Punie
comme....
Il est rare que j'aie un coup de foudre
pour un dessin. Je n'aime pas trop le moderne qui me semble très
souvent froid et distant sur un mode : Les extraterrestres aussi
aiment les activités claquantes. Enfin il s'agit de personnages de
BD ou de jeux comme jouent encore mes frères (ainés!) à
l'ordinateur ou sur leurs « machines ». Pour ma part, je
me souviens bien d'avoir décroché déjà au super mario en trouvant
cela tellement d*bile (surveille ton langage isabelle, sinon...) en
me penchant plutôt sur le monde de princes charmants. Et
heureusement mon homme préfère jouer avec mes jarretelles qu'avec
une manette censée de « manipuler, contrôler et diriger» une
dame virtuelle. Ouf. Alors oui, pour moi c'est l'être humain avant
tout. Dans ce mignon dessin, je m'imagine à la place de la dame dans
un monde où la fessée aurait encore cours. Pour que ma punition
puisse me profiter pleinement, Monsieur décide de me corriger la
fenêtre ouverte. En même temps cela fait aussi profiter les voisins
du spectacle !
Tiens,
isabelle a dû encore faire ch*er son homme! Mais il se
laisse pas faire.
Non, mon homme ne se laisse pas faire
et voila pourquoi je l'adore. Et quand il insiste devant moi et même
devant notre entourage proche que c'est lui porte qui le pantalon,
cela se traduit aussitôt par une sensation de plus plaisante dans
mon entrejambe. Habile dans son discours, sur un ton léger et
agréable, il sait s'y prendre pour avoir le public de son côté.
Manquerait plus que ma maman s'en mêle en l'encourageant sur sa
bonne initiative :
Vergiss
nicht ihr von Zeit zu Zeit die Hosen stramm zu ziehen !
(N'oublie pas de lui donner une bonne
fessée de temps en temps !)
En parlant de moi sans être dupe sur
les préférences de sa fille. Notons que la petite insolente du
dessin ne porte pas de culotte (en fait ce vêtement date de quand
exactement) et que le jeune monsieur, malgré ses traits angéliques
sait très bien se faire respecter.Notons aussi la coiffure de la
petite dame qui part dans tous les sens. Ayant eu pendant très
longtemps (pour faire plaisir à mon chéri) les cheveux très longs,
le moins que l'on puisse dire sur les bonnes corrections c'est que
cela décoiffe... Mieux vaut un joli court façon garçonne qui
s'arrange en trente secondes quand on a pas encore dépassé l'âge
du martinet.
Un très intéressant roman en
téléchargement gratuit qui apporte de nouvelles perspectives
sur le fantasme de la fessée : « Williams Kern, ancien
orphelin d’origine allemande, à présent riche oisif de
cinquante-huit ans menant par goût une vie solitaire dans un pays
austral, est un homme hanté d’un intense désir de parents,
fasciné les châtiments corporels.
Dans l’espoir qu’une
réalité parallèle fabriquée sous le prisme de ses obsessions
puisse lui tenir lieu de morphine, il entreprend d’écrire la vie
d’un imaginaire collégien anglo-saxon qu’il nomme Will Harts, et
tente ainsi de se donner l’enfance – à ses yeux – heureuse et
idéale qu’il n’a pas connue autrefois. »
Tenue qui mériterait une fessée
C'était un jeu imaginé par mon homme
quand il était ado. Faute de ne pas pouvoir vivre son fantasme, il
passait son temps à regarder les jeunes filles et aussi (et surtout)
les dames en imaginant d'appliquer une fessée à celles qui allaient
trop loin dans leur provocation vestimentaire. Constat un peu
désolant, malgré le mythe autour des années 70, les tenues dans
les rues étaient … plutôt sages. Pas de quoi à fouetter un
insolent derrière ! Ou plutôt un « arroganten arsch »
(cul arrogant) comme on dit en allemand pour designer un postérieur
particulièrement tentant qui met instantanément le sang d'un jeune
homme en ébullition. Bref, des tenues comme celle dans ce lien
existaient surtout dans les revues pour hommes en ces temps là.
Évidement, en écoutant bien mon chéri qui en parlait de sa
jeunesse avec ses camardes de la fac, j'ai vite cerné le désir
cache derrière ses anecdotes. Même si la fessée ne se montrait que
timidement sous forme de menace ou de petite tape. Alors moi, un beau
jour, munie de ciseaux et d'un vieux jeans je me suis fabriquée un
short vraiment très court. Toutefois rien à voir tout de même avec
l'astucieuse création sur l'illustration. Puis je me suis présentée
ainsi vêtue un samedi matin à l'aube devant mon chéri pour une
promenade en montagne. Souligné par ses gros yeux, j'ai compris de
suite son envie de libérer enfin un fantasme gardé pendant si
longtemps à l'état de pure fiction.
Avec
moi, tu peux !
J'aurais dû me méfier. Il n'est pas
allé de main morte, témoignant ainsi de la pression de ces rêveries
sur sa libido. Bref, j'ai eu mal au fesses pendant tout le week-end
en regrettant beaucoup mes punitions habituelles et qui me
paraissaient de tout repos à côté de celle que je venais de
recevoir. Conclusion : C'est quand on m'annonce une fessée
érotique que je commence vraiment à m’inquiéter pour mon
derrière.
Je
vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !
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