vendredi 11 avril 2014

498 Liens de discipline domestique (109 ème édition)

Punie comme....


Il est rare que j'aie un coup de foudre pour un dessin. Je n'aime pas trop le moderne qui me semble très souvent froid et distant sur un mode : Les extraterrestres aussi aiment les activités claquantes. Enfin il s'agit de personnages de BD ou de jeux comme jouent encore mes frères (ainés!) à l'ordinateur ou sur leurs « machines ». Pour ma part, je me souviens bien d'avoir décroché déjà au super mario en trouvant cela tellement d*bile (surveille ton langage isabelle, sinon...) en me penchant plutôt sur le monde de princes charmants. Et heureusement mon homme préfère jouer avec mes jarretelles qu'avec une manette censée de « manipuler, contrôler et diriger» une dame virtuelle. Ouf. Alors oui, pour moi c'est l'être humain avant tout. Dans ce mignon dessin, je m'imagine à la place de la dame dans un monde où la fessée aurait encore cours. Pour que ma punition puisse me profiter pleinement, Monsieur décide de me corriger la fenêtre ouverte. En même temps cela fait aussi profiter les voisins du spectacle !

Tiens, isabelle a dû encore faire ch*er son homme! Mais il se laisse pas faire.

Non, mon homme ne se laisse pas faire et voila pourquoi je l'adore. Et quand il insiste devant moi et même devant notre entourage proche que c'est lui porte qui le pantalon, cela se traduit aussitôt par une sensation de plus plaisante dans mon entrejambe. Habile dans son discours, sur un ton léger et agréable, il sait s'y prendre pour avoir le public de son côté. Manquerait plus que ma maman s'en mêle en l'encourageant sur sa bonne initiative :

Vergiss nicht ihr von Zeit zu Zeit die Hosen stramm zu ziehen !

(N'oublie pas de lui donner une bonne fessée de temps en temps !)

En parlant de moi sans être dupe sur les préférences de sa fille. Notons que la petite insolente du dessin ne porte pas de culotte (en fait ce vêtement date de quand exactement) et que le jeune monsieur, malgré ses traits angéliques sait très bien se faire respecter.Notons aussi la coiffure de la petite dame qui part dans tous les sens. Ayant eu pendant très longtemps (pour faire plaisir à mon chéri) les cheveux très longs, le moins que l'on puisse dire sur les bonnes corrections c'est que cela décoiffe... Mieux vaut un joli court façon garçonne qui s'arrange en trente secondes quand on a pas encore dépassé l'âge du martinet.


Un très intéressant roman en téléchargement gratuit  qui apporte de nouvelles perspectives sur le fantasme de la fessée : « Williams Kern, ancien orphelin d’origine allemande, à présent riche oisif de cinquante-huit ans menant par goût une vie solitaire dans un pays austral, est un homme hanté d’un intense désir de parents, fasciné les châtiments corporels.
Dans l’espoir qu’une réalité parallèle fabriquée sous le prisme de ses obsessions puisse lui tenir lieu de morphine, il entreprend d’écrire la vie d’un imaginaire collégien anglo-saxon qu’il nomme Will Harts, et tente ainsi de se donner l’enfance – à ses yeux – heureuse et idéale qu’il n’a pas connue autrefois. »

Tenue qui mériterait une fessée


C'était un jeu imaginé par mon homme quand il était ado. Faute de ne pas pouvoir vivre son fantasme, il passait son temps à regarder les jeunes filles et aussi (et surtout) les dames en imaginant d'appliquer une fessée à celles qui allaient trop loin dans leur provocation vestimentaire. Constat un peu désolant, malgré le mythe autour des années 70, les tenues dans les rues étaient … plutôt sages. Pas de quoi à fouetter un insolent derrière ! Ou plutôt un « arroganten arsch » (cul arrogant) comme on dit en allemand pour designer un postérieur particulièrement tentant qui met instantanément le sang d'un jeune homme en ébullition. Bref, des tenues comme celle dans ce lien existaient surtout dans les revues pour hommes en ces temps là. Évidement, en écoutant bien mon chéri qui en parlait de sa jeunesse avec ses camardes de la fac, j'ai vite cerné le désir cache derrière ses anecdotes. Même si la fessée ne se montrait que timidement sous forme de menace ou de petite tape. Alors moi, un beau jour, munie de ciseaux et d'un vieux jeans je me suis fabriquée un short vraiment très court. Toutefois rien à voir tout de même avec l'astucieuse création sur l'illustration. Puis je me suis présentée ainsi vêtue un samedi matin à l'aube devant mon chéri pour une promenade en montagne. Souligné par ses gros yeux, j'ai compris de suite son envie de libérer enfin un fantasme gardé pendant si longtemps à l'état de pure fiction.

Avec moi, tu peux !

J'aurais dû me méfier. Il n'est pas allé de main morte, témoignant ainsi de la pression de ces rêveries sur sa libido. Bref, j'ai eu mal au fesses pendant tout le week-end en regrettant beaucoup mes punitions habituelles et qui me paraissaient de tout repos à côté de celle que je venais de recevoir. Conclusion : C'est quand on m'annonce une fessée érotique que je commence vraiment à m’inquiéter  pour mon derrière.

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !














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