant porte-jarretelles n'est pas son truc. Soi-disant il en a horreur. Ensuite, il m'avait déjà parlée à maintes reprises de son dédain pour...

...ces filles qui se mettent une plume dans le cul pour se faire remarquer.

Ayant un grand faible pour le burlesque et étant dotée de beaucoup d'humour, j'ai eu l'envie de faire le test. Et vous savez quoi ? Il a été ravi mon chéri. Il a voulu tout de suite savoir comment tient la plume...


Ah le grand classique ! La dame romantique, femme enfant et quelque peu perdue dans ce vaste monde qui n'attend que lui : le monsieur pour lui montrer la bon chemin. Cela existe ? Bien sur, dans les rêveries de tant de messieurs, car il s'agit d'une image rassurante de première ordre.

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !




















4 commentaires:

  1. Bonjour Isabelle,

    Bien qu’étant seule et ne craignant pas une quelconque venue intempestive, vous m’avez faite « piquer un fard » alors que je lisais votre billet ! Car je me suis remémorée le bijou intime, le plus osé selon moi, que mon mari m’ait jamais offert pour célébrer l’un des anniversaires de la première fois.

    Je précise, ce ne sont pas des plumes ! Cela dit, et bien qu’ayant pris l’habitude qu’il soit le seul juge de ma pudeur, je crois que je « mourrais de honte » si quiconque me voyait avec, mais, Dieu merci, je le connais assez et j’ai totalement confiance en lui pour être convaincue que cela ne se produira jamais …

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  2. Rassurez-vous chère Christine, je ne vous demanderai point de précision sur votre bijou intime. Je suis curieuse, mais je me flatte de me croire bien élevée. Je crois que l'appréciation de tels objets différe selon si on est un hommes ou une femmes. Je suis convaincue depuis des années que bien de choses qui nous paraissent ridicules comblent autant le sens esthétique de nos messieurs que leur plaisir de nous voir ainsi parées. De plus, la honte existe-t-elle réellement dans un couple ou n'apparaît-elle à l'idée qu'une tierce personne puisse être au courant ?

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    1. Pour moi, c’est une évidence, il ne pourrait y avoir de sentiment de honte qu’en raison de la connaissance par une tierce personne que je ne peux ni ne veux qualifier d’intime et apte à connaître des confidences, de certaines choses qui font par définition partie du domaine très privé, plus encore si elle était spectatrice, et pire si elle participait ! Tandis qu’il est si satisfaisant que de plaire à celui que l’on aime et de se prêter à tout ce qu’il peut désirer …

      Evidemment, la honte que je ressens lorsqu’à la suite d’une faute difficilement pardonnable il m’admoneste n’a rien à voir avec celle ci-dessus.

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  3. Quel plaisir de vous lire, chère Christine, sur la distinction de ces deux hontes. La deuxième me semble surtout liée à une culpabilité de « ne pas avoir été à hauteur » des attentes légitimes de notre conjoint. Quant à la première, son origine me semble la pression sociable subie par les dames qui souhaitent faire plaisir à leur conjoint de manière charnelle (ou dans un sens plus large le considèrent comme le chef de la famille). J'ai presque l'impression d'un sous-entendu moraliste bien ancré dans ma tête par le climat des années 70 de sorte : une fille bien élevée ne se comporte pas de telle manière. Veut que l'on ne se préoccupe plus de questions de déviance, mais de comportement jugé indigne d'une femme moderne !

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