En
attendant le père Noël Fouettard
Une petite distraction - très réussie
je trouve - pour mieux aider à faire passer le temps aux impatients.
Dans ce petit film, il y a quelques aperçus de l’éternel féminin
qui ne correspondent pas vraiment au style de mon blog. Mais je
trouve l'ensemble tellement mignon que je ne puis résister de le
poster. Ce clip démontre brillamment que l'activité claquante et
tendresse sont conciliables. J'ai un faible particulier pour cette
touche humaine qui m'inspire plus que la tant vanté complicité ! Et
je regarde avec un véritable plaisir quelques échanges de regards
qui ne font fondre (vers 4min 20). J'aime également l'attitude de la dame
et ses petits cris. Elle n'est pas inerte et montrer des jolis
mouvements et gestes.
Je ne sais pas combien de photos et
films que j’ai regardé sur notre sujet depuis que je fais des
blogs. Certainement des milliers. Difficile à chiffrer. Peu
importe. Ce qui me saute souvent aux yeux c’est un air que je
qualifierais de constipé de la part de certains messieurs. J’ai
l’impression d’assister à une corvée qui s’effectue sans le
moindre plaisir. Je ne sais pas à quoi cela tient. Peut-être parce
que pour certains « fesseurs pro » c’est un métier comme une
autre. On se lève le matin, se lave, déjeune, donne un bisou à sa
femme et à ses enfant, puis se rend sur le lieu du tournage. Aucun
scénario en vu. Un cadre un peu minimaliste et on attaque son
premier fessier de la journée. Les filles ont la peau dure et le taf
est épuisant. Puis cela peu durer longtemps, longtemps…avant
qu’elles fondent en larmes. Sans parler du mal aux mains. Et hélas
pas de prime pour les ampoules. Alors mieux vaut recourir aux
instruments.
En gros, le « fait maison » me semble
si différent de ce que je vois sur le net. Préoccupation
isabellienne peut-être de regarder avant tout l’expression du
monsieur qui s’applique. Sa posture. Ces habits. De le scanner de
haut en bas. Essayer de percevoir l’être humain et son approche de
la gente féminine derrière une façade photo. Puis j’observe
comment il s’y prend. Comment il positionne sa main non occupée.
Comment il place la dame sur ses genoux.
En bon dernier, mon attention est
captée par les fesses de la fille, ses gigotements, ses expressions
de visage, ses émotions, ses larmes… Du sans intérêt souvent
pour une autre femme. A part quelques évaluations en matière de
cellulite.
Le petit clip présenté me semble rare
pour un cadre pro. Deux personnes qui visiblement harmonisent dans
une activité qui les comble. Chacun à sa façon. A croire que ce
qui est banal et à l’ordre du jour dans un/ mon couple, devient un
exploit exceptionnel quand il s'agit de le reproduire devant une
camera. Il y a d’autres photos ou clips qui montrent des hommes
joyeux, mais je n’en connais pas énormément.
Alors je recours au vrai cinéma qui
produit des rêves qui me plaisent.
Est-il
un hasard que les messieurs qui donnent une fessée semblent «
concernés » par ce qui se passe ?
Qu'ils montrent leur enthousiasme de
manière convaincante. Qu'ils donnent envie à une midinette comme
moi non pas vraiment de changer la place avec celle qui reçoit,
mais de vivre une telle situation au quotidien.
Performance
d’un grand acteur ?
Je n’y crois pas. J’ai plutôt
l’impression de me trouver en face de personnes réellement
passionnées. Et que ce soit cette passion qui est la source de leur
grandeur d’acteur. Passion qui va plus loin que celle de la calquer
un postérieur et qui englobe la vie…
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